Faith (Belief) and God
Ceci est une traduction non officielle mais autorisée d'une publication de la FIGU.
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Introduction
- Auteur: Billy Eduard Meier
- Source Originale: Bulletin de la FIGU N° 68
- Ecrit le: 24 Janvier 2009
- Publié en: Septembre 2009
- Traducteur: Benjamin
- Date de la traduction originale: Vendredi, 18 Decembre 2009
- Corrections et améliorations apportées : Sanjin, Mariann Mondria Uehlinger(une phrase)
- Traduction Française:Gérald L. Chamblack
Synopsis
Note du traducteur : L'article suivant de Billy Meier a été publié à l'origine en allemand, dans le Bulletin n° 68 de la FIGU, sous le titre "Glaube und Gott". Un lecteur m'a demandé de traduire l'article en anglais, et je l'ai fait en utilisant la méthode de comparaison/contraste du logiciel de traduction qui est divulguée sur la page principale :
(Page actuellement désactiver suite à la migration des serveurs myspace à myspace2.0) www.myspace.com/billymeiercontactreports
J'ai pris beaucoup de temps et de soin pour préparer cette traduction, en essayant de la faire correspondre au mieux à l'article original de Meier. Cet article contient des informations qui peuvent déranger certains lecteurs. Je tiens donc à préciser que les opinions exprimées dans cet article sont celles de son auteur original, Billy Meier, et non celles du traducteur que je suis. J'ai essayé de représenter les opinions de Meier, exprimées à l'origine en allemand, aussi fidèlement que possible en anglais, mais le lecteur doit être conscient que cette traduction n'est pas autorisée et n'est pas officielle et qu'elle peut donc contenir des erreurs. L'article original allemand peut être lu ici :
http://www.figu.org/ch/book/export/html/2209
La foi et Dieu
Français | German |
La foi et Dieu | Glaube und Gott |
Comment est née la croyance religieuse ; pourquoi l'homme croit-il en un seul Dieu, en plusieurs dieux, en des idoles, en les fausses doctrines des religions et des sectes, et pourquoi cette croyance délirante ne se dissout-elle pas à l'époque actuelle où les connaissances scientifiques sont si précieuses ? | Wie kam der religiöse Glauben zustande; warum glaubt eigentlich der Mensch an einen Gott, an mehrere Götter, an Götzen; an die Irrlehren von Religionen und Sekten, und warum löst sich dieser Wahnglaube in der heutigen Zeit der umfänglich wertvollen Erkenntnisse der Wissenschaft nicht auf? |
Actuellement (2009), environ sept milliards et demi de personnes adhèrent à l'une des six religions du monde ou à une secte qui en est issue. En ce qui concerne les religions et les sectes, Dieu a plusieurs visages. Pour les chrétiens, les juifs et les musulmans, il est un Dieu créateur, personnel et universel, qui a créé le monde, le ciel et l'univers à partir du chaos. L'homme y est considéré comme le point culminant créé par Dieu, une cohabitation paradisiaque entre l'homme et Dieu lui étant promise à la fin des temps. Les religions d'Asie, en revanche, ne connaissent pas le visage d'un dieu ou d'une personne, mais plutôt un principe divin, une âme universelle qui est censée entendre, voir et comprendre tout ce qui se passe dans l'univers ; une forme qui peut être comparée, d'une certaine manière, à l'existence de la création. Mais cela ne signifie pas que cette comparaison approximative permette d'harmoniser les doctrines religieuses des religions asiatiques avec l'enseignement de l'esprit, car ces religions sont elles aussi éloignées de l'enseignement de la vérité, de l'enseignement de l'esprit et de l'enseignement de la vie données par la Création. | Zur Zeit (2009) sind es rund siebeneinhalb Milliarden Menschen, die sich zu einer der sechs Weltreligionen oder zu einer aus diesen hervorgegangenen Sekte bekennen. In bezug auf Religionen und Sekten hat Gott viele Gesichter. Für Christen, Juden und Muslime ist er ein personaler und universeller Schöpfergott, der die Welt, den Himmel und das Universum aus einem Chaos erschaffen hat. Der Mensch gilt dabei als gotterschaffener Höhepunkt, wobei ihm am Ende der Zeit ein paradiesisches Miteinander von Mensch und Gott verheissen wird. Die Religionen Asiens hingegen kennen kein Antlitz eines Gottes resp. keine Person, sondern eher ein göttliches Prinzip, eine Weltseele, die allhörend, allsehend und allverstehend sein und das ganze Universum durchwirken soll; also eine Form, die in gewisser Weise mit der Existenz der Schöpfung verglichen werden kann. Das aber bedeutet nicht, dass durch diesen annähernden Vergleich die religiösen Lehren der asiatischen Religionen mit der Geisteslehre in Einklang zu bringen wären, weil nämlich auch diese Religionen fern der schöpfungsgegebenen Lehre der Wahrheit, Lehre des Geistes, Lehre des Lebens sind. |
Les chrétiens prient Jésus, le Saint-Esprit et Dieu le Père, les musulmans prient Allah, d'autres suivent les commandements de la Torah ou aspirent à mettre fin à leurs réincarnations. Beaucoup se rendent en pèlerinage à Jérusalem et à Bethléem, d'autres à la Kaaba de La Mecque ou au mont Kailash au Tibet, etc. Et tous ceux qui ont une foi aspirent à la paix céleste, quelle qu'en soit la forme, même si elle passe par une "guerre sainte", la terreur, un jugement sanglant, la torture, le meurtre, la vengeance, les représailles et la haine. Le triomphe de la science et la reconnaissance du fait que toute existence peut être expliquée physiquement, y compris toutes les choses qualifiées à tort de 'surnaturelles' et de 'suprasensibles', n'y ont rien changé. Malgré cela, l'homme croit de manière délirante à des hérésies religieuses, à un dieu, à plusieurs dieux ou à des idoles, etc., car il veut simplement avoir au-dessus de lui une puissance supérieure qui le décharge de toute responsabilité, ce qui n'est pas plus facile qu'en adhérant à une croyance délirante en une divinité qui décide de tout et qui est responsable de tout, etc. Dans cette croyance délirante, tout ce qui ne peut pas être expliqué rationnellement en raison de l'ignorance est considéré comme suprasensible et surnaturel, tandis que ceux qui peuvent expliquer ces choses sont rejetés comme des menteurs, des escrocs et des charlatans. C'est ainsi que l'homme de la terre cherche encore aujourd'hui - parce qu'il ne veut pas se laisser enseigner par la vérité créatrice effective, mais qu'il veut être un croyant délirant -, à une époque de grande éclaircie, le sens et l'orientation dans un ordre divin - comme au temps d'Abraham. | Die Christen beten zu Jesus, dem Heiligen Geist und zu Gottvater, die Muslime zu Allah, andere folgen den Geboten der Thora oder streben nach einem Ende ihrer Wiedergeburten. Viele pilgern nach Jerusalem und Bethlehem, andere zur Kaaba in Mekka oder zum Berg Kailasch in Tibet usw. Und alle, die einem Glauben verfallen sind, ersehnen sich himmlischen Frieden, und zwar ganz gleich, wie dieser auch zustande kommen möge – auch wenn es durch einen ‹heiligen Krieg› sei, durch Terror, blutiges Strafgericht, Folter, Mord, Rache, Vergeltung und Hass. Daran hat auch der Siegeszug der Wissenschaft und die Erkenntnis nichts geändert, dass alles jeder Existenz physikalisch erklärbar ist, und zwar auch alle jene Dinge, die fälschlich als ‹überirdisch› und ‹übersinnlich› bezeichnet werden. Trotzdem ist der Mensch wahngläubig in religiöse Irrlehren, an einen Gott, an mehrer Götter oder an Götzen usw., denn er will einfach eine höhere Macht über sich haben, die ihm alle Verantwortung abnimmt, was nicht leichter geht als dadurch, dass einem Wahnglauben an eine allesbestimmende und für alles verantwortliche Gottheit usw. angehangen wird. In diesem Wahnglauben wird auch alles als übersinnlich und überirdisch gewähnt, was infolge Unwissen nicht rational erklärt werden kann, während jene, welche diese Dinge erklären können, als Lügner, Betrüger und Scharlatane abgetan werden. So sucht der Mensch der Erde noch heute – weil er sich nicht von der effectiven schöpferischen Wahrheit belehren lassen, sondern wahngläubig sein will –, in einer Zeit grosser Aufgeklärtheit, noch immer den Sinn und die Orientierung in einer göttlichen Ordnung – wie zu Abrahams Zeiten. |
Dans tout l'univers, il n'y a pas d'animal ou de créature qui soit en proie à une croyance religieuse ou autre, et il n'y en a donc pas non plus qui prie un créateur, des dieux, des saints, des anges, un prétendu fils du créateur. En vérité, seul l'homme connaît la prière et la foi, car il est tourmenté par la peur et l'angoisse, conscientes et inconscientes, par les espoirs et les désirs. En revanche, les animaux et les bêtes ne connaissent que la peur, la panique, la douleur et le stress, ainsi que les réactions physiques et instinctives à la menace. Les animaux et les bêtes en général ne connaissent pas les catégories du possible, du déterminant, du pesé et du logique, car tout en eux est déterminé par leur instinct. Seul l'homme possède l'intelligence et la raison, une rationalité qui lui permet d'être conscient de lui-même et de peser et de déterminer consciemment toutes ses pensées et ses sentiments ainsi que ses actions et ses actes, et de les mettre en valeur et de les exécuter dans une suite logique. Mais ce que l'homme ne peut pas sonder et comprendre suscite en lui la peur ou la crainte. | Im ganzen Universum gibt es kein Tier oder ein Getier, das einem religiösen oder sonstigen Glauben verfallen ist, und also gibt es auch keines, das an einen Gottschöpfer, an Götter, an Heilige, an Engel, an einen angeblichen Gottschöpfersohn betet. Wahrlich, einzig und allein der Mensch kennt Beten und Glauben, weil er von bewusster sowie unbewusster Angst und Furcht, von Hoffnungen und von Begierden gepeinigt wird. Die Tiere und das Getier hingegen erleben nur Schreck, Panik, Schmerz und Stress sowie körperliche und instinktmässige Reaktionen auf Bedrohung. Tiere und das Getier allgemein kennen nicht die Kategorien des Möglichen, des Bestimmenden, Abwägenden und des Logischen, denn alles in ihnen wird durch ihren Instinkt bestimmt. Allein der Mensch hat Verstand und Vernunft, eine Ratio, durch die er sich seiner Selbst bewusst ist und all seine Gedanken und Gefühle sowie Handlungen und Taten bewusst abwägen, bestimmen und in logischer Folge zur Geltung bringen und durchführen kann. Was der Mensch aber nicht ergründen und nicht verstehen kann, erregt in ihm Angst oder Furcht. |
Depuis la nuit des temps, l'homme se demande qui met fin à la journée et fait se coucher le soleil, d'où viennent le vent et la pluie, la neige, la grêle, les éclairs et le tonnerre ainsi que toutes les intempéries, les sécheresses, les mauvaises récoltes, les accidents, les maladies et les épidémies. Depuis toujours, il ressent la puissance des éléments et fixe sans comprendre l'obscurité dans laquelle il espère trouver la réponse à sa question. Et le fait est que si l'on regarde assez longtemps dans l'obscurité, on y voit apparaître toutes sortes de choses - des mirages espérés, des visions et toutes sortes d'autres choses. | Seit Urzeiten fragt sich der Mensch, wer den Tag beendet und die Sonne untergehen lässt, woher Wind und Regen, Schnee, Hagel, Blitz und Donner sowie all die Unwetter, Dürren, Missernten, Unfälle, Krankheiten und Seuchen kommen. Seit jeher spürt er die Macht der Elemente und starrt verständnislos ins Dunkel, in dem er hofft, das als Antwort zu finden, wonach er fragt. Und Tatsache ist dabei, wenn lange genug ins Dunkel gestarrt wird, dann zeigen sich darin vielerlei Dinge – erhoffte Trugbilder, Visionen und allerlei sonstige Dinge. |
C'est ainsi que tous les éléments qui animent l'homme et qu'il cherche à élucider parviennent apparemment à des explications qui s'imposent à lui sous forme de figures, de personnages, de noms, de visages et de qualités, etc. C'est de cette manière que sont nés Re, le dieu solaire des Égyptiens, Thot, le dieu de la lune, Agni, le dieu du feu des hindous, Indra, le dieu de la pluie, etc. Mais il y a aussi eu la naissance d'hommes qui se sont fait passer pour des divinités et qui ont charmé leurs fidèles avec des enseignements erronés et les ont induits en erreur. C'est ainsi que les hommes de la terre ont peu à peu tout peuplé de dieux et d'idoles, le ciel et la terre, l'eau et le sol, les sources, les ruisseaux, les rivières, les fleuves, les lacs et les mers, mais aussi les forêts, les jungles, les montagnes et les déserts, l'air, les vents, les éclairs et le tonnerre et tout ce que l'on peut imaginer. C'est à travers ces divinités, ces idoles et ces prétendues entités spirituelles, etc. que l'homme a tenté et tente encore d'expliquer depuis toujours tout ce qui existe, tout ce qui se produit, tout ce qui naît, se transforme et disparaît. Ainsi, Dieu et les dieux et idoles sont le moyen d'apaiser l'esprit tourmenté par la peur et l'angoisse et de trouver un appui et une responsabilité dans une déraison totale, dans des hérésies religieuses encore plus déraisonnables et illogiques. | Dadurch gelangen all die den Menschen bewegenden Elemente, die er zu ergründen sucht, scheinbar zu Erklärungen, die sich ihm in Form von Figuren, Gestalten, Namen, Gesichtern und Eigenschaften usw. aufdrängen. Auf diese Weise ist auch Re, der Sonnengott der Ägypter, Thot, der Gott des Mondes, der Feuergott Agni der Hindus und Indra, der Gott des Regens usw. entstanden. Es sind aber auch Menschen erstanden, die sich als Gottheiten ausgegeben haben und ihre Gläubigen mit irren Lehren bezirzten und in die Irre führten. So kam es nach und nach, dass die Menschen der Erde alles mit Göttern und Götzen bevölkerten, den Himmel und die Erde, das Wasser und Erdreich, die Quellen, Bäche, Flüsse, Ströme, Seen und Meere, wie aber auch die Wälder, Dschungel, die Berge und Wüsten, die Luft, die Winde, den Blitz und den Donner und alles erdenklich Mögliche. Durch diese Gottheiten, Götzen und durch angebliche geistige Wesenheiten usw. versuchte und versucht der Mensch seit alters her all das zu erklären, was existiert, was geschieht, was geboren wird, sich wandelt und vergeht. So ist Gott und sind die Götter und Götzen das Mittel zum Zweck, den angst- und furchtgepeinigten Verstand zu besänftigen und in völliger Unvernunft in noch unvernünftigeren und unlogischeren religiösen Irrlehren Halt und Verantwortung zu finden. |
Les divinités ont été imaginées et conçues très tôt par les hommes de la Terre, bien avant que les hommes de l'âge de pierre ne pratiquent leurs rituels pour leurs dieux et leurs idoles et ne créent des cultes, ce dont on sait malheureusement encore peu de choses, car il n'existe que peu de preuves à ce sujet. En revanche, de nombreux éléments des époques ultérieures nous sont parvenus, comme par exemple l'épopée sumérienne de Gilgamesh. Dans ce premier mythe, qui remonte à près de 4000 ans, il est question du dieu Enlil, qui a appelé les vents et le déluge, afin que la mer cruelle engloutisse tout, comme cela est décrit dans de nombreux récits relatifs au déluge. Le mythe dit ainsi : "La terre rugit comme un taureau. Alors Enlil, le maître des vents, envoya le déluge pour noyer les cris et le bruit". Que ce mythe ait été repris par le christianisme ne devrait pas étonner ceux qui savent que cette religion a beaucoup emprunté aux mythes d'autres peuples, comme par exemple l'histoire de Moïse abandonné dans le Nil. | Gottheiten wurden vom Menschen der Erde schon sehr früh erphantasiert und erdacht, und zwar schon lange, ehe die Steinzeitmenschen ihre Rituale für ihre Götter und Götzen durchführten und Kulte erschufen, worüber leider noch wenig bekannt ist, weil diesbezüglich wenig Beweise dafür vorliegen. Dafür jedoch sind viele Dinge späterer Zeiten überliefert, wie z.B. im sumerischen Epos von Gilgamesh. In diesem frühen Mythos, der nahezu auf ein Alter von 4000 Jahren zurückführt, ist die Rede vom Gott Enlil, der die Winde und die Flut aufrief, auf dass das grausame Meer alles verschlang, wie dies in vielen Schilderungen in bezug auf die Sintflut beschrieben wird. So heisst es im Mythos: «Und die Erde brüllte auf wie ein Stier. Da sandte Enlil, der Herr der Winde, die Flut, um zu ertränken das Geschrei und den Lärm». Dass dieser Mythos vom Christentum übernommen wurde, dürfte nicht verwunderlich sein für jene, die wissen, dass diese Religion viel aus den Mythen anderer Völker entwendet hat, wie z.B. auch die Geschichte des Mose, der im Nil ausgesetzt wurde. |
Les Inuits et les Esquimaux (mangeurs de viande crue) ne sont pas non plus exclus de la croyance en des divinités, si bien que leurs prêtres magiciens implorent la déesse Arnaquagssaaq pour pouvoir tuer des phoques et des baleines lorsqu'ils souffrent de la faim et ne sont pas encore irrémédiablement tombés dans le christianisme. La déesse résiderait dans un palais blanc au fond de la mer. | Auch die Inuit resp. Eskimos (Rohfleischesser) sind vom Glauben an Gottheiten nicht ausgeschlossen, folglich ihre Zauberpriester zur Göttin Arnaquagssaaq flehen, um Robben und Wale erlegen zu können, wenn sie Hunger leiden und noch nicht rettungslos dem Christentum verfallen sind. Die Göttin soll in einem weissen Palast auf dem Grunde des Meeres wohnen. |
Selon les croyances traditionnelles des hommes, un dieu monothéiste commande la vie et la mort, tout comme de nombreux autres dieux et idoles, afin de les rendre favorables. Par conséquent, des offrandes sont faites à un dieu, à des dieux et à des idoles, comme des fleurs, des fruits et des légumes, des animaux et des bêtes, de l'argent, toutes sortes d'objets religieux et même des êtres humains. Le tout a été associé dès les premiers temps à des rituels magiques qui ont donné naissance à des religions naturelles. Mais cela ne s'est pas arrêté là, car avec le temps, de nouvelles formes de religions sont apparues, créées par de faux prophètes, des prêtres et des fanatiques, etc., et dans lesquelles de puissantes hérésies ont donné naissance à de puissantes communautés de croyants et, finalement, à de puissantes religions. Toutes ces religions ont indéniablement des points communs qu'il est impossible de nier. La foi est une contre-proposition à la peur, par laquelle le mal doit être transformé en bien, et ce non seulement dans la nature, mais aussi chez l'homme, qui doit être transformé en véritable homme par des lois religieuses ouvertes et des commandements de foi cachés dans la loi, et donc par une violence cachée. Les forces et les éléments de toutes sortes doivent être accordés de manière amicale, de sorte que, par exemple, la sécheresse se transforme en pluie, la maladie et les épidémies en santé. La faim doit prendre fin grâce à de bonnes récoltes et à la chance à la chasse, tandis que la peur et l'angoisse doivent être transformées en courage et en confiance. La peur et l'angoisse en particulier sont les piliers de toutes les religions et sectes, et ce depuis des temps immémoriaux et jusqu'à nos jours. | Gemäss dem altherkömmlichen Wahnglauben der Menschen gebietet ein monotheistischer Gott über Leben und Tod, wie das aber auch vielzählige Götter und Götzen tun sollen, folglich sie gnädig gestimmt werden sollen. Folgedem werden einem Gott, den Göttern und Götzen Opfer gebracht, wie Blumen, Früchte und Gemüse, Tiere und Getier, Geld, allerlei religiöse Gegenstände und gar Menschen. Das Ganze war schon seit frühen Zeiten mit magischen Ritualen verbunden, aus denen Naturreligionen entstanden. Bei diesen blieb es jedoch nicht, denn mit der Zeit bildeten sich neue Religionsformen, die durch falsche Propheten, Priester und Fanatiker usw. entstanden und bei denen gewaltige Irrlehren zu machtvollen Glaubensgemeinschaften und letztlich zu mächtigen Religionen führten. All diese haben unzweifelhaft Gemeinsamkeiten, die nicht zu leugnen sind. Glauben ist ein Gegenentwurf zur Angst, durch den Böses zum Guten gewandelt werden soll, und zwar nicht nur in der Natur, sondern auch beim Menschen, der durch offene religiöse Glaubensgesetze und gesetzversteckte Glaubensgebote und dadurch durch versteckte Gewalt zum wahren Menschen gewandelt werden soll. Gewalten und Elemente aller Art sollen freundlich gestimmt werden, so sich z.B. Dürre in Regen und Krankheit und Seuchen in Gesundheit verwandeln sollen. Hunger soll durch gute Ernten und Jagdglück ein Ende finden, während Angst und Furcht in Mut und Zuversicht verwandelt werden sollen. Besonders Angst und Furcht sind die tragenden Säulen aller Religionen und Sekten, und zwar schon seit alters her und hineingetragen bis in die heutige Zeit. |
Anxiété et peur sont les fruits fondamentaux de toutes les religions et sectes, jetés en pâture aux croyants et mangés par eux, parce qu'ils ont peur ou redoutent tout ce qui pourrait s'abattre sur eux comme malheurs de quelque nature que ce soit et comme punition directe de Dieu. | Angst und Furcht sind die grundlegenden Früchte aller Religionen und Sekten, die den Gläubigen als Nahrung vorgeworfen und von diesen gegessen werden, weil sie sich vor all dem ängstigen oder fürchten, was an Unbill irgendwelcher Art und als direkte Strafe Gottes auf sie einbrechen könnte. |
En revanche, les croyants sont reconnaissants de l'embellissement du mal qui ne s'est pas abattu sur eux parce que, conformément à leur foi, ils se sont humblement humiliés en priant leur Dieu et en vénérant sa puissance divine. Et ce, au lieu de se faire confiance, de s'identifier à eux-mêmes et de tout faire consciemment avec leur propre énergie et leur propre force pour que tout tourne au bien et au meilleur. Plein d'angoisse et de peur, l'homme ne prend pas consciemment l'initiative de faire ce qui est juste, mais s'abaisse humblement en priant un dieu imaginaire pour quémander une aide qu'un tel personnage imaginaire ne pourra jamais donner, ni pour ne pas être tué par la foudre, ni pour ne pas être englouti par les flots ou écrasé par la grêle. | Gegensätzlich steht dazu die Dankbarkeit der Gläubigen, und zwar für die Verschönung des Übels, das nicht auf sie eingebrochen ist, weil sie sich gemäss ihrem Glauben demütig im Gebet an ihren Gott und in Verehrung seiner göttlichen Gewalt hündisch erniedrigt haben. Dies, anstatt auf sich selbst zu vertrauen, sich mit sich selbst zu identifizieren und eigens bewusst alles mit eigener Energie und Kraft zu tun, um alles zum Guten und Besten zu wenden. Voller Angst und Furcht greift der Mensch nicht selbst bewusst zur eigenen Tat und Initiative, um das Richtige zu tun, sondern erniedrigt sich hündisch-demütig im Gebet an einen imaginären Gott, um Hilfe zu erbetteln, die eine solche Phantasiegestalt niemals geben kann, weder um nicht von einem Blitz getötet zu werden, noch um nicht von Fluten verschlungen oder vom Hagel erschlagen zu werden. |
A l'origine, les religions naturelles sont nées chez les premiers hommes de la peur, de l'angoisse, de la terreur et de l'incompréhension, parce qu'ils se considéraient comme dépendants de la nature, de la vie et de la mort. Ils cherchaient des explications, cherchaient dans l'obscurité, avaient des visions, voyaient des figures, des visages et entendaient des noms, etc., qu'ils considéraient globalement comme vrais, comme une puissance supérieure et une divinité et auxquels ils commençaient à croire. Les pensées et les sentiments de dépendance, de peur et d'angoisse étaient donc les facteurs fondamentaux à partir desquels se formaient des images de puissances supérieures ou d'un dieu ou d'une déesse, autour desquels les pensées et les sentiments tournaient de plus en plus et qui, en fin de compte, donnaient naissance à une croyance. Aujourd'hui encore, la peur et l'angoisse donnent naissance à de nouvelles orientations religieuses, à de nouvelles explications, à de nouvelles formes de croyances et de sectes, et ce au sein de peuples entiers. | Ursprünglich entstanden bei den frühen Menschen Naturreligionen aus Angst, Furcht, Schrecken und Unverstehen, weil sie sich als Abhängige von der Natur sowie von Leben und Tod sahen. Sie suchten nach Erklärungen, suchten in der Dunkelheit, erlebten Visionen, sahen Gestalten, Gesichter und hörten Namen usw., was sie gesamthaft als wahr annahmen, als höhere Macht und Gottheit erachteten und daran zu glauben begannen. Also waren Gedanken und Gefühle der Abhängigkeit sowie der Angst und der Furcht die grundlegenden Faktoren, aus denen Bilder höherer Mächte resp. eines Gottes oder einer Göttin entstanden, um die sich die Gedanken und Gefühle immer mehr drehten und letzten Endes ein Glaube daraus entstand. Und tatsächlich ist es noch heute so, dass aus Angst und Furcht neue religiöse Richtungen, Erklärungen und Wahnglaubensformen sowie Sekten entstehen, und zwar in den Massen ganzer Völker, bei denen angst-, furcht- und schreckenerregende Ereignisse und Erscheinungen sowie normale oder ausserordentliche Wirkungen der Natur zum Gegenstand eines religiösen oder sektiererischen Wahnglaubens gemacht werden. |
De nos jours, la science rend le monde, la vie et l'univers explicables dans tous leurs facteurs physiques et dissipe les ténèbres de l'ignorance. Mais cela n'empêche pas les croyants des religions et des sectes de continuer à persister dans l'obscurité de l'ignorance et à s'adonner à des hérésies religieuses et sectaires. En réalité, ils ne le font que parce que, d'une part, leur croyance est transmise et active en eux comme un héritage maléfique et que, d'autre part, ils restent prisonniers de la peur et de la crainte, dont ils n'osent pas se libérer par crainte d'un châtiment divin. | In der heutigen Zeit macht die Wissenschaft die Welt, das Leben und das Universum in allen physikalischen Faktoren erklärbar und vertreibt die Dunkelheit des Unwissens. Das aber hindert die Gläubigen von Religionen und Sekten nicht daran, weiterhin in der Dunkelheit des Unwissens zu verharren und den religiösen und sektiererischen Irrlehren zu frönen. Tatsächlich tun sie das aber nur, weil einerseits ihr Glaube als böses Erbgut in ihnen überliefert und machtvoll tätig ist, und andererseits sind sie weiterhin von Angst und Furcht befangen, wovon sie sich nicht zu befreien wagen, weil sie göttliche Strafe fürchten. |
Et ce châtiment divin, croient-ils, leur tombe dessus sous forme de maladie, d'épidémie, de détresse et de misère, de malheur, de foudre, de raz de marée, de sécheresse, de grêle, d'orage, de pauvreté ou de honte, etc. | Und diese göttliche Strafe, so glauben sie, komme über sie als Krankheit, Seuche, Not und Elend, als Unglück, Blitzschlag, Sturmflut, Dürre, als Hagel, Ungewitter, Armut oder Schande usw. |
L'homme n'est pas un animal ou une bête qui s'aperçoit quand il s'agit de mourir, car il est devenu insouciant et négligent dans ces choses, mais contrairement à l'animal et à la bête, il est conscient qu'il mourra tôt ou tard et qu'il ne peut pas éviter la mort. Mais plus d'un a peur de la mort, car il ne sait pas ce qu'il y a après la vie dans la mort. Il ne sait pas non plus ce qu'il y avait avant sa vie et quel est le but de celle-ci. Sans réponse à ces questions, la vie n'a pas de sens pour l'homme, elle n'est pour ainsi dire rien d'autre qu'une mauvaise blague dans le temps de l'éternité. Mais c'est aussi une raison pour laquelle l'homme se cherche un dieu et se voue à lui avec une foi folle, dans l'espoir qu'il juge tout, qu'il donne un sens réel à tout et qu'il ait la solution pour tous. C'est donc aussi pour cette raison que l'homme se tourne vers une religion ou une secte et croit ainsi qu'il est en de bonnes mains et qu'il fait ce qui est juste. Mais la foi religieuse ou sectaire n'est en réalité rien d'autre qu'un désespoir quant au but de la vie. Si l'homme croyant savait où le mènent ses joies et ses peines (comme l'indique et l'enseigne la doctrine de l'esprit), il verrait un but visible à ses efforts et trouverait une explication plausible et logique à la confusion de ses intérêts, de ses pensées, de ses sentiments, de ses désirs, de ses attentes, de ses besoins et de ses espoirs, etc. En fait, il n'adhérerait plus aux fausses doctrines des religions, des sectes, des fausses idéologies et des philosophies et ne croirait plus en aucun dieu, mais vivrait uniquement la vérité naturelle et créatrice, se reconnaîtrait comme une puissance élevée et ferait, réaliserait et mènerait à bien tout ce qu'il entreprend par sa propre énergie et sa propre force. | Der Mensch ist kein Tier oder Getier, das merkt, wenn es ans Sterben geht, denn er ist in diesen Dingen unachtsam und nachlässig geworden, doch gegensätzlich zum Tier und Getier ist er sich bewusst, dass er früher oder später sterben wird und dem Tod nicht ausweichen kann. Doch vor dem Tod fürchtet sich so mancher, weil er nicht weiss, was nach dem Leben im Tode kommt. Auch weiss er nicht, was vor seinem Leben war und welchen Zweck dieses eigentlich hat. Ohne Antworten auf diese Fragen bleibt für den Menschen das Leben sinnlos, sozusagen nichts anderes als ein böser Witz in der Zeit der Ewigkeit. Auch das aber ist ein Grund dafür, dass sich der Mensch einen Gott sucht und sich ihm wahngläubig verschreibt, in der Hoffnung, dass er alles richte, allem einen wirklichen Sinn gebe und die Lösung für alle habe. Also wendet sich der Mensch auch aus diesem Grund einer Religion oder Sekte zu und damit dem Glauben, dass er damit gut aufgehoben sei und des Rechtens tue. Doch religiöser oder sektiererischer Glaube ist wahrheitlich nichts anderes als eine Verzweiflung am Lebenszweck. Wüsste der gläubige Mensch, wohin ihn seine Freuden und Leiden führen (wie diesbezüglich alles ausführlich durch die Geisteslehre kundgetan und gelehrt wird), dann würde er ein sichtbares Ziel seiner Anstrengungen erkennen und einen plausiblen und logischen Erklärungsgrund für sein wirres Durcheinander seiner Interessen sowie für seine Gedanken, Gefühle, Wünsche, Erwartungen, Bedürfnisse und Hoffnungen usw. finden. Tatsächlich würde er dann auch keinen Irrlehren der Religionen, Sekten, falschen Ideologien und Philosophien anhängen und an keinen Gott glauben, sondern nur noch der schöpferisch-natürlichen Wahrheit leben, sich selbst als hohe Macht erkennen und alles durch eigene Energie und Kraft tun, bewerkstelligen und zum besten Erfolg bringen. |
L'homme qui tombe dans une croyance religieuse ou sectaire ne compte pas sur lui-même, ni sur sa propre énergie et sa propre force, ni sur ses propres capacités, mais il cherche lâchement toutes ces valeurs auprès d'un dieu et dans sa foi, parce qu'il n'a aucune confiance en lui-même et en ses capacités et possibilités, parce qu'il ne les fait reposer que sur son dieu. Le croyant cherche auprès de Dieu, des anges ou des saints de l'aide pour sortir de son désespoir. Pour celui qui est dépendant de la foi, Dieu devient le grand principe d'ordre pour toutes les erreurs et les confusions humaines, parce qu'en tant que croyant, il ne peut pas établir lui-même l'ordre et ne peut pas le maintenir, ce qui fait de Dieu également la raison d'explication de la vie, du monde, de l'univers et de tous les événements, ainsi que le but de tous les efforts et le fondateur de la vie et de son sens. | Der einem religiösen oder sektiererischen Glauben verfallene Mensch verlässt sich nicht auf sich selbst, nicht auf seine eigene Energie und Kraft und nicht auf sein eigenes Können, sondern er sucht feige all diese Werte bei einem Gott und in seinem Glauben, weil er keinerlei Vertrauen zu sich selbst und zu seinen Fähigkeiten und Möglichkeiten hat, weil er sie nur seinem Gott zumutet. Der Gläubige sucht bei Gott, Engeln oder Heiligen Hilfe aus seiner Verzweiflung. Für den Glaubensabhängigen wird Gott zum grossen Ordnungsprinzip für alle menschlichen Irrungen und Wirrnisse, weil er als Gläubiger die Ordnung nicht selbst erstellen und nicht aufrechterhalten kann, wodurch er Gott auch zum Erklärungsgrund für das Leben, die Welt, das Universum und alle Geschehen sowie zum Ziel aller Anstrengungen und zum Stifter des Lebens und dessen Sinn macht. |
Le croyant vit dans l'illusion que Dieu empêche tout mal, tout mal et toute sorte d'adversité, si seulement on croit en lui et qu'on le prie avec insistance. Et Dieu, croit le croyant, l'empêche d'être en sécurité dans la vie et de se sentir comme une plume flottant au vent. Et en effet, l'homme croyant veut toujours avoir une raison pour ce qui lui arrive. Mais là où il ne peut pas trouver de raison, le croyant s'accroche à sa foi en Dieu et à l'idée que c'est la providence divine. Lorsqu'il n'y a pas de raison à quelque chose, non seulement le croyant individuel, mais en règle générale tous les croyants en Dieu s'en tiennent à la croyance que les événements incompréhensibles correspondants sont l'œuvre et la volonté de Dieu en tant que maître du monde et du destin, et qu'il faut simplement les accepter. Et ils pensent que leur vie suit un destin bien réfléchi et déterminé par Dieu, auquel ils sont livrés, parce que leur idée d'un ordre, d'une intention et d'un destin supérieurs les rassure. Orienter ainsi sa vie vers un Dieu donne au croyant un sens, même si celui-ci est extrêmement trompeur. Mais ce sens trompeur donne à la vie du croyant une signification erronée et une structure confuse. Le croyant se trompe lui-même et pense que sa vie perdure au-delà de la mort, s'il croit que des promesses célestes se développent pour lui, et c'est précisément ce qui crée une raison supplémentaire d'avoir une foi humble, car les prétendus commandements divins et les règles de vie religieuses terrestres détruisent peu à peu toute raison. Il n'y a plus qu'une relation entre le Dieu imaginaire et l'homme croyant. En même temps, il en résulte un système d'éthique et de morale religieuses qui doit régler les rapports entre les hommes, où même les punitions dictées par Dieu - jusqu'au meurtre - sont affirmées comme éthiques et morales. L'homme de la Terre est malheureusement dépourvu d'intelligence et de raison en ce qui concerne la foi, Dieu, les religions et les sectes, il pense de manière illogique et est en outre obstiné, c'est pourquoi il ne veut pas se détacher des constructions religieuses et sectaires dans lesquelles il est pris depuis toujours. | Der Gläubige lebt im Wahn, dass Gott alles Böse, alles Übel und jede Art von Unbill verhindere, wenn nur an ihn geglaubt und zu ihm flehentlich gebetet werde. Und Gott, so glaubt der Gläubige, verhindere, dass er im Leben keine Sicherheit habe und sich nicht wie eine treibende Feder im Wind fühle. Und tatsächlich ist es so, dass der gläubige Mensch immer einen Grund dafür haben will, was ihm zustösst. Wo er aber keinen Grund erkennen kann, hält sich der Gläubige an seinen Glauben an Gott und an die Einbildung, dass es göttliche Fügung sei. Wo für etwas kein Grund zu erkennen ist, hält sich nicht nur der einzelne Gläubige, sondern halten sich in der Regel alle Gottgläubigen an den Glauben, dass die entsprechenden unverständlichen Begebenheiten das Werk und der Wille Gottes als Welten- und Schicksalslenker seien, die einfach hingenommen werden müssten. Und sie meinen, ihr Leben folge einem wohlüberlegten und durch Gott bestimmtes Geschick, dem sie ausgeliefert seien, weil ihre Vorstellung einer höheren Ordnung, Absicht und Bestimmung sie beruhigt. Auf diese Weise das Leben auf einen Gott auszurichten, gibt dem Gläubigen einen Sinn, auch wenn dieser äusserst trügerisch ist. Durch diesen trügerischen Sinn bekommt das Leben des gläubigen Menschen aber eine falsche Bedeutung und wirre Struktur. Der Gläubige trügt sich selbst und meint, dass sein Leben über den Tod hinaus Bestand habe, so er glaubt, es würden sich für ihn himmlische Verheissungen entwickeln, und genau dadurch entsteht ein weiterer Grund zum demütigen Glauben, weil nämlich angebliche göttliche Gebote und religiöse irdische Lebensregeln allmählich alle Vernunft zerstören. Es erfolgt nur noch eine Gestaltung einer Beziehung zwischen dem imaginären Gott und dem gläubigen Menschen. Gleichzeitig erwächst daraus ein System religiöser Ethik und Moral, das die Verhältnisse unter den Menschen regeln soll, wobei auch gottbefohlene Strafen – bis hin zum Mord – als ethisch und moralisch als richtig behauptet werden. Der Mensch der Erde ist leider in bezug auf Glaube, Gott, Religionen und Sekten verstandes- und vernunftlos sowie unlogisch denkend und zudem eigensinnig, folglich er sich von den religiösen und sektiererischen Glaubensgebilden nicht lösen will, in denen er sich schon seit alters her verfangen hat. |
SSSC, January 24, 2009, 11:23 PM | SSSC, 24. Januar 2009, 23.23 h |
Billy | Billy |