Les valeurs de l'éthique et de la morale

From L'avenir de l'humanité
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NOTE IMPORTANTE
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N.B. Cette traduction contient des erreurs dues aux différences linguistiques insurmontables entre l'allemand et le français.
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Introduction

  • Traduction complète :
  • Publication FIGU: 6 Avril 2023
  • Traducteur(s) version française: Gérald Leroy Chamblack, Daniela Beyeler
  • Date de la traduction finale: 11/08/2023 - correction n°11
  • Corrections & amélioration apportées pour la version française: Gérald Leroy Chamblack, Daniela Beyeler
  • Die Werte der Ethik und Moral


Synopsis

Il s'agit d'une publication de la FIGU. Il s'agit d'une traduction française officielle et autorisée qui peut contenir des erreurs. Veuillez noter que toutes les erreurs et fautes, etc., seront continuellement corrigées, en fonction du temps disponible des personnes impliquées (comme convenu avec Billy/FIGU). Par conséquent, ne faites pas de copier-coller et ne publiez pas cette version ailleurs, car toute amélioration ou correction sera apportée ICI dans cette version !

Les valeurs de l'éthique et de la morale

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Traduction Française
Original Swiss-German - Haut Allemand
Les valeurs de l'éthique et de la morale Die Werte der Ethik und Moral
L'explication suivante, basée sur la théorie de l'intérêt, doit permettre à l'être humain de comprendre plus facilement pourquoi il doit développer et mener sa vie et son existence de manière éthique et morale. Die folgende interessentheoretische Erklärung soll dem Menschen das Verstehen erleichtern, warum er sein Leben und Dasein ethisch-moralisch gestalten und führen soll.
L'éthique et la morale sont sans aucun doute liées et souvent assimilées, cependant il existe une différence importante, car les normes et valeurs respectives de la morale sont considérées comme un groupe unique, alors que l'éthique décrit plutôt ce qui est juste ou faux, ce qui peut être expliqué par une description différente et scientifique comme une discussion générale sur le ‹juste› ou le ‹faux›. Néanmoins, l'éthique et la morale seront expliquées dans leur contexte. Ethik und Moral hängen zweifelsfrei beide zusammen und werden oft gleichgesetzt, doch es gibt einen entscheidenden Unterschied, denn die jeweiligen Normen und Werte der Moral gelten als eine alleinige Gruppe, während die Ethik vielmehr beschreibt, was richtig oder falsch ist, was mit einer anderen und wissenschaftlichen Beschreibung als allgemeine Auseinandersetzung mit ‹richtig› und ‹falsch› erklärt werden kann. Nichtsdestotrotz sollen folgend Ethik und Moral im Zusammenhang erklärt werden.
Partout, il y a des occasions de se comporter consciemment conformément à l'éthique et à la morale, d'être poli, honnête, tolérant et prévenant, que ce soit pendant la vie entière quotidienne ou dans la vie tout court. Un comportement éthique et moral dans sa forme donnée naturellement peut être pratiqué dans toutes les situations de l'existence, c'est-à-dire dans tous les domaines privés, dans chaque société, sur le lieu de travail, avec les amis et les connaissances, ainsi qu'en famille, dans les relations avec tout le monde et également dans la circulation routière, etc. L'éthique et la morale sont également des instructions pratiques sur la manière de mener sa vie, sur les conditions et les règles valables qui s'y rapportent, ainsi que sur la manière correcte d'agir et de faire, ce à quoi l’être humain doit toujours et répétitivement se confronter. En particulier, l'éthique et la morale, dans leurs formes traditionnelles et valorisées, sont toujours au premier plan et sont considérées comme des valeurs particulières, à savoir la protection de la vie, le libre-arbitre, l'action juste et la préservation de la liberté. Überall gibt es Gelegenheiten, sich der Ethik und Moral gemäss bewusst zu verhalten, sich höflich, ehrlich, tolerant und rücksichtsvoll zu benehmen, so im täglichen Leben wie auch während des ganzen Lebens überhaupt. Ein ethisch-moralisches Benehmen in der natürlich gegebenen Form lässt sich in allen Lagen des Daseins praktizieren, so in allen privaten Bereichen, in jeder Gesellschaft, am Arbeitsplatz, bei Freunden und Bekannten, wie auch in der Familie, mit jedermanns Umgang und auch im Strassenverkehr usw. Ethik und Moral sind auch praktische Anleitungen zur Lebensführung, zu diesbezüglich wertigen Bedingungen und Regeln, wie auch zum korrekten Handeln und Tun, womit sich der Mensch immer wieder auseinanderzusetzen hat. Insbesondere stehen dabei immer die Ethik und Moral in deren wertig-traditionellen Formen im Vordergrund, die als besondere Werte verzeichnet werden, nämlich der Schutz des Lebens, der freie Wille, das richtige Handeln und der Erhalt der Freiheit.
Par "éthiques et morales", on entend les valeurs et les règles généralement reconnues au sein de la famille, de l'amitié, des connaissances ou de la société. Lorsque l'on dit qu'une personne a agi ou agit correctement du point de vue éthique et moral, cela signifie en tout cas qu'elle s'est efforcée ou s'efforce de se comporter de la manière que les gens ont jugée juste et bonne. Les valeurs et les règles de l'éthique et de la morale sont alors qualifiées de bonnes et généralement reconnues comme précieuses. Als ethisch-moralisch werden dabei die Werte und Regeln bezeichnet, die in der Familie, in einer Freundschaft, Bekanntschaft oder Gesellschaft allgemein anerkannt sind. Wenn dabei gesagt wird, dass von einem Menschen ethisch-moralisch richtig gehandelt wurde oder wird, dann ist jedenfalls damit gemeint, dass er sich mit seinem Verhalten derart bemüht hat oder sich so bemüht, wie es die Menschen für richtig und gut fanden resp. finden. Dabei werden die Werte und Regeln der Ethik und Moral als gut bezeichnet und allgemein als wertvoll anerkannt.
En ce qui concerne l'éthique et la morale, il existe également certains commandements qui prescrivent un certain comportement éthico-moral, comme par exemple le fait qu'il soit explicitement ordonné par écrit ou oralement: «Tu ne tueras pas», tout comme le «Tu ne voleras pas», sachant que sans ces commandements en tant que lois, la vie en commun dans une société n'est pas bien possible. Bei der Ethik und Moral gibt es auch gewisse Gebote, die ein bestimmtes ethisch-moralisches Handeln vorschreiben, wie z.B., dass explizit schriftlich oder mündlich geboten wird: «Du sollst nicht töten», wie auch das «Du sollst nicht stehlen», wobei ohne diese Gebote als Gesetze ein Zusammenleben in einer Gesellschaft nicht gut möglich ist.
Un acte contraire à l'éthique et à la morale est mauvais et erroné lorsqu'il est exécuté en dépit du fait qu'il est contraire au devoir et qu'il est exécuté par négligence, par colère ou explicitement parce qu'il est motivé par un motif mauvais et vindicatif ou égoïste. Eine unethisch-unmoralische Handlung ist genau dann falsch und schlecht, wenn sie ausgeführt wird, obwohl sie pflichtwidrig ist und aus Nachlässigkeit, Wut oder explizit deshalb ausgeführt wird, weil ein schlechtes und rachsüchtiges oder eigennütziges Motiv dahintersteckt.
La vie interpersonnelle est en fait naturellement reglée par l'éthique et la morale, c'est-à-dire par les éthiques et les morales naturelles, celles-ci ayant également une fonction d'ordre, et cela en relation avec toutes les valeurs données en commun par la légitimité, qui ne sont pas données à l’être humain par la nature, mais doivent être apprises séparément et consciemment par lui. L'éthique et la morale représentent pour l’être humain un cadre normatif fondamental pour son comportement et son action vis-à-vis de ses semblables, au sein de sa famille, de ses amitiés, de ses connaissances et dans l’ensemble de la société. Das zwischenmenschliche Leben wird eigentlich natürlich ethisch-moralisch und also durch die natürlichen Ethiken und Moralen geregelt, wobei diese auch eine ordnende Funktion haben, und zwar im Zusammenhang mit all den durch die Legitimation gesamthaften Werte, die dem Menschen nicht naturmässig gegeben sind, sondern separat von ihm bewusst erlernt werden müssen. Die Ethik und Moral stellen für den Menschen einen grundlegenden normativen Rahmen für sein Verhalten und Wirken gegenüber den Mitmenschen, in der Familie, den Freundschaften, Bekanntschaften und innerhalb der Gesellschaft dar.
L'éthique et la morale s’occupent en relation avec le principe de base du comportement de l'espèce humaine envers ses semblables en premier lieu, mais aussi – ce que la science de la psychologie ne dit généralement pas, car elle ne semble même pas le savoir – envers la planète Terre, la nature et sa faune et sa flore. Les valeurs éthiques et morales se rapportent également aux questions de sexualité, comme elles ne se limitent pas et ne se limitent jamais à de nombreuses autres choses, mais sont extrêmement importantes, par exemple en ce qui concerne la logique, l’entendement, la raison et la responsabilité. Celles-ci ont toujours été particulièrement valables et le resteront à l'avenir. Ainsi les pensées et les sentiments, qui peuvent par exemple aller d'une satisfaction éthique et morale jusqu’aux émotions étranges en passant par l'indignation, la pitié ou la culpabilité, doivent à eux seuls être divisés en valeurs dont l’être humain ne prend normalement jamais conscience. Die Ethik und Moral beschäftigen sich bezüglich der Gattung Mensch in erster Linie mit dem ihm natürlich gegebenen Grundprinzip des Verhaltens zu seinen Mitmenschen, wie aber – was in der Regel von der Wissenschaft der Psychologie nicht gesagt wird, weil sie dies anscheinend nicht einmal weiss – auch zum Planeten Erde, zur Natur und deren Fauna und Flora. Die ethisch-moralischen Werte beziehen sich aber auch auf Fragen der Sexualität, wie sie sich jedoch auch auf sehr viele andere Dinge nicht und nie beschränken, sondern äusserst wichtig sind, wie z.B. bezüglich der Logik, des Verstandes, der Vernunft und der Verantwortung. Diese haben besonders und in jedem Fall immer gegolten und müssen für alle Zukunft gelten. Allein schon die Gedanken und Gefühle, die z.B. von einer ethisch-moralischen Befriedigung über eine Empörung, Mitleid oder Schuld bis hin zu seltsamen Emotionen führen können, sind in Werte aufzuteilen, deren sich der Mensch normalerweise niemals bewusst wird.
L'éthique et la morale s’occupent fondamentalement de l'action humaine du bien et du mal ainsi que du juste et du faux, et plus particulièrement du comportement. Die Ethik und Moral befassen sich grundlegend mit dem menschlichen Handeln des Gut und Böse wie auch mit dem Richtigen und Falschen, und zwar insbesondere des Verhaltens.
Ces valeurs se sont développées il y a des centaines de millions d'années et ont été intégrées naturellement au cours de l'évolution dans tous les êtres vivants, y compris dans les valeurs fondamentales de l'être humain. Ceci, alors qu'ailleurs, la majorité des valeurs doivent être acquises par l’être humain lui-même, par l'éducation et la formation, etc. doit être élaborée par l'individu lui-même. Diese Werte haben sich schon vor vielen Hunderten von Jahrmillionen natürlich entwickelt und im Lauf der Evolution als Veranlagung in allen Lebewesen, und also auch in den Grundwerten im Menschen natürlich eingelagert. Dies, während anderweitig der Grossteil aller Werte jedoch vom Menschen durch Erziehung und Anerziehung usw. selbst erarbeitet werden muss.
Fondamentalement, les notions de base de l'éthique et de la morale ne permettent donc pas à l’être humain de faire ce qui est juste sur le plan éthique et moral. En revanche, le grand reste de toutes les valeurs éthiques et morales, qui distinguent l'être humain de tous les autres êtres vivants, doivent être apprises par l'être humain lui-même, car elles ne sont pas données naturellement. L'être humain a en effet une personnalité avec une conscience qu'il peut utiliser consciemment et aussi instinctivement et sentimentalement, ceci contrairement à d'autres formes de vie qui ne peuvent utiliser leur conscience que de manière faiblement partiellement consciente et instinctive. Et lorsque l'être humain apprend les nombreuses autres valeurs de l'éthique et de la morale, il s'élève à la véritable humanité, et donc aussi à mener une cohabitation sociale à sa propre manière, qui est exempte de haine, qui réprouve toute vengeance et toute rétribution, toute calomnie et toute malhonnêteté de quelque nature que ce soit, tout comme il n'exerce pas de violence, ne commet pas de meurtre et d'assassinat, et ne connaît donc aucune inimitié et ne fait pas la guerre. Grundsätzlich sind die Grundbegriffe von Ethik und Moral vom Menschen also nichts, was ihn befähigt, das ethisch-moralisch Richtige zu tun. Hingegen ist der grosse Rest aller ethischen und moralischen Werte, die den Menschen von allen anderen Lebewesen unterscheidet, von diesem selbst zu erlernen, weil sie nicht natürlich vorgegeben sind. Der Mensch hat nämlich eine Persönlichkeit mit einem Bewusstsein, das er bewusst und auch instinktiv-gefühlsmässig nutzen kann, dies im Gegenteil zu anderen Lebensformen, die ihr Bewusstsein nur schwach teilbewusst und instinktiv nutzen können. Und wenn der Mensch die vielen anderen Werte der Ethik und Moral erlernt, dann erhebt er sich zum wahren Menschsein, und damit auch dazu, ein gesellschaftliches Zusammenleben auf eigene Weise zu führen, was frei von Hass ist, jede Rache und Vergeltung, Verleumdung und Unehrlichkeit jeder Art verpönt, wie er aber auch nicht Gewalt ausübt, nicht Mord und Totschlag begeht und also auch keinerlei Feindschaft kennt und keine Kriege führt.
L'éthique et la morale ne signifient pas seulement qu'il ne faut pas tuer, mais qu'il ne faut pas faire la guerre, qu'il ne faut pas condamner à mort, mais aussi que l’être humain ne doit pas se battre, ne pas haïr, ne pas être violent, etc. Mais l'éthique et la morale disent aussi que l’être humain doit être sûr de lui, de ses capacités, de son devoir, de son honnêteté, etc. Ethik und Moral bedeuten nicht nur, dass nicht getötet werden soll, sondern sie besagen auch, dass nicht Kriege geführt und nicht Todesstrafen verhängt werden sollen, dass aber auch der Mensch nicht streiten, nicht hassen und nicht gewalttätig usw. sein soll. Ethik und Moral sagen aber auch aus, dass der Mensch selbstbewusst, selbstsicher, pflichtgetreu und ehrlich usw. sein soll.
Il a été affirmé que les opinions éthiques et morales en matière de drogues, de sexe, etc. sont à 50 % héréditaires, tandis que les 50 % restants s'expliquent par l'environnement social unique. Cela ne peut toutefois pas être considéré comme tel conformément à l'éthique et à la morale naturelles, qui sont en effet, par nature, entièrement orientées vers la garantie de la coexistence de chaque genre et de chaque espèce, chacun avec ses semblables. Ce caractère naturel des valeurs éthiques et morales ne comprend toutefois que la plus petite partie, car le grand ensemble de l'éthique et de la morale doit être élaboré par l’être humain lui-même. Celles-ci sont cependant à déterminer individuellement par chaque personnalité en ce qui concerne toutes les valeurs de l'ensemble de l'éthique et de la morale, qu'elles soient élaborées ou non. Explicitement, ces valeurs ne peuvent être ni transmises pour quoi que ce soit, ni transmises directement ou indirectement, car elles doivent être apprises et appliquées consciemment et volontairement. Es wird behauptet, dass die ethisch-moralischen Ansichten bezüglich Drogen und Sex usw. zu rund 50 Prozent vererbbar seien, während die restlichen 50 Prozent der Abweichung durch das einzigartige soziale Umfeld erklärt werden. Das kann jedoch entsprechend der natürlichen Ethik und Moral nicht so gesehen werden, die nämlich naturmässig völlig darauf ausgerichtet sind, das Zusammenleben jeder Gattung und Art, je ihresgleichen, zu gewährleisten. Dieses Natürliche der ethisch-moralischen Werte umfasst jedoch nur den kleinsten Teil, denn das grosse Gesamte der Ethik und Moral ist vom Menschen selbst zu erarbeiten. Diese sind jedoch bezüglich aller Werte der gesamten Ethik und Moral individuell von jeder Persönlichkeit zu bestimmen, ob sie erarbeitet werden oder nicht. Explizit sind diese nämlich hinsichtlich Ansichten und Vermutungen weder für irgend etwas, noch direkt oder indirekt vererbbar, denn diese Werte müssen richtigerweise bewusst und willig erlernt und auch umgesetzt werden.
Les enfants apprennent déjà inconsciemment la partie naturelle de l'éthique et de la morale lorsqu'ils sont encore très jeunes, car en règle générale, ils sont endoctrinés dès la naissance, et ce sans que les parents ne le remarquent et ne le réalisent donc pas. Tout se passe de telle sorte que les nouveau-nés sont tout naturellement pris en charge par les 'caresses' éthiques et morales naturelles de la mère et du père. C'est ce que faisaient déjà naturellement les premiers êtres vivants il y a des centaines de millions d'années, ce qui permettait la cohabitation des familles et des troupeaux de formes de vie, et c'est ce que font inconsciemment les êtres humains aujourd'hui. Une partie des êtres humains est cependant capable, grâce à sa personnalité et à la force de la conscience qu'elle utilise, de prendre des décisions éthiques et morales avec des pensées conscientes et des sentiments qui en découlent. Ceci, alors que l'autre partie des êtres humains, beaucoup plus importante, cultive, sans en être consciente, des pensées illusoires et est tombée dans une folie de la foi, vivant ainsi dans la croyance, méprisant la réalité et sa vérité et la punissant par sa foi. C'est le signe que la croyance, qu'elle soit religieuse ou profane, est profondément enracinée dans le caractère de l’être humain et qu'il n'est pas capable de percevoir la réalité telle qu'elle est réellement. Ces personnes ont, du fait de leur croyance, une perception erronée, ce qui les empêche de distinguer la réalité et sa vérité, ainsi que ce qui est irréel et ce qui ne l'est pas. Cela a inévitablement pour conséquence qu'ils considèrent, en raison de leur folie de la foi, que celle-ci est juste mais que la réalité est fausse et qu'ils défendent leur foi avec véhémence. Ils ne sont donc pas capables de reconnaître le négatif ou le positif, et ils ne savent pas non plus que le vrai, le bien et le juste ne viennent pas et ne poussent pas tout seuls, mais qu'ils doivent d'abord être plantés et cultivés avant de pouvoir être récoltés et dirigés dans les bonnes voies de la logique et de l’entendement. Ainsi, l’être humain qui tombe dans la folie de la foi doit d'abord trouver une graine qui germe en lui, grandit et lui permet de prendre des décisions éthiques et morales justes et éloignées de la foi, mais vraies et valables. L’être humain qui pense effectivement par lui-même et qui n'est donc pas croyant, pour qui la création de pensées originales et l'orientation de sentiments justes et précieux sont un devoir, et qui construit ainsi un état psychique sain et positif, est véritablement quelqu'un qui mène sa vie avec valeur et qui est capable de maîtriser l'existence à tout moment. Die Kinder lernen schon unbewusst den natürlich gegebenen Teil von Ethik und Moral, wenn sie noch sehr klein sind, denn in der Regel werden sie bereits nach der Geburt damit indoktriniert, und zwar, ohne dass dies von den Eltern wahrgenommen und also nicht realisiert wird. Das Ganze geschieht derweise, dass die Neugeborenen ganz natürlich durch das natürliche ethisch-moralische ‹Hätscheln› der Mutter und des Vaters betreut und befürsorgt werden. Dies eben derart, wie es natürlich vor Hunderten von Jahrmillionen bereits die ersten Lebewesen als natürliche Form machten, folglich dies ein Zusammenleben der Familien und der Herden der Lebensformen ermöglichte, und so, wie es heute unbewusst durch den Menschen geschieht. Ein Teil der Menschen vermag aber infolge seiner Persönlichkeit und Kraft seines von ihm benutzten Bewusstseins mit bewussten Gedanken und daraus entstehenden Gefühlen ethisch-moralische Entscheidungen zu treffen. Dies, während der sehr viel grössere andere Teil der Menschen, ohne sich dessen bewusst zu sein, Scheingedanken pflegt und einer Glaubenswahnsucht verfallen ist, folglich er gläubig dahinlebt und die Wirklichkeit und deren Wahrheit verpönt und mit seiner Gläubigkeit straft. Ein Zeichen dafür, dass der Glaube, sei er religiös oder weltlich, tief im Charakter des Menschen verwurzelt ist und er nicht fähig ist, die Realität so wahrzunehmen, wie diese wirklich ist. Diese Menschen haben aus ihrem Glauben heraus ein falsches Empfinden, folglich sie auch nicht die Wirklichkeit und deren Wahrheit sowie das Unwirkliche und Unwahrheitliche als richtig oder falsch unterscheiden können. Das hat zwangsläufig zur Folge, dass sie infolge ihrer Glaubenswahnsucht diese als richtig, jedoch die Realität als falsch einschätzen und ihren Glauben vehement verteidigen. Sie sind demzufolge weder fähig, das Negative noch das Positive zu erkennen, und sie wissen und verstehen auch nicht, dass das Wahre, Gute und Richtige nicht von alleine kommt und wächst, sondern dass es erst gepflanzt und gepflegt werden muss, ehe es geerntet und in die richtigen Bahnen der Logik und des Verstandes gelenkt werden kann. Also muss der einer Glaubenswahnsucht verfallene Mensch erst einen Samen finden, der in ihm keimt, heranwächst und ihn richtige und dem Glauben ferne, jedoch wahrheitliche und wertige ethisch-moralische Entscheidungen treffen lässt. Der Mensch, der effectiv selbstdenkend und also nicht gläubig ist, dem das ureigene Gedankenschaffen und das Ausrichten richtiger und wertvoller Gefühle Pflicht ist, folglich er damit auch einen gesunden und positiven Psychezustand aufbaut, ist wahrlich jemand, der wertig sein Leben führt und jederzeit das Dasein zu bewältigen vermag.
L'ensemble de ce qui précède est un signe que l'éthique et la morale sont profondément enracinées dans son cerveau, que le sens du bien et du mal est donc toujours présent en lui et qu'il peut toujours reconnaître et saisir correctement la réalité et donc la réalité et sa vérité, qu'il prend donc toujours les bonnes décisions et qu'il est capable d'agir correctement. Das ganze Diesbezügliche ist ein Zeichen, dass tief in seinem Hirn die Ethik und Moral verwurzelt sind, folglich in ihm das Empfinden von richtig oder falsch immer gegenwärtig ist und er stets richtig die Realität und damit die Wirklichkeit und deren Wahrheit erkennen und erfassen kann, folglich er auch stets die richtigen Entscheidungen trifft und richtig zu handeln vermag.
L'énergie de la Création est, avec la personnalité et la conscience, le facteur le plus important dans le fait que l'énergie et la force données par la Création donnent la vie à l'être humain, et ce de telle sorte qu'elles animent la personnalité et donc la conscience. C'est également grâce à cette énergie et à cette force que l’être humain est capable de créer, par sa conscience, des pensées et des sentiments qui lui permettent non seulement de façonner, de former et d'utiliser sa vie quotidienne, mais aussi d'apprendre et d'acquérir un savoir qui lui permet à son tour d'évoluer, de se développer et de devenir plus savant, plus compréhensif, plus connaisseur, plus capable, plus instruit, etc. Il se forme ainsi une impression courante évolutive et une compréhension de la réalité et de sa vérité, ce qui élève fondamentalement la conscience, ses pensées et ses sentiments, ainsi qu’elles forment l'état psychique à une valeur élevée et crée ainsi une morale de normes éthiques et donc de principes de valeurs morales qui régulent le comportement général entre les êtres humains, qui est normalement reconnu et accepté comme obligatoire par de nombreuses personnes, et qui est également ressenti comme une perceptibilité (Empfinden) morale de l'individu. Fondamentalement, il faut comprendre que toute action de la conscience est toujours un produit de l'énergie de la Création et offre à l'être humain la possibilité de maintenir la vie en fonction et d'évoluer en connaissance de cause grâce à son énergie et à sa force. Die Schöpfungsenergie ist, nebst der Persönlichkeit und dem Bewusstsein, der äusserst wichtigste Faktor dessen, dass die schöpfungsgegebene Energie und Kraft dem Menschen das Leben gibt, und zwar in der Weise, dass sie die Persönlichkeit und damit auch das Bewusstsein belebt. Diese Energie und Kraft ist es auch, durch die der Mensch fähig ist, durch sein Bewusstsein Gedanken und Gefühle zu erschaffen, durch die er nicht nur sein tägliches Leben gestalten, formen und nutzen, sondern auch lernen und sich ein Wissen aneignen kann, durch das er wiederum evolutioniert resp. sich entwickelt und wissender, verständiger, kenntnisreicher, könnender und gelehrter usw. wird. Damit bildet sich ein laufender evolutiver Eindruck und ein Verstehen der Wirklichkeit und deren Wahrheit, was grundlegend das Bewusstsein, dessen Gedanken sowie die Gefühle erhebt, wie auch den Zustand Psyche zu einem Hochwert bildet und dadurch eine Moral von ethischen Normen und damit von Grundsätzen sittlicher Werte schafft, die das allgemeine zwischenmenschliche Verhalten regulieren, das normalerweise von vielen Menschen verbindlich anerkannt und akzeptiert, wie auch als sittliches Empfinden des einzelnen empfunden wird. Grundsätzlich ist zu verstehen, dass alles Wirken des Bewusstseins stets ein Produkt der Schöpfungsenergie ist und dem Menschen die Möglichkeit bietet, durch deren Energie und Kraft das Leben in Funktion zu erhalten und wissentlich zu evolutionieren.
Tout ce qui est imaginable et possible sous forme positive ou négative de pensées et de sentiments repose uniquement sur le fait que seule l'énergie de la Création offre toute l'énergie et la force nécessaires pour que l’être humain puisse également créer des sentiments par la pensée. Mais c'est lui qui décide comment il forme ses pensées et ses sentiments, de manière positive ou négative, et s'il est attaché à la réalité et à sa vérité, ou à l'irréalité et donc à la fausseté. Alles erdenklich Mögliche in positiver wie negativer Form der Gedanken und Gefühle beruht einzig darin, dass allein die Schöpfungsenergie alles an Energie und Kraft bietet, dass der Mensch durch das Denken auch Gefühlsregungen erschaffen kann. Wie er aber seine Gedanken und Gefühle in positiver oder negativer Art und Weise formt, und ob er der Wirklichkeit und deren Wahrheit, oder der Unwirklichkeit und damit der Unwahrheit zugetan ist, das entscheidet er selbst.
S'il décide de penser soi-même en réalité réellement, de créer et d'entretenir des sentiments réalistiques positifs, il est alors un être humain qui voit la réalité telle qu'elle est, et qui s'efforce donc constamment de tout juger, de décider et d'agir en fonction de la réalité et de sa vérité. Mais si l’être humain est indécis, négligent, frivole et sans énergie au sens d'une indifférence, ou s'il est trop jeune pour saisir la réalité et sa vérité, il commence très tôt à se cloisonner envers la réalité - en général par endoctrinement sous forme d'éducation et de ouï-dire, ainsi que de "copiage" auprès de connaissances et de l'entourage, etc. Cela a pour conséquence qu'il se tourne vers ce qu'il veut simplement croire et accepter comme vérité, c'est-à-dire qu'il accèpte et se fie sans réfléchir à tout ce qui lui est dit et raconté. Tout ce qui est contraire à la réalité et à sa vérité est rejeté sans réfléchir et considéré comme un mensonge et une tromperie ; mais on mise et espère en revanche sur la réalisation d'une attente, qui reste toujours irréalisable. Et ce, parce que l'espoir en question ne fonde que sur un mensonge éhonté et une tromperie malsaine, qui reposent au fond sur une imagination et une illusion qui entraînent un délire et des expectatives irréalisables. C'est ainsi que l’être humain devient croyant en vient à croire aux mensonges et aux tromperies qui lui miroitent quelque chose qui n'existe pas et qui l'empêchent de réfléchir soi-même et de décider par lui-même, de tout vérifier en profondeur et de trouver la réalité et sa vérité, parce qu'il tombe simplement dans une croyance et ne sait plus s'en détacher. Il en va de même pour toutes les croyances religieuses qui sont inculquées à la majorité des enfants dès leur plus jeune âge, souvent dès la naissance, et qui poussent l'être humain à devenir dépendant de ces croyances et à adopter un comportement religieux en conséquence. Il peut s'agir de n'importe quelle religion, car cela ne fait aucune différence pour la foi elle-même, car elle dégénère en très peu de temps en une énorme dépendance que le jeune être humain n'arrive pas à maîtriser et avec laquelle il devient adulte et traverse sa vie. Entscheidet er sich, selbst real zu denken und daraus real-positive Gefühle zu erschaffen und zu pflegen, dann ist er ein Mensch, der die Realität so sieht, wie diese tatsächlich ist, folglich er stetig bemüht ist, auch alles nach der Wirklichkeit und deren Wahrheit zu beurteilen, zu entscheiden und zu handeln. Ist der Mensch aber unentschlossen, fahrlässig, liederlich und energielos im Sinn einer Gleichgültigkeit, oder ist er zu jung im Erfassen der Wirklichkeit und deren Wahrheit, dann beginnt er schon sehr früh – in der Regel durch Indoktrination in Form von Erziehung und Hörensagen sowie von ‹Abkupferungen› bei Bekanntschaften und der Umgebung usw. –, sich gegenüber der Realität abzuschotten. Dies hat zur Folge, dass er sich dem zuwendet, was er einfach glauben und als Wahrheit annehmen will, folglich er ohne nachzudenken einfach auf all das vertraut und sich darauf verlässt, was ihm gesagt und erzählt wird. Alles Gegenteilige, das auf der Wirklichkeit und deren Wahrheit beruht, wird unbedacht weggewiesen und als Lüge und Betrug erachtet; jedoch wird dafür hoffend auf die Verwirklichung einer Erwartung gesetzt, die aber allezeit unerfüllbar bleibt. Dies darum, weil die diesbezügliche Hoffnung nur auf einer vorgegaukelten dreisten Lügenmache und einer üblen Betrügerei fundiert, die im Grund auf einer Einbildung und Illusion beruht, die einen Wahn und unerfüllbare Erwartungen nach sich zieht. Dadurch kommt der Mensch soweit, dass er bezüglich der Lügen und Betrügereien gläubig wird, die etwas vorgaukeln, was nicht existiert und sein Selbstdenken und Selbstentscheiden in jedem Fall verhindern, dass er eingehend alles nachprüft und die Wirklichkeit und deren Wahrheit findet, weil er einfach einem Glauben verfällt und sich nicht mehr von diesem zu lösen versteht. So geschieht es gleichermassen mit jedem religiösen Glauben, der dem Gros der Kinder von frühester Jugend, oft von Geburt an, indoktrinierend eingehämmert und dadurch der heranwachsende Mensch in eine glaubensmässige Abhängigkeit und in ein dementsprechendes religiös-glaubensmässiges Verhalten getrieben wird. Bei der Religion kann es sich dabei um jedwede handeln, denn für den Glauben selbst macht es keinen Unterschied, denn jeder artet schon in sehr kurzer Zeit zu einer ungeheuren Sucht aus, die der junge Mensch nicht zu beherrschen vermag und mit dieser er dann erwachsen wird und durch sein Leben geht.
Toute croyance religieuse conduit à une dépendance voire à une manie presque irrémédiable, c'est pourquoi la personne qui en est atteinte ressent un fort désir d'ancrer toujours plus profondément en elle son moyen de dépendance qu'est la foi et son comportement addictif, ce qui lui fait perdre le contrôle de sa pensée autonome au point qu'elle croit en toute situation que le Dieu en qui elle croit va déjà tout régler conformément à la vérité. Cette conséquence négative de sa dépendance à la foi ne lui permet plus de s'en passer, et donc de ne jamais ressentir de symptômes de souffrance, ni d'avoir des doutes ou des réflexions sur sa dépendance lorsqu'on l'interroge à ce sujet. Si cela se produit tout de même une fois, les symptômes de souffrance d’état de manque apparaissent immédiatement, ce qui entraîne généralement la fin immédiate des connaissances et des amitiés, etc. avec les personnes qui ont osé élever la voix pour s'interroger ou s'expliquer sur la dépendance à la foi. C'est généralement la raison pour laquelle le croyant néglige tout simplement ses devoirs et, comme nous l'avons déjà expliqué, met fin à des connaissances, des amitiés ou des relations étroites sans aucun bruit. Jeder religiöse Glaube führt zur Abhängigkeit beinahe rettungsloser Sucht, folglich der davon befallene Mensch ein starkes Verlangen spürt, sein Suchtmittel Glaube und sein Suchtverhalten immer tiefer in sich zu verankern, wodurch er diesbezüglich die Kontrolle über sein selbständiges Denken derweise verliert, dass er in jeder Lage glaubt, der Gott, an den er glaubt, werde schon alles gemäss der Richtigkeit richten. Diese negative Folge seiner Glaubenssucht lässt ihn nicht mehr auf diese verzichten, folglich auch nie Entzugserscheinungen, wie aber auch keine Zweifel oder Überlegungen bezüglich der Sucht auftreten, wenn er auf diese angesprochen wird. Geschieht das aber doch einmal, dann treten sofort Entzugserscheinungsleiden auf, die in der Regel dazu führen, dass umgehend Bekanntschaften und Freundschaften usw. mit jenen Menschen beendet werden, die es wagten, fraglich oder erklärend ihre Stimme bezüglich der Glaubenssucht zu erheben. Dies ist in der Regel der Grund, dass vom Gläubigen einfach Pflichten vernachlässigt und, wie schon gesagt, Bekanntschaften, Freundschaften oder enge Beziehungen einfach sang- und klanglos beendet werden.
L'addiction à la foi religieuse ou séculière se développe en général de manière insidieuse chez l'être humain en pleine croissance, c'est-à-dire pas comme chez un adulte qui, à la suite d'une expérience, etc., acquiert d'un seul coup ou en peu de temps une croyance délirante en Dieu. Chez l'enfant, la croyance s'installe insidieusement, par étapes successives, au fur et à mesure que l'âge augmente, et la substance addictive qu'est la croyance est de plus en plus utilisée pour éviter les problèmes, ce qui entraîne la perte du contrôle de sa propre responsabilité en matière d'éthique et de morale, et le remplacement progressif de ce qui a été perdu par de mauvaises habitudes. L'addiction à la foi est telle qu'elle engendre une haine sous-jacente ou ouverte envers tous ceux qui n'ont pas exactement la même foi ou qui n'en ont pas. Die Sucht des religiösen oder weltlichen Glaubens entwickelt sich beim heranwachsenden Menschen in der Regel schleichend, also nicht so, wie bei einem erwachsenen Menschen, der durch irgendein Erlebnis usw. von einem Augenblick zum anderen oder sonstwie in kurzer Zeit sich einen Gotteswahnglauben aneignet. Bei einem Kind erfolgt der Glaube schleichend über mehrere fliessende Stufen, die sich durch die Entwicklung des steigenden Alters ergeben, wobei das Suchtmittel Glaube mehr und mehr dazu gebraucht wird, Problemen auszuweichen, wobei auch die Kontrolle über die eigene Verantwortung bezüglich der Ethik und Moral verlorengeht und das Verlorene durch schlechte Gewohnheiten mehr und mehr ersetzt wird. Dabei dreht sich die Sucht Glauben nur noch derart, dass ein untergründiger oder offener Hass gegen alle Mitmenschen entsteht, die nicht exakt gleichen Glaubens oder ohne diesen sind.
La dépendance à la foi ne repose sur aucune prédisposition génétique, mais uniquement sur des influences d'endoctrinement et sur la "copie" irréfléchie de la foi par la personne concernée. Dans une famille religieusement croyante, l'enfant trouve dès son plus jeune âge une situation de départ difficile en matière de religion et de croyance, ce qui constitue un facteur de risque pour que l'enfant puisse développer son univers mental de manière autonome et sans dommage, car la croyance religieuse que lui présentent les membres de la famille a un effet dangereusement endoctrinant, contre lequel l'enfant ne peut pas ou que très difficilement se défendre. En fonction des conflits familiaux, du stress et de la violence, voire des abus subis pendant l'enfance ou l'adolescence, il en résulte une croyance religieuse qui ne permet pas un développement personnel éthique et moral viable, mais qui détruit à plus forte raison tout contrôle personnel des impulsions éthiques et morales ainsi que le sens du développement social à la base. Cela nuit également aux compétences nécessaires à la mise en place de tous les facteurs de protection importants pour la santé, de sorte que l'être humain en pleine croissance devra forcément faire un usage insuffisant de ses défenses immunitaires dans sa future vie d'adulte. L'ensemble de la violence, des disputes et de nombreuses autres erreurs éthiques et morales, qui proviennent également de l'environnement de la société et qui ont un effet négatif sur le milieu culturel général, contribuent fortement à la folie de la foi, qui n'a pas seulement des effets religieux, mais aussi séculiers. Die Glaubenssucht beruht auf keinerlei genetischen Veranlagung, sondern einzig und allein auf indoktrinierenden Einflüssen und der unbedachten glaubensmässigen ‹Abkupferung› derselben durch den betreffenden Menschen. In einer religiös-gläubigen Familie findet ein Kind in jüngsten Jahren bereits eine schwierige religiös-gläubige Ausgangslage vor, die einen Risikofaktor dessen darstellt, dass das Kind unbeschadet selbständig seine Gedankenwelt entwickeln kann, denn der religiöse Glaube, der ihm durch die Familienmitglieder entgegengebracht wird, wirkt gefährlich indoktrinierend, wogegen sich das Kind nicht oder nur sehr schwer zur Wehr setzen kann. Je nach Familienkonflikten, Stress und Gewalt und gar Missbrauch in der Kindheit oder in der Jugendzeit kommt ein religiöser Glaube zustande, der keine tragfähige ethisch-moralische Selbstentwicklung zulässt, sondern erst recht jede persönlich ethisch-moralische Impulskontrolle und den Sinn für die soziale Entwicklung von Grund auf vernichtet. Dies schädigt auch die Kompetenzen für den Aufbau aller wichtigen Schutzfaktoren bezüglich der Gesundheit, folglich der heranwachsende Mensch zwangsläufig in seinem späteren Erwachsensein mangelhaft mit immungemässen Abwehrkräften zu haushalten hat. Das Ganze der Gewalt, des Streits sowie viele andere ethisch-moralische Unrichtigkeiten, die auch vom Umfeld der Gesellschaft herkommen und die sich negativ auf das allgemeine kulturelle Milieu auswirken, tragen sehr viel zum Glaubenswahn bei, der sich nicht nur religiös, sondern auch weltlich auswirkt.
Les normes sociales insuffisantes de l'éthique et de la morale - qui, en tant que telles, sont manifestement inconnues dans toute leur étendue par la "science psychologique", mais qui constituent dans leur ensemble les valeurs globales par lesquelles l’être humain devient un véritable être humain lorsqu'il les apprend, les maîtrise et les applique dans sa vie quotidienne - sont le grand mal qui fait que l’être humain, en tant qu'être pensant, pense, décide et agit contre ce qui est juste, neutre et positif pour la vie. Tout est ainsi conçu pour le combat, pour la punition malveillante, pour le meurtre et l'homicide, l’être humain pensant, voyant, imaginant et défendant cela comme étant bon et juste. Cela se traduit également dans la jurisprudence, ne serait-ce que par l'application de la peine de mort, la torture secrète ou ouverte, les insultes et les persécutions injustes et les peines injustes. Il y a aussi le facteur de l'exécution des peines, qui s'accompagne souvent de harcèlement, de brimades et d'autres méthodes horribles et inhumaines. Die gesellschaftlichen unzureichenden Normen der Ethik und Moral – die als solche in ihrem gesamten Umfang der ‹Psychologiewissenschaft› offensichtlich unbekannt sind, aber gesamthaft die umfänglichen Werte dessen bilden, durch die der Mensch zum wahren Menschen wird, wenn er diese erlernt, beherrscht und im täglichen Leben anwendet – sind das grosse Übel dessen, dass der Mensch als denkendes Wesen wider das Richtige, Neutrale und das Lebensbejahende denkt, entscheidet und handelt. Alles ist dadurch auf Kampf ausgelegt, auf bösartige Strafe, auf Mord und Totschlag, wobei der Mensch dies als gut und gerecht denkt, sieht, wähnt und verfechtet. Das ergibt sich auch in der Rechtsprechung, und zwar allein schon dadurch, dass die Todesstrafe Anwendung findet, wie auch heimliche oder offene Folter, ungerechte Beschimpfung und Verfolgung und ungerechte Strafmasse. Da ist auch der Faktor der Strafvollziehung, die nicht selten mit Drangsaliererei, Schikaniererei und sonstigen schlimmen und menschenunwürdigen Methoden einhergeht.
La lutte est également menée politiquement, par le biais de mesures légales contraignantes qui restreignent ou privent l’être humain de sa liberté, ainsi que par l'armée, qui combat les hostilités étatiques par la guerre, en donnant l'ordre de tuer et d'assassiner, ce qui entraîne non seulement des morts en masse et de la souffrance, de la détresse et de la misère, mais aussi d'énormes destructions de précieuses réalisations humaines. Mais ce n'est pas tout, car la souffrance et la misère ainsi que la dégénérescence, le mensonge et la fraude financière et autre, le meurtre et l'homicide, etc. causés par différents sports sont tellement contraires à l'éthique et à la morale qu'ils sont plus que sinistres. En effet, ces sports ne sont axés que sur le combat et la victoire, ce qui conduit non seulement à la dispute et à la violence, mais aussi à la haine, à la vengeance et à la persécution, voire au meurtre et à l'homicide. Chacun veut être plus grand et meilleur que l'autre, son prochain, et c'est une raison de plus pour harasser, mépriser et finalement haïr son prochain, etc. Kampf wird aber auch politisch geführt, und zwar mit gesetzlichen Zwangsmassnahmen, durch die dem Menschen die Freiheit beschnitten oder geraubt wird, wie auch mit Militär, durch das staatliche Feindseligkeiten mit Krieg ausgefochten werden, mit Befehlen zum Töten und Morden, was nicht nur massenweise Tote und Leid, Not und Elend bringt, sondern auch ungeheure Zerstörungen von wertvollen menschlichen Errungenschaften. Aber nicht genug damit, denn auch Leid und Not sowie Ausartung, Lug und schwerer finanzieller und sonstiger Betrug, Mord und Totschlag usw. durch verschiedene Sportarten sind derart ethisch-moralisch unwertig, dass es mehr als nur schaurig zu nennen ist. Dies darum, weil diese Sportarten nur auf Kampf und Sieg ausgerichtet sind, was nicht nur zu Streit und Gewalt führt, sondern auch zu Hass, zu Rache und Verfolgung und gar zu Mord und Totschlag. Es ist auch Machtbegehren damit verbunden, und jeder will grösser und besser sein als der andere, sein Nächster, und schon ist damit wieder ein Grund gegeben, um den Mitmenschen zu harmen, zu missachten und letztendlich zu hassen usw.
Il se développe ainsi chez l'individu une psychoactivité qui s'empare de toutes ses réfléxions d’apparence et l'influence de telle sorte que son cerveau met en marche un processus chimique complexe d'environ 90 milliards de cellules nerveuses qui continuent à produire des messagers chimiques et qui, à leur tour, déclenchent des pensées et génèrent une attitude qui demande à être satisfaite, tout comme le revendique l'addiction à la croyance. Ce processus ne peut plus être simplement éliminé, car il est très difficile de le contrôler une fois qu'il s'est produit, c'est pourquoi il faut veiller dès le départ à éviter l'apparition de cet état de dépendance à la foi. Mais cela n'est possible que si l'être humain reste lucide et ne s'abandonne jamais à une quelconque croyance et ne tombe donc pas dans l’addiction à la croyance. Celle-ci agit sans exception de telle sorte que seule une pensée illusoire est encore possible, fondée sur le fait que l’être humain n'est pas capable de penser conformément à la Réalité et à sa Vérité, mais qu'il ne le fait qu'en apparence, ce qu'il ne perçoit cependant pas, car ses pensées illusoires ne sont pas neutres, mais sont dans tous les cas influencées par ce qui le domine par la dépendance à la foi. Dadurch entwickelt sich im Menschen eine Psychoaktivität, die sein gesamtes Scheindenken erfasst und derart beeinflusst, dass sein Gehirn einen komplexen chemischen Prozess von rund 90 Milliarden Nervenzellen in Gang setzt, die weiter chemische Botenstoffe produzieren und diese wiederum Gedanken auslösen und eine Haltung erzeugen, die nach Befriedigung verlangt, genauso, wie es auch die Sucht des Glaubens beansprucht. Dieser Vorgang lässt sich nicht mehr einfach ausschalten, weil er nur noch sehr schwerlich kontrolliert werden kann, wenn er einmal gegeben ist, weshalb bereits von vornherein darauf zu achten ist, dass das Aufkommen dieses Suchtzustandes eines Glaubens vermieden wird. Das aber ist nur möglich dadurch, indem der Mensch bei klaren Sinnen bleibt und sich nie und niemals glaubensmässig irgendeiner Sache hingibt und dadurch nicht der Glaubenssucht verfällt. Diese wirkt ausnahmslos derart, dass nur noch ein Scheindenken möglich ist, das darin fundiert, dass der Mensch nicht der Wirklichkeit und deren Wahrheit gemäss zu denken vermag, sondern dies nur scheinbar tut, was er aber nicht wahrnimmt, weil seine Scheingedanken nicht neutral, sondern in jedem Fall von dem beeinflusst sind, was ihn durch die Glaubenssucht beherrscht.
La problématique du non-apprentissage de l'éthique et de la morale - qui ne sont généralement pas "pratiquées" de manière complète ou seulement insuffisante, parce qu'elles sont recommandées psychologiquement à l'insu de l'individu, qui ne doit ainsi respecter que certains comportements pour être utile à la société - a pour conséquence que la non-maîtrise de celles-ci se manifeste effectivement de manière complète. En fait, l’être humain ne devient pas seulement dépendant de ses croyances, mais aussi du comportement éthique et moral insuffisant qui en découle. Et cela parce que la dépendance à la foi néglige toutes les activités et obligations de la réalité et de sa vérité, ce qui nuit non seulement à l’être humain lui-même, mais aussi à tout son environnement social. Mais l’être humain qui tombe dans la dépendance à la foi ne le perçoit pas, ce dont les raisons sont très variées, dont la plupart se trouvent dans les processus du cerveau, car comme dans le cas d'une dépendance liée à une substance, le comportement stimule le système limbique et réagit en conséquence. Die Problematik des Nichterlernens von Ethik und Moral – die in der Regel auch nicht in völlig umfänglicher Weise und nur in unzureichender Form ‹geübt› werden, weil diese unwissentlich psychologisch empfohlen werden, wodurch nur bestimmte Verhaltensweisen eingehalten werden sollen, um dadurch gesellschaftsdienlich zu sein – hat zur Folge, dass effectiv umfänglich das Nichtbeherrschen derselben in Erscheinung tritt. Tatsächlich wird der Mensch nicht nur bezüglich seines Glaubens süchtig, sondern auch von dem aus diesem hervorgehenden unzulänglichen ethisch-moralischen Verhalten. Und dies geschieht darum, weil die Glaubenssucht alle Aktivitäten und Verpflichtungen der Wirklichkeit und deren Wahrheit vernachlässigt, was nicht nur dem Menschen selbst, sondern dem gesamten sozialen Umfeld schadet. Doch der der Glaubenssucht verfallene Mensch nimmt das nicht wahr, wofür die Gründe sehr vielfältig sind, wovon die meisten in den Vorgängen des Gehirns stecken, denn wie bei einer substanzgebundenen Sucht stimuliert auch das Verhalten das limbische System und reagiert dementsprechend.
Si l'être humain veut réellement se débarrasser de sa dépendance à la foi - religieuse ou séculière - il n'a pas autant de chances que les personnes qui sont tombées dans une dépendance liée à une substance, car chez ces dernières, les symptômes de sevrage peuvent être traités médicalement et les dépendants isolés dans une clinique ou en privé si nécessaire. Cela n'est malheureusement pas possible pour les personnes dépendantes de la religion ou de la foi séculière, car elles sont confrontées quotidiennement à d'autres personnes qui sont également dépendantes de la foi et qui influencent par leur dépendance ceux qui souhaitent s'en libérer. Ils ne peuvent donc compter que sur eux-mêmes et sur leurs efforts conscients pour créer leurs propres pensées et sentiments clairs concernant la Réalité et sa Vérité, et pour vivre en conséquence. Ce faisant, ils doivent également être conscients qu'ils doivent conserver leur volonté de compréhension et leur comportement pour se tourner dorénavant uniquement vers la réalité et sa vérité. Il est faux et donc incorrect de vouloir se libérer de la dépendance à la foi, car il faut savoir que ce sont désormais les pensées et les sentiments ainsi que la perception de la réalité effective qui sont au premier plan et deviennent visibles et audibles. Cela peut aussi empêcher ici et là que des tiers ne tentent de maintenir l'illusion de la foi au moyen d'une "volonté de convaincre". Mais il est également nécessaire de ne pas se laisser abattre, angoisser et irriter par les pensées et les sentiments, mais de contrôler en permanence l'obligation que l'on s'est imposée de lutter contre la dépendance à la foi et de s'en débarrasser. Wenn der Mensch tatsächlich von der Glaubenssucht – religiöse oder weltliche – loskommen will, hat er nicht so gute Chancen wie Menschen, die einer substanzgebundenen Sucht verfallen sind, denn bei diesen können die Entzugserscheinungen medizinisch behandelt und die Süchtigen notfalls in einer Klinik oder privat isoliert werden. Dies ist leider nicht möglich bei religiös oder weltlich Glaubenssüchtigen, weil sie täglich mit Mitmenschen konfrontiert werden, die ebenfalls glaubenssüchtig sind und mit ihrer Sucht jene beeinflussen, die sich davon befreien möchten. Also sind sie auf sich allein und darauf angewiesen, dass sie sich bewusst bemühen, ihre eigenen klaren Gedanken und Gefühle bezüglich der Wirklichkeit und deren Wahrheit zu erschaffen und auch danach zu leben. Dabei müssen sie sich auch klar sein darüber, dass sie sich ihren Willen der Einsicht und ihr Verhalten zu bewahren haben, sich fortan nur noch der Wirklichkeit und deren Wahrheit zuzuwenden. Dabei ist es falsch und also nicht richtig, verheimlichen zu wollen, sich von der Glaubenssucht zu befreien, denn es soll bekannt sein, dass nunmehr die Gedanken und Gefühle und das Wahrnehmen der effectiven Realität im Vordergrund stehen und sichtbar sowie hörbar werden. Das mag hie und da auch verhindern, dass durch Dritte Versuche gestartet werden, mittels eines ‹Überzeugenwollens› das Beibehalten der Glaubenswahnsucht zu erreichen. Es ist aber auch erforderlich, sich gedanklich und gefühlsmässig nicht niedergeschlagen, ängstlich und reizbar machen zu lassen, sondern es bedarf der ständigen Kontrolle der sich eigens auferlegten Verpflichtung, die Glaubenssucht zu bekämpfen und diese abzulegen.
Il ne s'agit donc pas non plus de mener une double vie, mais de vivre ouvertement et honnêtement avec la réalité et sa vérité telles qu'elles sont réellement. Si l'on tient pleinement compte de cela, il n'y a pas de faiblesse ni d'incapacité à vivre sans la folie de la foi, de même qu'il n'y a pas d'ignorance à l'égard des fous de la foi, car ceux-ci sont rencontrés normalement malgré leur folie de la foi, et ce sans être harcelés à propos de leur dépendance, etc. Personnellement, il convient d'observer tous les mécanismes de défense et de protection nécessaires contre le délire de la foi, ce qui signifie qu'il ne faut jamais perdre de vue la réalité et la vérité de la réalité et que les pensées et les sentiments doivent rester sains et orientés vers la réalité, de même que l'état psychique doit être stable en permanence. Es ist also auch nicht so, dass ein Doppelleben geführt, sondern offen und ehrlich mit der Wirklichkeit und deren Wahrheit gelebt werden soll, wie diese tatsächlich ist. Wird dies voll und ganz berücksichtigt, dann ergibt sich auch keine Schwäche und kein Unvermögen, ohne die Glaubenswahnsucht zu leben, wie auch keine Ignoranz gegenüber den Glaubenswahnsüchtigen entsteht, folglich diesen trotz ihres Glaubenswahns normal begegnet wird, und zwar, ohne dass sie bezüglich ihrer Sucht beharkt werden usw. Persönlich aber sind alle erforderlichen Abwehrmechanismen und Schutzvorkehrungen gegen die Glaubenswahnsucht zu beachten, was besagt, dass die Realität der Wirklichkeit und deren Wahrheit nie aus den Augen verloren werden soll und damit die Gedanken und Gefühle gesund und auf die Realität ausgerichtet bleiben, wie auch der Psychezustand stetig stabil zu sein hat.
La folie de la dépendance à la foi est certes très difficile à éliminer, mais elle ne correspond pas à un diagnostic de longévité absolue, car lorsque l’être humain acquiert par l'apprentissage des connaissances éthiques et morales, le sens de la logique, de l’entendement, de la raison et de la responsabilité apparaît également. Il en résulte que la réalité est reconnue et qu'aucun "cher Dieu", aucun ange ou "saint", aucun "bon esprit", etc. ne dirige la vie et toutes les destinées, mais que l’être humain est tout seul à travers ses pensées conscientes, ses sentiments, ses décisions raisonnables et ses actions correctes. Il faut cependant toujours garder la certitude qu'aucune folie de la dépendance à la foi ne règle quoi que ce soit dans la vie, mais que c'est l’être humain seul qui, par ses pensées correctes et ses sentiments valables, détermine ses décisions justes et ses actions responsables à tous égards. Cette base comportementale a été créée de manière aussi naturelle que l'éthique et la morale, qui sont bien sûr apparues il y a des centaines de millions d'années déjà chez les premiers êtres vivants et ont permis à ces derniers de s'associer, voire de former des familles et des troupeaux, et de gérer les conflits. Les temps passés depuis lors se sont écoulés dans le passé, et l'évolution a donné naissance à l’être humain, qui est devenu capable de réfléchir consciemment, de créer des sentiments, de faire preuve de logique, d’entendement et de raison. Cependant, au lieu de se tourner vers l'éthique et la morale naturelles et de les apprendre consciemment dans toutes leurs valeurs, il a agi à l'inverse et s'est éloigné de plus en plus du naturel et donc de la plupart des valeurs de l'éthique et de la morale. Il est ainsi devenu égoïste, a mal réfléchi et a stocké dans les profondeurs de son caractère tout le négatif et le mal qui éclatent à chaque occasion appropriée ou non et conduisent au meurtre et à l'homicide, voire à la guerre et à la destruction depuis des temps immémoriaux. S'y est ajoutée la croyance religieuse, qui s'est transformée en délire et finalement en addiction, de sorte que la majeure partie de l'humanité terrestre est aujourd'hui tombée dans la folie de la croyance et est devenue incapable de cultiver des pensées et de créer des sentiments de manière consciente et autonome, de prendre des décisions correctes et d'agir sans que des facteurs liés à la croyance délirante n'interviennent. La première pierre est posée dès la petite enfance, car c'est à ce moment-là que sont créées les bases de la croyance et donc les précurseurs de l'illusion de la croyance, qui rend l’être humain incapable d'apprendre consciemment toutes les nombreuses valeurs de l'éthique et de la morale naturelles, qui ne sont de toute façon mentionnées par la science psychologique que dans quelques valeurs, mais qui, dans leur ensemble, seraient nécessaires pour que l’être humain devienne vraiment l’être humain véritable qu'il devrait être naturellement. Les valeurs naturelles complètes de l'éthique et de la morale - que l’être humain de la Terre méprise et qui sont donc confrontées à des défis constants dans sa vie - ne se développent pas d'elles-mêmes, mais doivent être apprises consciemment et volontairement. Il n'est donc nullement question de prétendre, comme le font les médias sociaux et les sciences psychologiques, que tout est perfection, car ce mensonge et cette tromperie empêchent l’être humain de remettre en question l'éthique et la morale et d'apprendre que ce qui est enseigné publiquement à ce sujet par les 'spécialistes' n'est rien de plus que du vent. L'érudition très déficiente ne conduit pas l’être humain à devenir un véritable être humain, et ne supprime pas non plus tout le mal et le négatif, comme la Haine, la Vengeance et la Vindicte, ni la Calomnie, la Criminalité et les Crimes, ni le Mensonge et la Tromperie, ni les Guerres, la Colère, la Torture, la Destruction et le Meurtre. Le Meurtre et l'Assassinat en privé ne sont pas non plus endigués, pas plus que les querelles, les autres Gewalt et toutes sortes de maux. Die Glaubenswahnsucht ist zwar sehr mühsam zu beheben, doch sie entspricht keiner Diagnose der absoluten Lebenslänglichkeit, denn wenn der Mensch durch das Erlernen ethisch-moralische Erkenntnisse gewinnt, dann kommt auch der Sinn für Logik, Verstand, Vernunft und Verantwortung auf. Dadurch ergibt sich, dass die Realität erkannt wird und kein ‹lieber Gott›, keine Engel oder ‹Heilige›, ‹gute Geister› usw. das Leben und alle Geschicke lenken, sondern der Mensch ganz allein durch seine bewussten Gedanken, Gefühle, seine vernünftigen Entscheidungen und sein korrektes Handeln. Dabei soll jedoch immer die Gewissheit gegenwärtig bleiben, dass keine Glaubenswahnsucht irgend etwas im Leben regelt, sondern der Mensch allein durch seine korrekten Gedanken und wertigen Gefühle seine richtigen Entscheidungen und sein in jeder Weise verantwortungsbewusstes Handeln bestimmt. Diese Verhaltensbasis ist so natürlich geschaffen, wie auch die Ethik und Moral, die natürlich bereits vor Hunderten von Jahrmillionen schon in den ersten Lebewesen entstanden sind und gewährleistet haben, dass sich diese zusammentun und gar Familien und Herden bilden und mit Konflikten umgehen konnten. Die Zeiten seit damals sind in die Vergangenheit geflossen, und durch die Evolution ist der Mensch entstanden, der des bewussten Denkens, Gefühleschaffens, der Logik, des Verstandes und der Vernunft fähig wurde. Anstatt dass er sich jedoch von Grund auf der natürlichen Ethik und Moral zuwandte und sie bewusst in all seinen Werten erlernte, handelte er gegenteilig und entfernte sich mehr und mehr vom Natürlichen und damit vom Gros aller Werte der Ethik und Moral. Dadurch wurde er selbstsüchtig, falschdenkend und lagerte in den Tiefen seines Charakters all das Negative und Böse ab, das bei jeder passenden und unpassenden Gelegenheit ausbricht und hin bis zu Mord und Totschlag führt, seit alters her gar zu Krieg und Zerstörung. Dann kam noch der religiöse Glaube hinzu, der sich zum Wahn und letztendlich zur Sucht entwickelte, so dass das Gros der Erdenmenschheit heute der Glaubenswahnsucht verfallen und unfähig geworden ist, bewusst selbständig Gedanken zu pflegen und Gefühle zu schaffen, richtige Entscheidungen zu treffen und zu handeln, ohne dass wahnglaubenssüchtige Faktoren mitspielen. Dafür wird der Grundstein schon in der frühen Kindheit gelegt, denn zu dieser Zeit wird bereits die Basis des Glaubens und damit der Vorläufer der Glaubenswahnsucht geschaffen, die den Menschen unfähig macht, bewusst all die vielen Werte der natürlichen Ethik und Moral zu erlernen, die sowieso von der Psychologiewissenschaft nur in wenigen Werten genannt werden, die gesamthaft aber in ihrer Ganzheit erforderlich wären, dass der Mensch wirklich zum wahren Menschen wird, der er von Grund auf natürlich sein müsste. Die umfänglichen natürlichen Werte der Ethik und Moral – die der Mensch der Erde aber missachtet und deshalb im Leben mit ständigen misslichen Herausforderungen konfrontiert wird – entwickeln sich nicht selbständig, sondern sind bewusst und willentlich zu erlernen. Es ist also in keiner Art und Weise derart, wie die sozialen Medien und die Psychologiewissenschaften immer wieder behaupten, dass alles Perfektion sei, denn diese Lüge und Irreführung hält den Menschen davon ab, Ethik und Moral zu hinterfragen und zu erfahren, dass das, was diesbezüglich öffentlich durch die ‹Fachkräfte› gelehrt wird, nicht mehr als Schall und Rauch ist. Weder führt das sehr mangelhafte Gelehrte den Menschen zum wahren Menschwerden, noch wird dadurch all das Böse und Negative behoben, wie der Hass, die Rache und Vergeltung, wie auch nicht die Verleumdung, die Kriminalität und Verbrechen, noch das Lügen und Betrügen, ebenso auch nicht Kriege, das Wüten, Foltern, Zerstören und Morden. Auch Mord und Totschlag privaterweise werden dadurch nicht eingedämmt, wie auch nicht Streit, sonstige Gewalt und alle Übel jeder Art überhaupt.
ar l'apprentissage conscient des valeurs de l'éthique et de la morale, l'être humain apprend à connaître ses propres forces et valeurs, ce qui lui permet de créer en lui-même une confiance saine, tout comme il peut utiliser les capacités qu'il a lui-même développées et rester toujours conscient et réellement actif et capable d'agir. Les liens avec les autres se forment honnêtement et bien, et les relations avec eux deviennent confiantes et reflètent ce que le caractère libère réellement de manière positive, ce qui a été fondamentalement créé de manière positive par la conscience et ses pensées et sentiments. Ce n'est qu'à partir de la conscience que se forme, par l'apprentissage conscient, le véritable état des valeurs de l'éthique et de la morale, c'est pourquoi on l'appelle conscience morale et, en tant que science de la reconnaissance, du savoir et des principes, on l'appelle aussi philosophie morale. Celle-ci est créée et formée par la logique, l'entendement et la raison ainsi que par les pensées et les sentiments, en négatif ou en positif, ce qui permet à l’être humain de déterminer lui-même son éthique et son statut moral, qui comprend également l'esthétique, c'est-à-dire l'étude de la perception sensorielle ou de l'observation. L'esthétique met en mouvement les sens lors de la contemplation des choses, ce qui permet à l’être humain de les ‘kallistikieren’ (intraduisible) ou de les classer selon ses sensations en quelque chose d'agréable ou de désagréable, de beau ou de laid, etc. L'énergie de la Création seule garantit cependant à l’être humain que les pensées et les sentiments qui en découlent dans la logique, l’entendement et la raison déterminent l'état de son éthique et de sa morale et les maintiennent en fonction. Mais c'est l’être humain lui-même qui détermine comment il les forme et les met en valeur, de manière positive ou négative, ou comment il peut les exercer et les maintenir, mais à nouveau de manière positive ou négative par des pensées et des sentiments logiques ou illogiques. Si les pensées et les sentiments sont bons, conscients et responsables, il en résulte des valeurs éthiques et morales de base de haute qualité, avec une attitude affirmative et bonne envers le comportement général. En revanche, des réfléxions et des sentiments négatifs contraires produisent des effets mauvais, voire nuisibles pour le corps et la santé, qui engendrent une mauvaise morale et un état émotionnel identique et font sombrer l'éthique dans le néant. Ainsi, une éthique et une morale positives ou mauvaises reposent sur des pensées et des sentiments bons ou mauvais, qui entraînent un état moral objectif et favorable à la vie ou un état moral non objectif et non favorable à la vie, ainsi qu'une éthique ou un comportement moral de forme très négative. Mais la morale et l'éthique, qui sont en fait les piliers de base permettant à l’être humain de vivre avec ses semblables, comme la famille, l'amitié et la société, etc., sont également d'une importance considérable dans les relations avec soi-même, car elles déterminent fondamentalement le caractère de l’être humain. Il est donc totalement erroné et faux de supposer - comme le font, supposent, croient et 'enseignent' les 'spécialistes' - que le moment éthique et moral ne doit être évalué que comme les comportements envers l'extérieur, car il détermine fondamentalement ce que, qui et comment l’être humain est lui-même. La conscience morale ou la philosophie morale que l’être humain cultive et affiche détermine sa personnalité, à savoir qui, comment et ce qu'elle est. Elle permet également sans doute de voir clairement comment fonctionne la conscience de l'individu et quelle est sa valeur par rapport à la logique, à l’entendement et à la raison. Mit dem bewussten Erlernen der Werte der Ethik und Moral lernt der Mensch die eigenen Stärken und Werte kennen, wodurch er in sich selbst ein gesundes Vertrauen erschafft, wie er auch seine selbst erarbeiteten Fähigkeiten nutzen und stets bewusst und wirklich aktiv und handlungsfähig bleiben kann. Die Bindung zu anderen Menschen bildet sich ehrlich und gut, und der Umgang mit ihnen wird vertrauensvoll und reflektiert das, was der Charakter wirklich im Positiven freigibt, was grundlegend durch das Bewusstsein und dessen Gedanken und Gefühle in positiver Weise erschaffen wurde. Nur aus dem Bewusstsein heraus bildet sich durch das bewusste Erlernen der wahre Zustand der Werte der Ethik und Moral, weshalb dieser als Moralbewusstsein bezeichnet und als Lehre des Erkennens, Wissens und Prinzipes auch Moralphilosophie genannt wird. Diese wird durch Logik, Verstand und Vernunft sowie Gedanken und Gefühle im Negativen oder Positiven erschaffen und geformt, wodurch also der Mensch selbst deren Ethik und den Moralstatus bestimmt, der auch die Ästhetik in sich birgt, also die Lehre der sinnlichen Wahrnehmung resp. Anschauung. Die Ästhetik bewegt die Sinne beim Betrachten der Dinge, wodurch der Mensch diese kallistikiert resp. gemäss seinen Empfindungen in etwas Angenehmes oder Unangenehmes einteilt, in etwas Schönes oder Hässliches usw. Die Schöpfungsenergie allein gewährleistet dem Menschen jedoch, dass aus seinem Bewusstsein die daraus hervorgehenden Gedanken und Gefühle in Logik, Verstand und Vernunft den Zustand seiner Ethik und Moral bestimmen und diese auch in Funktion halten. Wie er diese jedoch positiv oder negativ bildet und zur Geltung bringt resp. ausüben und erhalten kann, das bestimmt der Mensch selbst, jedoch wiederum in positiver oder negativer Weise durch logische oder unlogische Gedanken und Gefühle. Sind es verstandesgute und bewusste verantwortungsbewusste Gedankenregungen und auch dementsprechende Gefühle, dann entstehen daraus hochwertige ethisch-moralische Grundwerte von einer ausgesprochen guten und affirmativen Haltung bezüglich des allgemeinen Verhaltens. Aus gegenteiligen negativen Gedankenregungen und Gefühlen jedoch erfolgen schlechte und gar den Körper und die Gesundheit beeinträchtigende Auswirkungen, die eine schlechte Moral und einen ebensolchen Emotionszustand hervorrufen und die Ethik im Nichts versinken lassen. Also beruhen eine positive oder schlechte Ethik und Moral auf guten oder schlechten Gedanken und Gefühlen, die einen objektiven, lebensbejahenden oder einen unobjektiven und lebensnichtbejahenden Moralzustand sowie eine Ethik resp. ein sittliches Verhalten sehr negativer Form herbeiführen. Doch Moral und Ethik, die eigentlich die Grundpfeiler dafür sind, dass der Mensch mit seinesgleichen zusammenleben kann, so als Familie, in Freundschaft und Gesellschaft usw., sind auch im Umgang mit sich selbst von enormer Bedeutung, denn sie bestimmen grundlegend den Charakter des Menschen. Also ist es völlig irrig und falsch anzunehmen – wie das die ‹Fachleute› tun, annehmen, glauben und ‹lehren› –, dass das ethisch-moralische Moment nur als die Verhaltensweisen gegen aussen zu bewerten seien, denn grundlegend bestimmt es, was, wer und wie der Mensch selbst ist. Das Moralbewusstsein resp. die Moralphilosophie, die der Mensch pflegt und an den Tag legt, bestimmt seine Persönlichkeit, und zwar wer, wie und was sie ist. Ausserdem lässt sie unzweifelhaft auch klar erkennen, wie das Bewusstsein des jeweiligen Menschen arbeitet und wie wertig es bezüglich der Logik, des Verstandes und der Vernunft ist.
En réalité, le gros de l'humanité ne connaît pas les vraies valeurs de la morale et de l'éthique, et encore moins le fait que sa propre personnalité est déterminée par l'éthique et la morale, c'est-à-dire par la conscience morale personnelle, et encore moins que les différents facteurs sont connus. Pour une grande partie des gens, les valeurs éthiques et morales ne sont que partiellement et peu connues dans un certain cadre, et ce en ce qui concerne la manière dont l'éthique et la morale et leur application comportementale agissent dans l'ensemble vis-à-vis de la société, des prochains, de la famille et des amitiés, etc. Ainsi, en réalité, seule une petite minorité se penche de manière approfondie sur la philosophie morale et se comporte de manière compréhensible et absolument correcte à cet égard. En vérité, il n'y a qu'un petit nombre de personnes, une minorité justement, qui s'efforcent très sérieusement et largement de respecter les valeurs de la conscience morale, qui recèle en elle-même bien plus de valeurs que ne le disent toutes les descriptions de la psychologie et que ne cessent de citer les moralistes, etc. Wahrheitlich sind die wahren Werte von Moral und Ethik dem Gros der Menschheit nicht bekannt, und schon gar nicht die Tatsache, dass die eigene Persönlichkeit durch Ethik und Moral resp. durch das persönliche Moralbewusstsein bestimmt wird, dies geschweige, dass die einzelnen Faktoren geläufig sind. Einem grossen Teil der Menschen sind die Ethik-Moralwerte nur teilweise und spärlich in gewissem Rahmen bekannt, und zwar derbezüglich, wie Ethik und Moral und deren Verhaltensanwendung im grossen und ganzen gegenüber der Gesellschaft, den Mitmenschen, der Familie und in Freundschaften usw. wirkt. So ist es wirklich und wahrheitlich nur eine geringe Minorität, die sich tiefer und eingehender mit der Moralphilosophie auseinandersetzt und sie sich diesbezüglich verständlich sowie absolut richtig verhält. Wahrheitlich sind es aber nur wenige Menschen, eben eine Minorität, die sich sehr ernsthaft und weitgehend um die Werte des Moralbewusstseins bemühen, das in sich viel mehr Werte birgt, als all die Beschreibungen der Psychologie aussagen und die von Moralisten usw. genannt werden.
L'éthique et la morale forment ensemble la philosophie morale, qui montre les décisions et les actions humaines dans le bien et le mal, respectivement dans le juste et le faux de la conduite de la vie et donc aussi de l'attitude du caractère, ainsi que le comportement général et explicitement la manière de se comporter avec soi-même et sa propre personnalité, en mettant en scène les multiples valeurs positives et les non-valeurs négatives. Ethik und Moral bilden zusammen die Moralphilosophie, die das menschliche Entscheiden und Handeln im Guten und Bösen resp. im Richtigen und Falschen der Lebensführung und damit auch der Charakterhaltung aufzeigt, wie auch das allgemeine Verhalten und explizit den Umgang mit sich selbst und der eigenen Persönlichkeit, wobei die vielfachen positiven Werte und negativen Unwerte zur Geltung kommen.
L'éthique et la morale doivent être un devoir d'accomplissement pour chaque personnalité de l'humanité, la vie et le comportement de l'individu devant en être valablement déterminés, et ce sous la forme d'une connaissance quotidienne de soi en tant que soignant et d'une libre décision professionnelle, d'une action et d'un soin du comportement humain correct dans toutes les dimensions. Ces valeurs doivent être orientées de manière interdisciplinaire en ce qui concerne l'interaction autonome-personnelle-professionnelle, et ce dans un libre contrôle de soi, comme dans les valeurs de tous les principes autonomes, comme dans l'attention positive et la persévérance. Le principe de loyauté et le principe de paix, ainsi que les principes de justice, l'attitude positive, le principe d'ordre, les principes de tolérance, de détermination, d'harmonie, d'empathie, d'intérêt, de serviabilité, d'ardeur au travail, le principe de liberté, les principes d'assistance et les principes de protection de toute existence de la vie, de prévention des dommages et d'amour véritable, d'équité, ainsi que de respect en font partie. Les principes d'empathie, de sécurité, de discipline, de bonne conscience, d'intégrité, de santé, de famille, de détermination, de prospérité et de réussite, de non-vol, de propreté, de confiance, de fiabilité, de soutien et de serviabilité, d'acceptation, de résilience, de fiabilité et de charité, de la liberté, de la paix et du pacifisme, de l'affection, de la sympathie, de l'amitié et de la reconnaissance ainsi que de l'honnêteté et de la bonté en font partie, tout comme le bien commun et toutes les bonnes valeurs de la société, la non-tuerie, la non-violence, la non-haine, l'absence de vengeance et la non-guerre, etc. Les valeurs mentionnées ne sont cependant pas exhaustives, car en plus de toutes les valeurs éthiques et morales mentionnées, l'être humain véritable doit en respecter et en accomplir beaucoup d'autres. Ethik und Moral sollen jeder Persönlichkeit der Menschheit Erfüllungs-Pflicht sein, wobei das Leben und Verhalten des einzelnen dadurch wertig bestimmt werden soll, und zwar in Formen der täglichen pflegerischen Selbsterkenntnis und des professionellen freien Entscheidens, Handelns und Pflegens des korrekten menschlichen Verhaltens bezüglich aller Dimensionen. Diese Werte sind interdisziplinär bezüglich der autonom-persönlich-professionellen Interaktion auszurichten, und zwar in freier Selbstkontrolle, wie in den Werten aller autonomen Prinzipien, wie in positiver Achtsamkeit und Beharrlichkeit. Das Loyalitätsprinzip und das Friedensprinzip, wie auch die Gerechtigkeitsprinzipien, die positive Gesinnung, das Ordnungsprinzip, die Prinzipien Toleranz, Zielstrebigkeit, Harmonie, Einfühlung, Interesse, Hilfsbereitschaft, der Arbeitsamkeit, das Freiheitsprinzip, die Fürsorgeprinzipien und die Prinzipien des Schutzes aller Existenz des Lebens, der Schadensverhütung und der wahren Liebe, Fairness, wie auch des Respekts sind dazugehörend. Auch die Prinzipien der Empathie, der Sicherheit, Disziplin, des guten Gewissens, der Integrität, Gesundheit, Familie, Zielstrebigkeit, des Wohlstands sowie Erfolgs, des Nichtstehlens, der Reinlichkeit, Vertrauenswürdigkeit, Verlässlichkeit, Unterstützung und Hilfsbereitschaft, Akzeptanz, Belastbarkeit, Zuverlässigkeit und Nächstenliebe, der Freiheit, des Friedens und der Friedfertigkeit, der Zuneigung, Sympathie, Freundschaft und Anerkennung sowie Ehrlichkeit und Güte gehören dazu, wie auch des Gemeinwohls und alle guten Werte der Gesellschaft, des Nichttötens, der Gewaltlosigkeit, der Hasslosigkeit, der Rachelosigkeit und Nichtkriegsführung usw. Die nun genannten Werte sind jedoch nicht vollständig, denn nebst all den aufgeführten Bedeutsamkeiten bezüglich der ethisch-moralischen Werte, sind im wahrlichen Menschsein noch viele diverse andere, die der wahrliche Mensch zu beachten und zu erfüllen hat.
Il convient de mettre en œuvre l'éthique et la morale dans toutes les situations, au mieux de nos capacités, et de ne jamais porter atteinte à la vie des personnes, ni de la mettre en danger, ni même de la réduire à néant. Ceci, tout comme il convient de respecter et de protéger tous les êtres humains et tous les êtres vivants de la nature, de la faune et de la flore, ainsi que la planète Terre elle-même et tous ses écosystèmes. Es ist geboten, die Ethik und Moral allzeit in jeder Situation nach bestem Können und Vermögen umzusetzen, niemals Menschen irgendwie zu harmen, sie des Lebens zu gefährden oder gar dieses nichtig zu machen. Dies, wie auch alle Menschen und Lebewesen der Natur, der Fauna und Flora, wie auch der Planet Erde selbst und alle dessen Ökosysteme zu achten und zu schützen sind.
La morale et l'éthique ne sont que du vent pour tous les auteurs de ces crimes, car dès qu'il s'agit de leur propre sécurité, de leurs propres biens et de leur propre ‹peau›, toutes leurs prétentions à l'‹humanité› s'envolent. Et ce, précisément parce que la morale et l'éthique n'ont jamais été réelles et n'ont pas été un mode de comportement fixe, mais seulement une idée fixe qui a existé sous forme d'idée et de fantaisie. L'inimitié, la haine, la vengeance, la calomnie, la violence, la guerre et autres meurtres et homicides, etc. sont constamment à l'affût derrière le masque imaginaire de la prétendue morale et éthique de l’être humain qui s'imagine savoir, être bon, juste et droit. Mais en réalité, il est tellement plein de contradictions en lui-même que tout ce qu'il sait, ce qu'il fait de bien, ce qu'il a fait de juste, ce qu'il a fait de droit, etc. est nul et non avenu, oublié, et toute forme de morale et d'éthique imaginaires disparaît dès qu'il y a un soupçon d'autodéfense, de haine, de vengeance ou de représailles. Il peut s'agir de raisons personnelles, mais aussi d'ordres donnés par des militaires, des juridictions ou des autorités, etc. qui 'oublient' toute morale et éthique imaginaires et font agir le contraire, c'est-à-dire l'immoralité et l'absence d'éthique, qui s'affirment et s'imposent. Cela parce qu'elles sont fondamentalement tapies dans les profondeurs du caractère et qu'elles 'frappent' dès que l'occasion se présente, parce qu'elles sont au-dessus de l'imagination de toute morale et de toute éthique et que l’être humain ne les a pas vraiment apprises et ne les cultive pas, mais se les imagine seulement. En particulier, la simple imagination de la morale et de l'éthique se manifeste chez le gros des gens stupides qui croient en Dieu ou qui nourrissent d'autres ambitions religieuses folles et qui sont donc, en raison de leur foi, religieux et vindicatifs. Beaucoup d'entre eux sont même en faveur de la peine de mort et n'hésitent pas - comme c'est le cas depuis des temps immémoriaux - à agir comme des badauds hurlants lors des exécutions publiques de personnes souvent encore torturées auparavant. Très souvent, tous les os des victimes étaient brisés avant l'exécution et elles étaient ensuite rouées de coups, tandis que les spectateurs se moquaient d'elles et se 'réjouissaient' de voir que les condamnés à mort subissaient des tortures infernales. La règle était - et c'est encore le cas aujourd'hui lorsque des exécutions publiques ont lieu, par exemple par lapidation, décapitation, strangulation, noyade ou fusillade, etc. (Blaguer en suisse allemand n'a rien à voir avec le latin tardif 'plagiat', qui signifie 'rapt d'êtres humains', etc., mais c'est simplement un mot qui désigne le fait de faire du tapage, de se vanter, d'affirmer, de se rendre ou de rendre une chose plus importante qu'elle ne l'est réellement, etc.) En fait, depuis des temps immémoriaux, la torture et l'exécution publiques d'un être humain - à l'époque souvent aussi des animaux, comme des cochons, des chiens, des chats, des vaches et des chevaux, des moutons, des chèvres et des poules, etc. ou des coqs, par exemple parce qu'ils sont censés avoir pondu un œuf - n'est rien d'autre qu'un accord, une satisfaction, un contentement et même, pour certains, une satisfaction de l'accomplissement des idées qui ont dégénéré. Moral und Ethik sind dabei für all die Täterschaften bezüglich ihrer selbst in jeder Beziehung nicht mehr als Schall und Rauch, denn sobald es um ihre eigene Sicherheit, ihr eigenes Hab und Gut und um ihre eigene ‹Haut› geht, ist all ihr Getue ihrer ‹Menschlichkeit› weg und verflogen. Dies eben darum, weil die Moral und Ethik niemals echt und keine feste Verhaltensweise, sondern nur scheingedanklich eine fixe Einbildung war, die als Idee und Phantasie existiert hat. Feindschaft, Hass, Rache, Verleumdung, Gewalt, Krieg und sonstiger Mord und Totschlag etc. lauern stetig hinter der Einbildungsmaske angeblicher Moral und Ethik des sich als wissend, gut, gerecht und rechtschaffen einbildenden Menschen. In Wahrheit aber ist er in sich selbst derart voller Widersprüchlichkeiten, folglich sofort alles Wissen, Gute, Gerechte sowie die Rechtschaffenheit usw. null und nichtig, vergessen und jede Form von eingebildeter Moral und Ethik vorbei sind, sobald sich auch nur ein Hauch einer Selbstverteidigung, von Hass, Rache oder Vergeltung regt. Es mag sich dabei um persönliche Gründe handeln, wie aber auch um befehlsmässige von Militärs, Gerichtsbarkeiten oder Behörden usw., die alle Einbildung von Moral und Ethik ‹vergessen› und das Gegenteilige zum Handeln kommen lassen, eben Unmoral und Ethiklosigkeit, die zur Geltung und zum Durchbruch kommen. Dies darum, weil diese grundlegend in der Tiefe des Charakters lauern und sofort ‹zuschlagen›, sobald sich die Gelegenheit dazu bietet, weil sie über der Einbildung jeder Moral und Ethik stehen und der Mensch diese wahrheitlich nicht gelernt hat und nicht pflegt, sondern sie sich nur einbildet. Insbesondere kommt die blosse Einbildung von Moral und Ethik beim Gros jener dummen Menschen zur Geltung, das gotteswahngläubig ist, oder das sonstwie religiöse Ambitionen pflegt und daher infolge seines Glaubens religiös-rachsüchtig ist. Viele von ihnen sind gar für die Todesstrafe und scheuen sich nicht – wie das schon seit alters her so war –, als johlende Gaffer bei öffentlichen Hinrichtungen gegen oft zuvor noch gefolterte Menschen zu agieren. Sehr oft wurden dabei den Hinrichtungsopfern zuvor noch alle Knochen gebrochen und sie anschliessend gerädert, während die Zuschauer sie dazu noch verhöhnten und sich daran ‹begeilten›, dass die dem Tod Überantworteten höllische Qualen erlitten. Die Regel war dabei die – und dies ist heute noch so, wo öffentliche Hinrichtungen stattfinden, wie z.B. durch Steinigung, Köpfung, Erwürgen, Ertränken oder Erschiessen usw. –, dass sich die an der Hinrichtung ‹begeilenden› Massen der Zuschauer nachher wichtig machten, und zwar indem blagiert wurde, wie «Ich war dabei und habe alles mitangesehen» usw. (Blagieren im Schweizerdeutschen hat nichts mit spätlateinisch ‹Plagiat› zu tun, was ‹Menschenraub› usw. bedeutet, sondern es ist einfach ein Wort für grosssprecherisches Aufschneiden, Angeben, Behaupten, sich oder eine Sache wichtiger machen als man/sie wirklich ist usw.) Tatsächlich ist seit alters her das öffentliche Foltern und Hinrichten eines Menschen – zu alter Zeit oft auch Tiere, wie Schweine, Hunde, Katzen, Kühe und Pferde, Schafe, Ziegen und Hühner usw. oder Hähne, weil sie z.B. angeblich ein Ei gelegt haben sollen – nichts anderes als eine Befriedigung, Genugtuung, Zufriedenheit und für manche gar ein Wohlbehagen der Erfüllung der ausgearteten Vorstellungen.
Pour la masse des imbéciles et des idiots, il s'agissait d'un spectacle populaire, mais qui est encore aujourd'hui monnaie courante dans les États qui pratiquent les exécutions publiques, où l'on peut affirmer avec certitude que tant les magistrats et les juges qui infligent une peine de mort à un être humain que les exécuteurs et les spectateurs qui se pressent ne peuvent se prévaloir d'aucune morale ni d'aucune éthique. Leurs prétentions à la moralité et à l'éthique ne sont qu'hypocrites et ne sont qu'une tromperie, tout comme celles des spectateurs d'exécutions, des militaires qui assassinent activement, etc. et de ceux qui dans le cadre d’un couple, de la famille, de la prétendue amitié, par cupidité, par soif de l’argent, par haine, par vengeance, etc. assassinent. Für die Masse der Dummen und Dämlichen war es ein Volksspektakel, das aber noch heute gang und gäbe ist in Staaten, die öffentliche Hinrichtungen praktizieren, wobei mit Sicherheit gesagt werden kann, dass sowohl die Gerichtsbarkeitlichen und die Richter, die eine Todesstrafe über einen Menschen verhängen, wie auch die Todesstrafevollstrecker und die sich begeilenden Zuschauer keinerlei Moral und Ethik ihr eigenen nennen können. Ihr Getue von Moral und Ethik, das sie vorgeben, ist ebenso nur heuchlerisch und ebenso wahrlich nur Betrug, wie es bei den sich begeilenden Hinrichtungszuschauern und den aktiv mordenden Militärs usw. und jenen ist, die in der Ehe und Familie, angeblichen Freundschaft, aus Habsucht, Geldgier, Hass, Rache und Vergeltung usw. morden.
Mais la question se pose maintenant de savoir ce que signifient réellement la morale et l'éthique dans leur valeur intrinsèque, quel est leur sens et leur but. Fondamentalement, l’être humain vit sans se préoccuper de ces valeurs. Par conséquent, il ne comprend pas non plus que la morale et l'éthique ne sont appliquées par lui que de manière imaginaire, car, en réalité et à juste titre, il n'applique réellement ces valeurs qu'en apparence et vit en conséquence. En Réalité et en Vérité, il ne vit dans les valeurs morales et éthiques que par défaut, parce qu'il est courant de s'intégrer et de se comporter paisiblement au sein de la famille, du cercle d'amis, de la communauté ou de l'association d'une organisation ou de la société, etc. et de se comporter de manière pacifique, ce qui se transforme rapidement en son contraire lorsque le ‹vent› tourne et que tout ne se passe pas comme prévu. Très vite, l'excitation est sur le tapis, puis la dispute, la haine, la vengeance et les représailles ainsi que la calomnie, ce qui est globalement contraire à la morale et à l'éthique, dont les notions sont peut-être connues de l'une ou l'autre personne, mais qui n'ont jamais été réellement élaborées pour la personnalité propre, ni même appliquées consciemment. La règle est en effet que la cohabitation ‹pacifique› au sein de la famille, du cercle d'amis, de la communauté, de l'armée et de la société, etc. ne se fait que parce qu'elle est ‹coutume et usage› ou prescrite et simplement ‹mode›, et ne se déroule pas dans le respect conscient de la morale et de l'éthique. Ainsi, la morale et l'éthique ne sont pas apprises et appliquées consciemment, mais seulement quelque chose d'hypocrite que l’être humain s'imagine faire lorsqu'on le lui demande ou qu'on l'exige de lui. Mais en réalité, il ne l'a jamais appris consciemment et n'a jamais supposé que quelqu'un en était conscient. Doch nun kommt die Frage auf, was Moral und Ethik in ihrem beinhaltenden Wert eigentlich bedeuten, was deren Sinn und Zweck ist. Grundlegend lebt der Mensch, ohne dass er sich eingehende Gedanken um diese Werte macht. Folglich versteht er auch nicht, dass die Moral und Ethik von ihm nur einbildungsmässig zur Anwendung gebracht werden, weil er, wahrlich und richtig gesehen, diese Werte nur scheinbar wirklich anwendet und danach lebt. In Wirklichkeit und deren Wahrheit lebt er in den moralischen und ethischen Werten nur derweise dahin, weil es gang und gäbe ist, sich in der Familie, im Freundeskreis, in der Gemeinschaft oder im Verbund einer Organisation oder in der Gesellschaft usw. einzuordnen und friedlich zu geben, was jedoch schnell ins Gegenteil umschlägt, wenn sich der ‹Wind› dreht und nicht alles so läuft, wie dies den Vorstellungen entspricht. Sehr schnell ist Erregung auf dem Tapet, dann Streit, Hass, Rache und Vergeltung sowie Verleumdung, was gesamthaft alles gegenteilig von Moral und Ethik ist, deren Begriffe vielleicht dem einen und anderen Menschen bekannt sind, die aber weder wirklich für die eigene Persönlichkeit erarbeitet, noch jemals bewusst zur Anwendung gebracht wurden. Die Regel ist nämlich die, dass nur dadurch das ‹friedliche› Zusammenleben in der Familie, im Freundeskreis, in der Gemeinschaft, im Militär und in der Gesellschaft usw. erfolgt, weil es ‹Sitte und Gebrauch› oder vorgeschrieben und einfach ‹Mode› ist, und nicht in bewusster Befolgung der Moral und Ethik verläuft. Also wird nicht Moral und Ethik bewusst erlernt und zur Anwendung gebracht, sondern nur etwas Scheinheiliges, das sich der Mensch einbildet zu tun, wenn er danach gefragt oder es von ihm gefordert wird. In Wahrheit jedoch hat er es nie bewusst gelernt und es auch nie von jemandem angenommen, dass er sich dessen bewusst wäre.
Vraiment, rares sont les personnes, ou plutôt une minorité d'entre elles, qui, dans leur engagement envers la vie, se consacrent consciemment à la morale et à l'éthique et les intègrent volontairement, de manière reconnaissable, correcte et évidente dans toute leur existence. Lorsqu'il agit, l’être humain ne pense ni à la morale ni à l'éthique, il agit seulement, et ce de manière totalement irréfléchie et comme automatique, jusqu'à tuer et assassiner son prochain, s'il se sent oppressé ou en danger ou s'il se laisse aller au flot de ses émotions de manière incontrôlée. Il considère soudain son prochain comme un ennemi et un adversaire, exactement comme le font pratiquement tous les soldats lorsqu'ils assassinent un ou plusieurs de leurs semblables sur ordre ou en ‹légitime défense›, à la guerre ou ailleurs. Cependant, l’être humain ne sait que par ouï-dire ce que sont la morale et l'éthique, mais il ignore le sens de ces valeurs ou ne les connaît pas suffisamment pour les intérioriser. Il est donc nécessaire que la morale et l'éthique ne soient pas seulement évoquées, mais aussi largement expliquées. Ceci parce que ces valeurs élevées ne sont pas seulement vitales pour la cohabitation entre êtres humains en général, mais font aussi de lui personnellement ce qu'il doit vraiment être, à savoir un véritable être humain. Mais cela n'est enseigné dans aucune explication morale et éthique, car les valeurs morales et éthiques sont sciemment considérées par les ‹spécialistes› comme les bases d'un bon comportement en société et d'une cohabitation soignée, respectueuse et pleine d'égards, mais on ignore généralement que les valeurs éthiques et morales forment fondamentalement la personnalité de l’être humain et le font agir via la conscience de ses pensées, de ses décisions et de ses sentiments. Ce n'est qu'ainsi que l'état correct de la morale et de l'éthique est créé et permet à l’être humain de se former, de s'épanouir, de vivre et de se comporter réellement en tant que tel, conformément à l'éthique et à la morale. Et en tant que véritable être humain et libre de traits de caractère profonds, voire méchants-négatifs, il ne se laissera pas volontairement dominer par de tels traits. Wahrlich sind es nur wenige Menschen resp. eine Minorität, die sich in ihrer Verpflichtung dem Leben gegenüber bewusst der Moral und der Ethik widmen und sie willentlich, erkennbar, korrekt und selbstverständlich in ihr gesamtes Dasein einfliessen lassen. Bei irgendwelchem Handeln denkt der Mensch weder an die Moral noch an die Ethik, sondern er handelt nur, und zwar völlig unbedacht und wie automatisch, und das hin bis zum Töten und Morden des Nächsten, wenn er sich bedrängt oder gefährdet fühlt oder sich seinen emotionalen Wallungen unkontrolliert hingibt. Über null oder nichts erachtet er plötzlich den Nächsten einfach als Feind und Widersacher, genauso, wie es praktisch jeder Soldat des Militärs macht, wenn er im Krieg oder sonstwie einen oder viele Mitmenschen auf einen Befehl hin oder in ‹Notwehr› ermordet. Was jedoch Moral und Ethik sind, ist weitum dem Menschen nur vom Hörensagen bekannt, wobei ihm der Sinn von diesen Werten jedoch unbekannt oder nicht derart geläufig ist, dass sie ihm wirklich intus wären. Daher ist es erforderlich, dass Moral und Ethik nicht nur zur Sprache gebracht, sondern einmal weitgehend erklärt werden. Dies, weil diese hohen Werte nicht nur für das Zusammenleben mit den Menschen allgemein lebenswichtig sind, sondern ihn auch persönlich zu dem machen, was er wirklich sein soll, nämlich wahrer Mensch. Das jedoch wird in keiner Moral-Ethik-Erklärung gelehrt, weil die Werte Moral und Ethik von den ‹Fachleuten› wissentlich nur als Grundlagen auf einen guten gesellschaftlichen Umgang und auf ein gepflegtes, respektvolles und rücksichtsvolles Miteinander bezogen werden, jedoch allgemein unbekannt ist, dass die ethisch-moralischen Werte grundlegend die Persönlichkeit des Menschen formen und ihn via das Bewusstsein über seine Gedanken, Entscheidungen und Gefühle handeln lassen. Dadurch erst entsteht der richtige Zustand von Moral und Ethik und ermöglicht es dem Menschen, sich wirklich als solcher zu formen, zu entfalten, zu leben und sich gemäss der Ethik und Moral zu benehmen. Und als wahrer Mensch und frei von tiefgreifenden und böse-negativen Charaktereigenschaften, wird er sich nicht gewollt von solchen beherrschen lassen.
Ce n'est que lorsque l’être humain se consacre de manière consciente et concentrée à la compréhension, à l'apprentissage et à l'application durable de l'éthique et de la morale qu'il est capable en premier lieu de se traiter et de se confronter lui-même et ses semblables, ainsi que toutes les créatures vivantes, la planète, la nature et l'ensemble de la faune et de la flore, de manière correcte et digne. La morale et l'éthique ne sont donc pas seulement importantes et d'une grande signification pour permettre la cohabitation des êtres humains, mais - ce qui est extrêmement rare, si tant est qu'on en parle et qu'on l'explique - elles concernent personnellement l’être humain et le distinguent en tant que tel, s'il cultive vraiment les valeurs élevées que sont l'éthique et la morale. Cela, parce que celles-ci le forment, le rendent consciencieux et honnête, et font de lui un être humain véritable et pensant par lui-même, qui perçoit tout en étant fidèle à la réalité et à sa vérité, qui cultive ses pensées en conséquence, qui prend les bonnes décisions et agit en conséquence et qui, par conséquent, protège tout ce qui est digne d'être vécu. Seul l’état correct et sain de la morale et de l'éthique garantit à l’être humain la paix, la liberté, la justice, l'égalité de tous les êtres humains et l'ordre. Ce qui peut être appliqué à l'ensemble des êtres vivants, à la planète, à la nature et à tous ses écosystèmes, ainsi qu'à la flore, à l'eau, à l'atmosphère et aux saisons, et qui est valable en tout. Par conséquent, il est clairement prouvé que ce qui existe aujourd'hui dans le monde entier pour le gros de l'humanité et qui est couramment pratiqué en matière de morale et d'éthique est incorrect ou du moins très insuffisant. En effet, si l'on examine de près la logique, l’entendement, la raison et la responsabilité vis-à-vis de l'existence de toute vie chez les individus de la majeure partie de la population mondiale, on constate que la morale et l'éthique de ces derniers se limitent à ce que, selon l'État, une partie des familles, des amitiés et de la société, des organisations, etc. fonctionne à peu près. Cela ne peut toutefois pas et ne peut jamais être le cas lorsque de grandes masses d'êtres humains sont entassées, lorsqu'il y a surpopulation et qu'elle a en outre dégénéré, comme c'est le cas sur la Terre. De cette manière, c'est-à-dire en cas de surpopulation, il n'est pas possible d'atteindre un état d'équilibre éthique-moral qui fonctionne correctement. Cela est dû au fait qu'il y a trop de dérives de toutes sortes, qui vont de la simple excitation de l’être humain à la méchanceté, la haine, la vengeance, la criminalité, le crime jusqu’au meurtre, etc. C'est pourquoi les êtres humains de la Terre se livrent à des massacres et des batailles depuis la nuit des temps, et encore plus depuis l'apparition de la folie des croyances et des religions. Depuis lors, des guerres, religieuses et politiques, sont déclenchées et des gens sont tués ou assassinés en masse. L'hostilité ou la haine raciale sont exercées, le Gewalt cruèlle est utilisée, les querelles sont menées jusqu'à la haine, la vengeance et les représailles, tandis que le mensonge, la tromperie et la malhonnêteté sont ‹cultivés› et que le vol, la torture, la fornication, la torture, l'esclavage, le rapt et le trafic d'êtres humains sont à l'ordre du jour. Nombreux sont ceux qui s'adonnent à l'égoïsme, à la mégalomanie, à la recherche de la célébrité ou à la calomnie, mais tout aussi nombreux sont ceux qui se laissent aller à la médisance et à la colère aveugle, etc. L'éthique et la morale ne se trouvent en réalité nulle part dans l'ensemble de l'activité, parce qu'elles ne correspondent en réalité qu'à des mots vides et creux, parce qu'elles ne sont pas apprises consciemment, mais seulement imitées dans l'irréflexion et sans aucun sérieux. Nur dann, wenn der Mensch sich bewusst-konzentriert dem Erfassen, Erlernen und dauerhaften Anwenden der Ethik und Moral widmet, ist er fähig, in erster Weise sich selbst und seinen Mitmenschen, wie weiter auch allen lebenden Kreaturen, wie auch dem Planeten, der Natur und der gesamten Fauna und Flora richtig und ehrvoll-würdig zu begegnen. Also sind die Moral und Ethik nicht nur wichtig und von sehr grosser Bedeutung, dass das Zusammenleben der Menschen ermöglicht wird, sondern – was äusserst selten ist, wenn es überhaupt einmal zur Sprache kommt und erklärt wird – den Menschen persönlich betreffen und ihn als solchen auszeichnen, wenn er wirklich die hohen Werte Ethik und Moral pflegt. Dies, weil ihn diese formen, gewissenhaft und ehrlich machen, wie auch zum wahren und selbstdenkenden Wesen Mensch, der allein der Wirklichkeit und deren Wahrheit getreu alles wahrnimmt und demgemäss seine Gedanken pflegt, die richtigen Entscheidungen trifft und danach handelt und folglich auch alles Lebenswerte schützt. Allein der richtige und gesunde Status von Moral und Ethik gewährleistet dem Menschen auch, dass Frieden, Freiheit, Gerechtigkeit sowie Gleichheit aller Menschen und Ordnung gegeben sein können. Etwas, das auch auf gesamthaft alle Lebewesen, den Planeten, die Natur und alle ihre Ökosysteme, wie auch auf die umfängliche Flora, auf alle Wasser, die Atmosphäre und die Jahreszeiten übertragen werden kann und in allem seine Gültigkeit hat. Folglich ist eindeutig bewiesen, dass das, was heute allgemein rund um die Welt beim Gros der Menschheit existiert sowie bezüglich Moral und Ethik gang und gäbe gelebt wird, unrichtig oder zumindest sehr mangelhaft ist. Wenn nämlich die Logik, der Verstand, die Vernunft und die Verantwortung gegenüber der Existenz jedes Lebens beim einzelnen des Gros der Erdbevölkerung genau betrachtet wird, dann ist erkennbar, dass Moral und Ethik bei diesem nur gerade so weit reichen, dass je nach Staat ein Teil der Familien, Freundschaften und der Gesellschaft und Organisationen usw. einigermassen funktioniert. Dies kann jedoch nicht und nie dann der Fall sein, wenn grosse Massen von Menschen zusammengepfercht sind, wenn eine Überbevölkerung gegeben und zudem ausgeartet ist, wie dies auf der Erde in Erscheinung tritt. Auf diese Art und Weise resp. bei einer Überbevölkerung ist es nicht möglich, dass ein Zustand einer richtig funktionierenden Ethik-Moral-Ausgeglichenheit zustande gebracht werden kann. Dies, weil zu viele Ausartungen jeder erdenklichen Façon gegeben sind, die vom einfachen Erregen des Menschen über Bösartigkeit, Hass, Rache, Kriminalität, Verbrechen bis hin zu Mord und Totschlag usw. reichen. Daher führen die Menschen der Erde seit Urzeiten schon Gemetzel und Schlachten gegeneinander, und seit der Glaubenswahn und die Religionen aufgekommen sind erst recht. Seither werden Kriege vom Zaun gebrochen, religiöse und politische, und massenweise Menschen getötet resp. ermordet. Und es werden Feindschaft oder Rassenhass ausgeübt, Gewalt angewendet, Streitereien bis zum Hass sowie zur Rache und Vergeltung geführt, während Lüge, Betrug und Unehrlichkeit ‹gepflegt› werden sowie Raub oder Diebstahl, Foltern, Hurerei, Quälen, Sklaverei, Menschenraub und Menschenschmuggel zur Tagesordnung gehören. Viele frönen der Selbstsucht resp. Selfishkeit, dem Grössenwahn, der Renommiersucht oder der Verleumderei, ebenso viele aber verfallen dem vielfältigen Lästern und der blinden Wut usw. Ethik und Moral sind wahrheitlich nirgendswo im ganzen Tun zu finden, weil sie wahrheitlich nur leeren, hohlen Worten entsprechen, weil sie nicht bewusst erlernt, sondern in Gedankenlosigkeit und völlig ohne Ernsthaftigkeit nur nachgeäfft werden.
Sans contrôle, de manière superficielle et imaginaire, lêtre humain utilise la ‹morale apparente› et ‹l'éthique apparente› parce qu'il n'a pas appris lui-même la morale correcte et valable, mais utilise seulement la morale apparente en imitant ce qu'il voit et enregistre chez ses semblables. Cela lui fait en quelque sorte comprendre qu'il peut bien se comporter avec ses semblables s'il utilise une forme de comportement qui est reconnue positivement. Il prend donc l'habitude d'adapter sa forme de se comporter avec ses semblables de manière à susciter le moins de réactions possible, mais il ne fait aucun effort pour apprendre l'éthique et la morale de manière consciente et approfondie, et tout est complètement en jachère à cet égard. Contrairement au positif de ce comportement envers les autres, qu'il ‹copie› pratiquement et utilise de manière ‹moralement apparent› et ‹éthiquement apparent› pour être ‹bon enfant› avec ses semblables, cela n'a rien à voir avec le fait qu'il apprenne consciemment, honnêtement et réellement l'éthique et la morale. En conséquence, il ne le fait pas en verité, au contraire, il absorbe tout ce qui est négatif en lui et le stocke dans les profondeurs de son caractère pour l'extérioriser et le libérer lorsque l'occasion se présente. Cela se produit alors dans le mal, le faux et le nuisible, jusqu'à la violence, et cela jusqu'à la querelle et la haine, la haine raciale et la calomnie, la vengeance ou les représailles, la folie de la foi et jusqu'au meurtre et à l'homicide, comme la guerre de religion et la guerre politique et toutes les méchancetés en général. Unkontrolliert, oberflächlich sowie einbildungsmässig benutzt der Mensch die ‹Scheinmoral› und ‹Scheinethik›, und zwar darum, weil er selbst die richtige und wertvolle Moral nicht erlernt hat, sondern nur die Scheinmoral nachahmend gemäss dem nutzt, was er bei den Mitmenschen sieht und registriert. Das macht ihm irgendwie klar, dass er mit den Mitmenschen gut umgehen kann, wenn er eine Umgangsform benutzt, die positive Anerkennung findet. Also gewöhnt er sich an, seine Formen des Umgangs mit den Mitmenschen so anzupassen, dass er so wenig wie möglich Anstoss erregt, während er sich jedoch nicht darum bemüht, Ethik und Moral bewusst und gründlich zu erlernen und diesbezüglich alles völlig brachliegt. Gegenteilig zu diesem Positiven des Verhaltens zu den Mitmenschen, was er praktisch ‹abkupfert› und ‹scheinmoralisch› sowie ‹scheinethisch› zum Umgang mit den Mitmenschen nutzt, um bei ihnen ‹gut Kind› zu sein, hat dies nichts mit dem zu tun, dass er nun bewusst, ehrlich und wirklich Ethik und Moral erlernen würde. Folgedem, dass er das wahrheitlich nicht tut, nimmt er gegenteilig alles Negative in sich auf und lagert es in der Tiefe seines Charakters ein, um es bei passender Gelegenheit nach aussen wirken und freizulassen. Dies geschieht dann im Bösen, Falschen und Schädlichen, bis hin zum Gewalttätigen, und zwar bis hin zum Streit und Hass, Rassenhass und zur Verleumdung, zur Rache oder Vergeltung, zum Glaubenswahn und bis zu Mord und Totschlag, wie zu Religionskrieg und Politkrieg und allem Bösen überhaupt.
Une pensée, un sentiment, une décision ou une action sont faux et mauvais, et ne relèvent pas de l'éthique et de la morale, lorsqu'ils sont accomplis alors que l’être humain sait que leur exécution est contraire à l'éthique et à la morale, mais aussi lorsque l'éthique et la morale ne sont que superficielles ou ne sont pas cultivées du tout. En règle générale, la majorité de l'humanité de la Terre n'a pas conscience de la véritable éthique et de la morale, parce que le gros de l'humanité n'a qu'un rapport superficiel, volage et vide avec ces valeurs. Ceci parce que lui-même ne connaît pas les valeurs de l'éthique et de la morale et qu'il ne sait pas non plus que l'éthique et la morale doivent être acquises et apprises volontairement et consciemment. Mais comme ce savoir, et donc l'apprentissage conscient nécessaire, fait défaut, l'éthique et la morale ne sont pour la majeure partie de l'humanité terrestre rien de plus qu'un concept ou un mot permettant de décrire ce qui doit être. Ceci afin d'avoir la paix, la liberté, la droiture ou l’honnêteté, l'ordre et tout ce qui est bon et positif de tous les peuples, de toutes les familles, de toute la politique du monde, de la cohabitation, de la vie elle-même et de toute l'existence de la planète, de la nature et de tous ses écosystèmes et donc de la faune et de la flore. Ein Gedanke, ein Gefühl, eine Entscheidung sowie eine Handlung sind genau dann falsch und schlecht, wie zudem nicht ethisch-moralisch, wenn sie einerseits ausgeführt werden, wenn der Mensch weiss, dass die Ausführung ethisch-moralpflichtwidrig ist, wie aber auch dann, wenn die Ethik und Moral nur oberflächlich sind oder überhaupt nicht gepflegt werden. Die Regel beim Gros der Menschheit der Erde ist die, dass es sich der wahren Ethik und Moral nicht bewusst ist, weil in der Regel der Mensch dieses Gros mit diesen Werten nur oberflächlich, flatterhaft und inhaltsleer einhergeht. Dies darum, weil er die Werte der Ethik und Moral eigens nicht kennt, und auch nicht weiss, dass Ethik und Moral gewollt und geflissentlich sich angeeignet und antrainiert zu werden sind. Da aber dieses Wissen und damit die notwendige bewusste Erlernung fehlt, sind Ethik und Moral für das Gros der irdischen Menschheit nichts mehr als ein Begriff oder Wort, womit beschrieben werden kann, was sein soll. Dies, um Frieden, Freiheit, Rechtschaffenheit, Ordnung und alles Gute und Positive aller Völker, aller Familien, der gesamten Politik der Welt, des Zusammenlebens, des Lebens selbst und aller Existenz des Planeten, der Natur und all ihrer Ökosysteme und so der Fauna und Flora zu haben.
Pour cette seule raison, toutes les formes de règles de bienséance et de valeurs éthiques, morales et de bonnes moeurs ainsi que leurs normes sont nécessaires, de même que toutes les valeurs et le comportement interpersonnel de l'individu dans le cadre de sa personnalité. En vérité, ce n'est que lorsque toutes ces valeurs, en tant que valeurs morales et éthiques permanentes et omniprésentes, seront consciemment apprises par l'individu dans sa personnalité et profondément ancrées dans son caractère, que le mal et le négatif se transformeront en bien et en positif. Ce n'est qu'à ce moment-là que l'éthique et la morale pourront vraiment devenir efficaces, de telle sorte que tout ce qui a été conçu de manière négative par les êtres humains sera dissous, de sorte qu'enfin, après des dizaines de milliers d'années, la paix, la liberté, la droiture, la vérité et d'autres éléments positifs perceront et que la réalité de la vie triomphera. Allein schon aus diesem Grund sind alle Formen der Anstandsregeln und ethisch-sittlich-moralischen Werte der Empfindungen und deren Normen, wie auch alle Werte und das zwischenmenschliche Verhalten des einzelnen im Rahmen dessen Persönlichkeit notwendig. Wahrlich, nur wenn all die Werte als bleibende und allgegenwärtige sittlich-ethisch-moralische Werte vom einzelnen Menschen in seiner Persönlichkeit bewusst erlernt und tief in seinem Charakter verankert werden, wird sich das Böse und Negative zum Guten und Positiven wandeln. Erst dann können wirklich Ethik und Moral derart wirksam werden, dass alles von Menschen negativ Ersonnene aufgelöst wird, so endlich nach Zigtausenden von Jahren Frieden, Freiheit, Rechtschaffenheit, Wahrheit und sonstig Positives durchbricht und die Wirklichkeit des Lebens siegt.
En vérité, l'être humain est orienté vers l'application de l'éthique et de la morale d'une manière générale, de manière insouciante, indifférente et insignifiante, mais aussi de manière superficielle et selon les quelques préceptes moralisateurs de la morale. La conscience morale insuffisante n'est donc en général orientée que sur une "flamme d'économie", parce que le discours moral des préceptes de la philosophie éthique et morale ne montre que de manière insuffisante toutes les valeurs du comportement nécessaire de l'être humain, qui le forgerait vraiment en tant qu'être humain véritable. Wahrheitlich ist der Mensch bezüglich der Ethik und Moral allgemein darauf ausgerichtet, diese nur achtlos, gleichgültig, interesselos und bedeutungslos sowie auch oberflächlich und gemäss den sehr wenigen Vorgaben der Moralprediger anzuwenden. Das ungenügende Moralbewusstsein ist in der Regel also praktisch nur auf eine ‹Sparflamme› ausgerichtet, weil die Moralapostelei der ethisch-moralischen Philosophie nur mangelhaft all die Werte des erforderlichen Verhaltens des Menschen aufzeigt, die ihn wirklich als wahren Menschen prägen würden.
En règle générale, l’être humain ne prête attention que de manière habituelle au peu d'application des valeurs axées sur l'éthique et la morale, alors que dans les profondeurs de son caractère se cache le mal et le contraire de l'éthique et de la morale, qui se manifestent chez lui à chaque occasion appropriée ou non. C'est le mal - et cela doit être expliqué encore et encore - qui guette dans les profondeurs du caractère, parce que l’être humain l'a enregistré et déposé sans l'avoir traité, sans l'avoir contrôlé et sans l'avoir neutralisé, en raison de son éducation et des influences de ses semblables et de son environnement. Il s'agit de non-valeurs constamment à l'affût, qui éclatent immédiatement à telle ou telle occasion et libèrent ce que l’être humain n'a pas pu contrôler au niveau du caractère et qu'il a laissé s'échapper. Ces charges caractérielles non valables qui échappent à son contrôle, basées sur la colère, la haine, la vengeance ou les représailles, la malhonnêteté, la calomnie, la soif de domination, le mensonge, la tromperie, le racisme, la soif de pouvoir, la dégénérescence, l'hostilité, la partialité, la persécution, etc., conduisent souvent au meurtre et à l'homicide ou au suicide, mais aussi souvent à la guerre, au cours de laquelle des milliers, voire des millions de personnes sont assassinées et des destructions dévastatrices sont causées en masse. Toutes les valeurs négatives profondément ancrées dans le caractère, qui ont été transmises par l'éducation, l'auto-éducation, les moments de non-valeur des déclarations, des opinions et des comportements, etc. dans les amitiés, les connaissances, l'environnement et les prochains en général, ainsi que par les événements mondiaux, etc. sont absorbés et non traités, non neutralisés et stockés sans contrôle au plus profond du caractère, ressortent immédiatement en éclatant et sont mis en œuvre de manière efficace vers l'extérieur. Der Mensch achtet in der Regel nur gewöhnungsmässig auf die wenige Anwendung der auf die Ethik und Moral ausgerichteten Werte, während in der Tiefe seines Charakters das Schlechte und Gegenteilige von Ethik und Moral lauert, was bei ihm zu jeder passenden oder nichtpassenden Gelegenheit zum Ausbruch kommt. Dies ist das Böse – und das sei immer wieder erklärt –, das in den Tiefen des Charakters lauert, weil es vom Menschen durch die Erziehung und durch die Einflüsse der Mitmenschen und der Umwelt registriert und unverarbeitet, unkontrolliert und nichtneutralisiert abgelagert wurde. Dies als stetig lauernde Unwerte, die bei dieser und jener Gelegenheit sofort zum Ausbruch kommen und das freiwerden lassen, was der Mensch charakterlich nicht unter Kontrolle hat und ausbrechen lässt. Diese seiner Kontrolle entgehenden unwertigen Charakterbelastungen, die auf Wut, Hass, Rache oder Vergeltung, Unehrlichkeit, Verleumdung, Herrschsucht, Lüge, Betrug, Rassismus, Machtsucht, Ausartung, Feindschaft, Parteilichkeit sowie Verfolgung usw. basieren, führen oft zu Mord und Totschlag oder zum Suizid, wie aber oft gar zu einem Krieg, wobei dann Tausende und gar viele Millionen Menschen ermordet und en masse verheerende Zerstörungen angerichtet werden. Alle jene tiefverankerten charakterlichen Unwerte, die durch die Erziehung, Selbsterziehung, Momente des Unwertigen von Äusserungen, Meinungen und Verhaltensweisen usw. bei Freundschaften, Bekanntschaften, der Umwelt und den Mitmenschen allgemein sowie durch das Weltgeschehen usw. aufgenommen und unverarbeitet, unneutralisiert und kontrollos tief im Charakter eingelagert werden, kommen ausbrechend sofort hervor und werden nach aussen wirksam umgesetzt.
Cela, parce que, comme expliqué, elles sont restées ignorées et non traitées, non assimilées et neutralisées. Et ce, uniquement parce que les nombreuses valeurs de l'éthique et de la morale n'ont pas été apprises et adoptées consciemment, qu'elles n'ont donc pas fait l'objet d'une réflexion et qu'elles ont été laissées comme elles se présentaient. L'être humain ne s'efforce donc pas de découvrir si l'habitude qu'il a prise de pratiquer l'éthique et la morale est correcte, car l'éthique et la morale sont bien plus que ce que la posture morale eronnée et absolument incompréhensible dans tous les cas, qui se moque de l'exhaustivité, cherche à leur donner. En fait, les ‹spécialistes› de la psychologie ne reconnaissent pas et n'enseignent pas le devoir humain de l'application correcte de l'éthique et de la morale dans le cadre de ce que l'éthique et la morale recèlent réellement dans leurs valeurs, c'est pourquoi tout est exécuté de façon si peu solide, ce qui fait qu'il n'y a pas de véritable enseignement, mais que la garde psychologique ne fait qu'‹enseigner› l'éthique et la morale de façon mauvaise et globalement incompréhensible, pour une motivation mauvaise et égoïste. Dies, weil sie, wie gesagt, unbeachtet und unbearbeitet geblieben sind und nicht verarbeitet und neutralisiert wurden. Und dies einzig darum, weil all die vielen Werte der Ethik und Moral nicht bewusst erlernt und sich zu eigen gemacht wurden, folglich auch nicht darüber nachgedacht und alles so geschehen gelassen wird, wie es sich eben ergibt. Der Mensch bemüht sich daher nicht herauszufinden, ob die Gewohnheit seines Handelns des Ausübens der Ethik und Moral richtig ist, denn Ethik und Moral sind sehr viel mehr, als ihnen die falsche und absolut in jedem Fall missverständliche und einem Hohn der Vollständigkeit entsprechende Moralapostelei Genüge zu tun sucht. Tatsächlich wird von den ‹Fachkräften› der Psychologie die Menschenpflicht der korrekten Anwendung von Ethik und Moral nicht in dem Rahmen erkannt und gelehrt, was das Ethisch-Moralische in seinen Werten wirklich in sich birgt, weshalb alles derart windig lehrend ausgeführt wird, wodurch keine wahrliche Belehrung stattfindet, sondern von der Psychologiegarde nur aus einer schlechten und eigennützigen Motivation ethisch-moralisch schlecht und gesamthaft unverstehend ‹gelehrt› wird.
En ce qui concerne le terme ‹morale›, il est emprunté au mot latin ‹moris› (latin : coutume, usage). Par morale, on entend donc que l’être humain doit se conformer aux us et coutumes et s'inscrire ainsi dans un comportement moral, et donc qu'il ne doit pas se comporter de manière immorale, c'est-à-dire qu'il doit se comporter comme l'exigent les normes et les règles établies de la bienséance et de la conduite, et donc du comportement correspondant entre les êtres humains. Mais si l’être humain n'apprend pas cela correctement, de telle sorte qu'il n'est pas capable de juger une situation de manière morale, il en résulte généralement entre les êtres humains des dissensions, des querelles, de la haine, de la violence, de la vengeance ou des représailles, de la calomnie, de la malhonnêteté, du meurtre et de l'homicide, du suicide, du mensonge, de la tromperie, etc., de la calomnie envers soi-même et envers ses semblables, etc. et même de l'hostilité politique et, par conséquent, de la guerre, du meurtre militaire et de la destruction de nombreuses réalisations humaines. Was nun den Begriff ‹Moral› anbelangt, so ist dieser aus dem lateinischen Wort ‹moris› entlehnt (lat. Sitte, Gebrauch). Mit Moral wird demgemäss gesagt, dass sich der Mensch an Sitten und Gebräuche halten und sich damit in das sittliche Verhalten einfügen und folglich er sich nicht unmoralisch verhalten soll, so also, dass er sich so verhält, wie es eben die festgelegten Normen und Regeln von Anstand und Benehmen und folglich des entsprechenden Verhaltens von Mensch zu Mensch erfordern. Wenn jedoch der Mensch dies nicht richtig erlernt, so, dass er eine Situation moralisch nicht richtig zu beurteilen vermag, kommt es zwischen den Menschen in der Regel zu Zerwürfnissen, zu Streit, Hass, zu Gewalt, Rache oder Vergeltung, Verleumdung, Unehrlichkeit, Mord und Totschlag, Selbstmord, Lüge, Betrug usw., zur Verleumdung bezüglich sich selbst und gegen Mitmenschen usw., wie aber sogar zur politischen Feindschaft und dadurch zu Krieg, militärischer Morderei und Zerstörung von vielerlei menschlichen Errungenschaften.
Lorsque l'être humain agit de manière immorale, parce qu'il laisse libre cours à ses traits de caractère négatifs profonds, il se met en colère et frappe tout simplement lorsque quelque chose lui ‹déplaît›. Ou bien il se livre à une violence insensée contre lui-même, se met en colère de manière irréfléchie et insensée contre ses semblables. Il arrive aussi qu'il développe de la haine, des sentiments de culpabilité ou des dépressions, ou qu'il se retire tout simplement, tout comme il commet souvent des délits violents parce qu'il ne parvient pas à résoudre des conflits éthiques et moraux et qu'il ‹pète les plombs›, et ce parce qu'il n'a jamais appris consciemment les valeurs très vastes de l'éthique et de la morale. Comme ça, en règle générale, cela conduit tôt ou tard à des dérives comportementales négatives et assez mauvaises, incontrôlables, qui aboutissent très souvent au suicide ou, autre conséquence néfaste, au meurtre et à l'homicide. Mais cela n'arriverait jamais si l’être humain apprenait consciemment l'éthique et la morale dans toutes leurs valeurs, et ce dans leur intégralité, telles qu'elles sont effectivement données par la nature et font de la personne un véritable être humain, s'il apprenait consciemment et en profondeur toutes les hautes valeurs de l'éthique et de la morale, les gardait en lui pour toute la durée de sa vie et les mettait en pratique. Wenn der Mensch unmoralisch handelt, weil er seinen tiefen negativen Charaktereigenschaften freien Lauf lässt, dann wird er wütend und haut einfach drauf, wenn ihm etwas ‹wider den Strich geht›. Oder er richtet sinnlos Gewalt gegen sich selbst an, wütet unbedacht und sinnlos gegen Mitmenschen. Es ist aber auch so, dass er Hass, Schuldgefühle oder Depressionen entwickelt, oder sich einfach zurückzieht, wie er anderseits jedoch oft Gewaltdelikte verübt, weil er ethisch-moralische Konflikte nicht lösen kann und einfach ‹durchdreht›, und zwar darum, weil er die sehr weitumfassenden Werte von Ethik und Moral niemals bewusst erlernt hat. Das aber führt in der Regel früher oder später zu negativen und recht bösen charakterlichen und unkontrollierbaren Verhaltensauswüchsen, die sehr oft im Selbstmord oder als andere böse Folge in Mord und Totschlag enden. Das aber würde nie und niemals geschehen, wenn der Mensch Ethik und Moral in all ihren Werten bewusst erlernen würde, und zwar in deren Umfänglichkeit, und zwar so, wie sie tatsächlich naturmässig gegeben sind und den Menschen zum wahren Menschen machen, wenn er all die hohen Werte der Ethik und Moral bewusst und umfänglich eingehend erlernt, diese für die ganze Zeit seines Lebens in sich birgt und zur Anwendung bringt.
Si l'être humain était vraiment consciemment instruit de l'éthique et de la morale, il ne marcherait jamais sur des cadavres, il ne se ferait donc jamais d'ennemis et il ne préconiserait ni ne mènerait jamais de peines de mort ou de guerres pour lesquelles il n'apporterait jamais son aide ou n'y participerait jamais. Si, au contraire, il le fait, cela signifie que l'être humain n'a pas appris l'éthique et la morale de manière juste et consciente et que, par conséquent, il est totalement immoral, désordonné et dépravé sur le plan moral et éthique, ainsi que vicieux, raciste, menteur et trompeur. Il est en tout point corrompu, vicieux et loupé, sale et réprouvé, haineux, vindicatif, égocentrique, autoritaire, négationniste, présomptueux et prétentieux. Sa pensée n'est qu'une pensée illusoire et crée en lui des sentiments mauvais, vilains et dégénérés; il est malpropre dans son comportement et offre une mauvaise image. C'est pourquoi la majorité de l'humanité terrestre ne peut pas fonctionner comme une société pacifique, car le manque d'éthique et de morale du gros des habitants de la Terre n'est pas seulement catastrophique, mais aussi si peu valable et futile que même les enfants, dès leur plus jeune âge, sont enclins au meurtre et à l'homicide et incitent même sans scrupule et sauvagement leurs semblables à éfféctuer des meutres, que ce soit par haine, par exuberance, par amusement ou pour d'autres raisons, en tout cas toujours dépravées, qui ne sont jamais et jamais justifiables sur le plan éthique et moral, ni autrement. Ist der Mensch bezüglich Ethik und Moral wahrlich bewusst gebildet, dann wird er niemals über Leichen gehen, folglich er auch nie und niemals Feindschaften eingeht und auch niemals Todesstrafen und Kriege befürwortet oder führt, für solche er niemals irgendwelche Hilfe leisten oder an solchen teilnehmen wird. Gegenteilig aber, wenn er dies doch tut, dann bedeutet es, dass der Mensch nicht rechtschaffen Ethik und Moral bewusst gelernt hat und dadurch ethisch und moralisch vollkommen sittenlos, verkommen und sittlich-verwahrlost, wie auch lasterhaft, rassistisch und lügnerisch sowie betrügerisch ist. In jeder Art ist er verdorben, liederlich und verrucht, versaut und verworfen, hassvoll, rachsüchtig, selbstbezogen, rechthaberisch, negativdenkend, selbstherrlich und überheblich. Sein Denken ist nur ein Scheindenken und schafft in ihm böse, schlechte und ausgeartete Gefühle; er ist im Benehmen schmuddelig und bietet ein schlechtes Image. Darum ist es auch so, dass das Gros der irdischen Menschheit als friedliche Gesellschaft nicht funktionieren kann, denn der Mangel bezüglich der Ethik und Moral beim Gros der Menschen der Erde ist nicht nur katastrophal, sondern derart unwertig und nichtig, dass selbst Kinder bereits in jüngsten Jahren zu Mord und Totschlag neigen und gar bedenkenlos und wild ihresgleichen zum Ermorden verführen, sei es aus Hass, Übermut, Spass oder aus anderen und jedenfalls immer verkommenen Begründungen, die ethisch-moralisch und auch anders nie und niemals zu rechtfertigen sind.
Le premier pilier important pour le développement éthique et moral est un lien étroit et attentionné ainsi qu'un comportement éthique et moral des parents envers l'enfant dès la naissance et ceci pendant toute la jeunesse. Non seulement cela apprend et favorise la volonté de coopération de l'enfant, mais l'ensemble a également une très grande influence sur le lien nécessaire entre l'enfant et ses parents, ce qui permet à l'enfant en croissance de se sentir en sécurité, protégé et aimé. C'est la véritable racine du développement de l'éthique et de la morale du nouvel être humain, qui se situe donc déjà au début de la vie et non pas seulement au moment du développement et de la compréhension de l'éthique et de la morale - comme l'affirme à tort la psychologie - lorsque la logique, l’entendement et la raison ne commencent qu'à un âge plus avancé, ce qui est considéré à tort comme l'âge de 8 à 11 ans. En raison de la communauté, la coopération profonde et ce que l'on appelle l'esprit d'équipe se forment chez l’être humain dès les premières minutes après sa naissance, car c'est par la mère que le germe et l'impulsion de l'éthique et de la morale humaines sont placés dans le nouveau-né, c'est pourquoi il est nécessaire et indispensable que la mère qui donne naissance à l'enfant assume pleinement son devoir de mère dès le début et qu'elle le maintienne tout au long de sa vie. Als erster wichtiger Stützpfeiler für die Ethik-Moralentwicklung ist eine fürsorgliche sowie sehr achtsame und enge Bindung sowie das ethisch-moralische Verhalten der Eltern gegenüber dem Kind erforderlich und unumgänglich, und zwar von frühester Jugend der Geburt an. Dies lehrt und fördert nicht nur die Kooperationsbereitschaft des Kindes, sondern das Ganze hat auch einen sehr grossen Einfluss auf die notwendige Bindung bezüglich des Kindes und der Eltern, was grundlegend dazu führt, dass sich das heranwachsende Kind sicher, geborgen und geliebt fühlt. Dies bildet die eigentliche Wurzel des Werdens der Ethik und Moral des neuen Menschen, wobei dies also bereits am Anfang des Lebens liegt und nicht erst dann das Werden und Verstehen der Ethik und Moral beginnt – wie die Psychologie fälschlich behauptet –, wenn die Logik, der Verstand und die Vernunft erst in späteren Jahren beginne, wobei dies irrig erst mit 8 bis 11 Jahren angesetzt wird. Infolge der Gemeinsamkeit bildet sich beim Menschen die tiefgreifende Kooperation und der sogenannte Teamgeist des Menschen schon in den ersten Minuten nach dessen Geburt, denn durch die Mutter wird der Keim und Impuls der menschlichen Ethik und Moral im neugeborenen Menschen gesetzt, weshalb es notwendig und erforderlich ist, dass die das Kind geborene Mutter ihre Pflicht des Mutterseins von Beginn an ganz wahrnimmt und dies auch lebenslang beibehält.
L'éthique et la morale sont des choses qui n'ont pas commencé lorsque - comme le prétendent à tort les ‹spécialistes de la psychologie› - les êtres humains ont prétendument commencé à chasser et à collecter de la nourriture ensemble il y a environ 400 000 ans, mais qui existaient déjà au début de l'apparition des premières formes de vie. Il y a des centaines de millions d'années, les premiers êtres vivants, qui étaient les premiers précurseurs de l’être humain primitif, avaient déjà le besoin naturel de ‹protéger› leur progéniture. Cela consistait à ce que la progéniture soit protégée et sauvegardée par ses parents de manière à ce qu'elle se sente en sécurité, le tout étant lié à une forme de comportement correct, et ce en fonction de l'espèce, ce qui signifie que chaque progéniture apprenait et suivait des règles qui lui permettaient non seulement de vivre et d'être en sécurité avec ses parents, mais aussi avec ses semblables, c'est-à-dire dans la ‹société› du troupeau. Traduit en mots de la langue allemande actuelle, ce n'était rien d'autre qu'une forme très précoce d'éthique et de morale, issue de mouvements et de comportements tout à fait naturels des premiers êtres vivants et permettant une bonne cohabitation. Ethik und Moral sind eine Sache, die nicht erst begann, als – wie ‹Fachleute der Psychologie› fälschlich behaupten – vor etwa 400000 Jahren angeblich Menschen gemeinsam zu jagen und Nahrung zu sammeln begannen, sondern es war schon zu Beginn des Entstehens der ersten Lebensformen so. Schon als früheste Vorläufer des Ur-Menschen hatten die ersten Lebewesen vor Hunderten von Millionen Jahren den natürlichen Drang der beschützenden ‹Beelterung› ihrer Nachkommen. Diese bestand darin, dass die Nachkommenschaft von ihren Eltern derart behütet und beschützt wurde, dass sie sich geborgen fühlte, wobei das Ganze mit einer Form des richtigen Benehmens verbunden war, und zwar jeweils der Art gemäss, was besagt, dass durch jede Nachkommenschaft Regeln gelernt und befolgt wurden, die nicht nur ein geschütztes Leben und Zusammensein mit den Eltern ermöglichte, sondern auch mit ihresgleichen, also in der ‹Gesellschaft› der Herde. In Worte der heutigen deutschen Sprache gekleidet, war dies nichts anderes als eine sehr frühe Form der Ethik und Moral, die aus völlig natürlichen Regungen und Verhaltensweisen der frühen Lebewesen hervorgegangen ist und ein gutes Zusammenleben ermöglichte.
Eh bien, lorsque, après des millions d'années, l’être humain est arrivé et a pris conscience de lui-même et de la pensée, il a abandonné tout ce que les êtres vivants avaient déjà développé il y a des millions d'années en raison de contraintes naturelles, ce que nous appelons aujourd'hui l'éthique et la morale. Des valeurs qui seules permettent une vie paisible de l'individu, dans les familles et les amitiés, dans le cercle des connaissances et dans la société, mais qui, en réalité, ne correspondent, de la part de l'être humain, en termes d'apprentissage et d'application, qu'à un discours psychologique qui, dans l'ensemble, ne correspond effectivement à rien d'autre qu'à une farce et à une dérision sans pareille. Ceci parce que les valeurs de l'éthique et de la morale ne sont pas enseignées dans toute leur étendue - parce qu'elles ne sont apparemment pas non plus connues de la science psychologique, qui n'est donc pas orientée sur les valeurs importantes contenues effectivement dans l'éthique et la morale. Mais si l'être humain apprenait et appliquait ces valeurs de manière consciente et sérieuse, il mènerait sa vie et son existence conformément à la réalité et à sa vérité, grâce à ses efforts sérieux et sincères de penser correctement et aux sentiments de valeur qui en découlent. Il s'efforcerait effectivement et consciemment de mener l'ensemble de ses comportements et de ses actions dans la paix, la liberté et la solidarité générale avec tous les êtres humains, avec la nature et ses écosystèmes, avec la planète et avec l'ensemble de la faune et de la flore. Il s'abstiendrait de tout acte de violence, de toute guerre politique ou autre, et mènerait une vie véritablement libre et satisfaite, sans délire de croyance religieuse ou profane. La haine et la vengeance, la haine raciale, le suicide et le meurtre privé, politique, militaire ou organisé d'une autre manière, la torture et les violences de toutes sortes, ainsi que toutes les formes de destruction, etc. lui seraient étrangers. Ceci parce que l'ensemble des valeurs de l'éthique et de la morale sont formées de telle manière que celles-ci, lorsqu'elles sont apprises consciemment et formées en tant que valeurs de caractère, dissolvent et éliminent dès les premiers balbutiements dans le fond l'incorrect, l'indignité de vivre, toute violence et tout ce qui perturbe la paix, opposé à la liberté et qui détruit la vie, avant même que ceux-ci ne puissent se développer. Nun, als nach vielen Millionen von Jahren später der Mensch kam und im Lauf der Zeit sich seiner selbst und des Denkens bewusst wurde, da legte er alles das ab, was die Lebewesen schon vor vielen Jahrmillionen infolge natürlicher Vorgaben entwickelten, eben das, was wir heute Ethik und Moral nennen. Werte, die allein ein friedliches Leben des einzelnen, in den Familien und Freundschaften, im Bekanntenkreis und in der Gesellschaft bewirken, was aber wahrheitlich vom Menschen bezüglich des Erlernens und in der Anwendung nur einer psychologischen Sprechensmache entspricht, die im Ganzen effectiv nichts anderem entspricht, als einer Farce und einem Hohn sondergleichen. Dies darum, weil die Werte der Ethik und Moral nicht in ihrem gesamten Umfang gelehrt werden – weil sie offenbar der Psychologiewissenschaft auch nicht bekannt sind, folglich sie darüber nicht orientiert ist, welche wichtigen Werte in der Ethik und Moral effectiv enthalten sind. Die Werte aber, wenn sie vom Menschen bewusst und ernsthaft erlernt und angewendet würden, hätten durch seine ernsthaften und umfänglich ehrlichen Bemühungen eines richtigen Denkens und der daraus erzeugten wertigen Gefühle zur Folge, dass er der Wirklichkeit und deren Wahrheit gemäss das Leben und sein Dasein führen würde. Er wäre effectiv derart bewusst bemüht, seine gesamten Verhaltensweisen sowie sein Handeln in Frieden, Freiheit und allgemeiner Verbundenheit mit allen Menschen, mit der Natur und deren Ökosystemen, dem Planeten und mit der gesamten Fauna und Flora zu führen. Er würde sich allen Gewalttätigkeiten, jedem politischen und sonstig möglichen Krieg enthalten und wahrlich freiheitlich und zufrieden ein Leben ohne religiösen oder weltlichen Glaubenswahn führen. Hass und Rache und auch Rassenhass, Suizid und privater, politischer, militärischer oder sonstwie organisierter Mord und Totschlag, Folter und Gewalttätigkeit aller Art, wie auch aller Art Zerstörung usw. wären ihm fremd. Dies darum, weil der gesamte Umfang aller Werte von Ethik und Moral derart gebildet sind, dass diese, wenn sie bewusst erlernt und als Charakterwerte gebildet werden, das Unrichtige, das Lebensunwürdige, alle Gewalttätigkeit und alles Friedensstörende, Freiheitsfeindliche und Lebenszerstörende schon in den ersten Anfängen im Grunde auflösen und eliminieren, ehe diese überhaupt sich zu entwickeln vermögen.
L'éthique et la morale ne sont pas seulement des principes comportementaux, de même qu'elles ne règlent pas seulement le comportement des individus dans une société, de même qu'elles ne définissent pas seulement les lignes directrices d'un comportement juste et indiquent le comportement faux, de même qu'elles n'indiquent pas seulement les valeurs et les principes des normes sociales auxquelles l’être humain doit se conformer en tant que membre de la société, car elles sont en réalité bien plus que cela. Cela est malheureusement entièrement mal compris et mal enseigné par la science de la psychologie, car l'éthique et la morale constituent fondamentalement les facteurs et les valeurs importants de ce qui caractérise d'une part le type de caractère de l’être humain. De plus, la façon dont la véritable humanité est exprimée ouvertement, mais qui, au contraire, par l'absence des valeurs de l'éthique et de la morale, montre que l’être humain ne correspond pas, en termes de caractère et de comportement, aux normes de la décence, de la véritable humanité, des directives naturelles et de l'ordre social, de la paix et de la liberté, etc. Ethik und Moral sind nicht nur verhaltensmässige Grundsätze, wie sie auch nicht nur das Verhalten der Individuen in einer Gesellschaft regeln, wie sie aber auch nicht nur die Leitlinien für ein richtiges Verhalten festlegen und das falsche aufzeigen, wie sie auch nicht nur die Werte und Prinzipien der sozialen Normen aufzeigen, an die sich der Mensch als Mitglied der Gesellschaft halten soll, denn wahrheitlich sind sie sehr viel mehr. Das wird leider durch die Psychologiewissenschaft völlig falsch verstanden und missgelehrt, denn grundsätzlich bilden Ethik und Moral jene wichtigen Faktoren und Werte dessen, was einerseits den Typus des Charakters des Menschen spezifizierend kennzeichnet. Weiter auch, wie das wahre Menschsein offen zum Ausdruck gebracht wird, jedoch gegenteilig durch das Fehlen der Werte Ethik und Moral aufweist, dass der Mensch charakterlich und verhaltensmässig nicht den Normen des Anstandes, des wahren Menschseins, der natürlichen Vorgaben und gesellschaftlichen Ordnung, des Friedens und der Freiheit usw. entspricht.
Dans les relations avec autrui, la norme contraignante en matière de comportement éthique et moral est donnée et se limite à la bonne conduite, aux bonnes actions, à un langage propre et compréhensible ainsi qu'aux bonnes manières, qui sont considérées comme des règles et des commandements acceptables et valables. L’être humain doit toujours s'orienter vers ces comportements éthiques et moraux, ce qui fait que son attitude est exactement considérée comme moralement bonne, en particulier lorsque l'être humain qui se comporte de cette manière assume ses obligations normatives sur la base de son motif ou de ses manières de penser. Mais le sens et le but de l'éthique et de la morale véritables ne sont pas remplis, car ils ne sont que la partie la plus infime de l'ensemble et ne disent pratiquement rien sur le véritable caractère de l’être humain et ses marques caractéristiques. Le comportement, l'action et les effets de l’être humain sont influencés par les particularités très négatives de son caractère, qui se manifestent à l'extérieur et provoquent le mal ou simplement des effets négatifs qui se montrent à partir de cet effet. Im Umgang mit den Mitmenschen ist der bindende Massstab bezüglich ethisch-moralischen Verhaltens gegeben und beschränkt auf das gute Benehmen, gute Handlungen, eine saubere und verständliche Sprache sowie gute Umgangsformen, die als akzeptierende und wertige Regeln und Gebote gelten. An diesen ethisch-moralischen Verhaltensweisen hat sich der Mensch allzeit zu orientieren, wodurch seine Haltung dann exakt als moralisch gut gilt, besonders dann, wenn der dieserart sich benehmende Mensch aus dem Motiv bzw. seiner Gesinnung heraus seine normativen Verpflichtungen wahrnimmt. Damit aber ist der Sinn und Zweck der wahren Ethik und Moral nicht erfüllt, denn diese sind nur der winzigste Teil des Ganzen und sagen so gut wie nichts bezüglich des wahren Charakters des Menschen und dessen charakterlicher Prägungen aus. Dies hinsichtlich des Verhaltens, Handelns und Wirkens bezüglich dem, wenn die tief im Charakter lagernden und nach aussen durchbrechenden sehr negativen Eigenheiten freiwerden und Unheil oder einfach Negatives zur Wirkung bringen.
L'éthique et la morale forment ensemble la philosophie morale, qui ne se contente pas d'indiquer le comportement humain en ce qui concerne toutes les règles de conduite privées, familiales, amicales et sociales, car en réalité, elles sont beaucoup, beaucoup plus que cela. Elles déterminent en effet comment, quoi et qui l’être humain est réellement, comment il a appris ou non consciemment depuis sa naissance et comment il s'est formé ou non consciemment en ce qui concerne la véritable humanité. L'éthique et la morale apprises par l’être humain et agissant sur lui - si elles ont été réellement apprises consciemment - ont pour effet qu'il cultive ses pensées et ses sentiments de manière autonome et propre, qu'il prend ses propres décisions de valeur et qu'il agit consciemment de manière correcte et juste en fonction de celles-ci. Ainsi, les valeurs éthiques et morales montrent également comment penser et ressentir correctement, comment prendre des décisions et agir de manière valable, en bien et en positif, mais aussi, en cas de non-apprentissage, en mal et en négatif. Le comportement éthique et moral général, correct et de qualité, ainsi que le rapport explicite à soi-même et à sa propre personnalité prouvent la justesse de la véritable humanité, grâce à laquelle de multiples valeurs sont mises en valeur. L'inverse se produit cependant pour chaque personne à qui les hautes valeurs de l'éthique et de la morale font totalement ou du moins en grande partie défaut et lui sont étrangères, si elle n'a pas appris consciemment et volontairement l'ensemble des valeurs éthiques et morales. L'apprentissage conscient et volontaire de l'ensemble de ces valeurs éthiques et morales et leur mise en œuvre quotidienne et durable font de l’être humain un être humain véritable qu'il est censé être par nature. Ces valeurs sont cependant beaucoup plus vastes que celles connues par la science de la psychologie et vont bien au-delà de ce qu'elle appelle l'éthique et la morale.

Fondamentalement, ces quelques valeurs ne sont pratiquement rien de plus que ce que l'on appelle généralement une ‹goutte d'eau dans l'océan›, car l'ensemble comprend beaucoup plus, car il contient tout ce qui fait de l’être humain ce qu'il doit être naturellement, c'est-à-dire un véritable être humain. Mais devenir cela implique d'apprendre consciemment et de reproduire dans la vie quotidienne ce que l'éthique et la morale recèlent réellement. Cela signifie également que tout ce qui est négatif, faux et injuste, etc. doit être strictement dissous et neutralisé, afin qu'il ne puisse pas s'ancrer profondément dans le caractère en tant qu’attribut mauvais et méchant et qu'il ne puisse pas éclater à chaque occasion appropriée ou inappropriée. Les mauvaises valeurs non traitées et non neutralisées, qui se sont déposées au plus profond du caractère, s'échappent alors vers l'extérieur et causent des malheurs. Cela prend la forme de mensonges et de tromperies, de haine, de colère, de vengeance, de calomnie, mais aussi de représailles, de ‘Gewalt’ et de tromperie, de guerre, de suicide, de meurtre, d’homicide et de destruction, etc. Toutes les non-valeurs non traitées dans son intérieur, qui ne sont pas acceptables d'un point de vue éthique et moral et que l’être humain doit combattre consciemment, mais qui peuvent être neutralisées par l'apprentissage volontaire des valeurs globales, sont inévitablement déposées dans les profondeurs du caractère si l'on n'y prête pas attention, d'où elles remontent et où l’être humain s'expose négativement lorsqu'il est excité pour quelque raison que ce soit.

Ethik und Moral bilden zusammen die Moralphilosophie, die nicht nur das menschliche Verhalten bezüglich all der privaten, der familiären, freundschaftlichen, bekanntschaftlichen sowie der gesellschaftlichen Umgangsregeln aufzeigt, denn wahrheitlich sind sie sehr, sehr viel mehr. Sie bestimmen nämlich darüber, wie, was und wer der Mensch wirklich ist, wie er seit seiner Geburt bewusst lernte oder nicht lernte und sich bewusst bildete oder nicht bildete bezüglich des wahren Menschseins. Die vom Menschen gelernte und wirkende Ethik und Moral – wenn diese wirklich bewusst erlernt wurde – bewirkt, dass er selbständig und eigens seine Gedanken und Gefühle pflegt, eigene wertige Entscheidungen trifft und gemäss denen bewusst richtig und korrekt handelt. Also zeigen die ethisch-moralischen Werte auch das eigene richtige Denken und Gefühleschaffen, wie auch das wertige Entscheiden und Handeln im Guten und Positiven auf, wie aber beim Nichterlernen das Falsche und Negative. Das allgemeine richtige und hochwertige ethisch-moralische Verhalten, wie auch explizit der Umgang mit sich selbst und der eigenen Persönlichkeit beweist die Richtigkeit des wahren Menschseins, wobei durch diese vielfache Werte zur Geltung kommen. Gegenteiliges ergibt sich jedoch bei jedem Menschen, dem die hohen Werte der Ethik und Moral völlig oder zumindest grösstenteils fehlen und sie ihm fremd sind, wenn er nicht bewusst und willig die gesamten ethisch-moralischen Werte erlernt hat. Das bewusste und willige Erlernen gesamthaft aller dieser Werte Ethik und Moral und deren tägliche und dauerhafte Umsetzung macht erst den Menschen zum wahren Menschen, der er naturmässig sein soll. Diese Werte sind jedoch viel umgreifender, als diese der Psychologiewissenschaft bekannt sind, und gehen sehr weit über das hinaus, was sie als Ethik und Moral nennt. Grundlegend sind die wenigen Werte praktisch nicht mehr als das, was allgemein als ‹Tropfen auf einen heissen Stein› bezeichnet wird, denn das Ganze umfasst sehr viel mehr, denn es beinhaltet alles das, was den Menschen zu dem macht, was er natürlich sein soll, eben ein wahrer Mensch. Dies aber zu werden bedingt, dass das bewusst gelernt und im täglichen Leben nachvollzogen wird, was Ethik und Moral wirklich in sich bergen. Es bedeutet auch, dass strikt alles Negative, Falsche und Unrichtige usw. aufzulösen und zu neutralisieren ist, dass es sich nicht als böse und schlechte Eigenschaft tief im Charakter festsetzen und bei jeder passenden oder unpassenden Gelegenheit zum Ausbruch kommen kann. Dies insbesondere durch irgendwelche Erregung usw., wodurch die unverarbeiteten und nicht neutralisierten Unwerte, die sich tief im Charakter ablagerten, nach aussen durchbrechen und Unheil anrichten. Dies geschieht in Form von Lügen und Betrug, wie auch als Hass, Wut, Rache, Verleumdung, jedoch auch als Vergeltung, Gewalt und Täuschung, als Krieg, Selbstmord, Mord und Totschlag und Zerstörung usw. Alle die unverarbeiteten Unwerte, die ethisch-moralisch nicht tragbar und vom Menschen bewusst zu bekämpfen, wie aber durch ein williges Erlernen der umfänglichen Werte zu neutralisieren sind, werden bei Nichtbeachtung zwangsläufig tief im Charakter abgelagert, aus dem diese wieder hochkommen und der Mensch sich mit diesen negativ outet, wenn er sich aus irgendwelchen Gründen erregt.
L'éthique et la morale sont donc bien beaucoup plus que de simples comportements, etc. dans les relations avec les prochains et la société en général, car elles contiennent en réalité toutes les hautes valeurs nécessaires à la véritable condition humaine. C'est pourquoi chaque personnalité doit être formée selon les vraies valeurs éthiques et morales, car l'éthique et la morale forment ensemble la philosophie morale qui montre les décisions et les actions humaines dans le bien - et le mal - ainsi que le comportement général et explicitement le rapport avec soi-même et donc avec sa propre personnalité, où de multiples valeurs sont mises en valeur. Ethik und Moral sind also sehr viel mehr als nur Verhaltensweisen usw. im Umgang mit den Mitmenschen und der Gesellschaft allgemein, denn wahrheitlich beinhalten sie all die hohen Werte, die zum wahren Menschsein erforderlich sind. Daher soll jede Persönlichkeit gemäss den wahren ethisch-moralischen Werten gebildet werden, denn Ethik und Moral bilden zusammen die Moralphilosophie, die das menschliche Entscheiden und Handeln im Guten – und Falschen – aufzeigt, wie auch das allgemeine Verhalten und explizit den Umgang mit sich selbst und also der eigenen Persönlichkeit, wobei vielfache Werte zur Geltung kommen.
L'éthique et la morale doivent être un devoir pour chaque personnalité, la vie et le comportement de l'individu doivent être déterminés par ces valeurs, et ce sous la forme d'une connaissance quotidienne de soi-même en tant que soignant et d'une décision, d'une action et d'un soin professionnels libres du comportement humain correct dans toutes les dimensions. Ces valeurs doivent être orientées de manière véritablement interdisciplinaire en ce qui concerne l'interaction autonome-personnelle-professionnelle, et ce dans le libre contrôle de soi, comme dans toutes les valeurs de tous les principes autonomes, comme dans la persévérance positive et l'attention. Toutes les valeurs du principe de loyauté et du principe de paix, ainsi que les principes de justice, d'attitude positive et d'ordre, de même que les principes de tolérance, de détermination, d'harmonie, d'honnêteté, d'empathie, d'intérêt et de serviabilité, d'ardeur au travail, de liberté, d'attention et tous les principes de protection de toute vie, de la prévention des dommages et de l'amour véritable, de l'équité et du respect, mais aussi les principes d'empathie, de sécurité, de discipline, de bonne conscience, d'intégrité, de santé, de famille, de détermination, de prospérité, de succès et de non-vol, de propreté et de fiabilité, de solidité et de soutien. En font également partie l'acceptation et la résistance, la fiabilité et l'amour du prochain, ainsi que la liberté effective et l'affection, la sympathie, l'amitié et la reconnaissance, le bien commun, le fait de ne pas tuer, etc. Ethik und Moral sollen jeder Persönlichkeit Erfüllungspflicht sein, das Leben und Verhalten des einzelnen soll dadurch wertig bestimmt werden, und zwar in Formen der täglichen pflegerischen Selbsterkenntnis und des professionellen freien Entscheidens, Handelns und Pflegens des korrekten menschlichen Verhaltens bezüglich aller Dimensionen. Diese Werte sind wahrlich interdisziplinär bezüglich der autonom-persönlich-professionellen Interaktion auszurichten, und zwar in freier Selbstkontrolle, wie in allen Werten aller autonomen Prinzipien, wie in positiver Beharrlichkeit und Achtsamkeit. All die Werte des Loyalitätsprinzips und Friedensprinzips, wie auch die Gerechtigkeitsprinzipien, die positive Gesinnung und das Ordnungsprinzip sowie die Prinzipien Toleranz, Zielstrebigkeit, Harmonie, Ehrlichkeit, Einfühlung, Interesse und die Hilfsbereitschaft, die Arbeitsamkeit, das Freiheitsprinzip, die Fürsorgeprinzipien und alle die Prinzipien des Schutzes allen Lebens, der Schadensverhütung und der wahren Liebe, Fairness, wie auch des Respekts sind dazugehörend – wie aber auch die Prinzipien der Empathie, der Sicherheit, Disziplin, des guten Gewissens, der Integrität, Gesundheit, Familie, Zielstrebigkeit, des Wohlstands sowie Erfolgs und des Nichtstehlens, der Reinlichkeit und Vertrauenswürdigkeit, der Verlässlichkeit und Unterstützung erforderlich sind. Weiter gehören auch die Akzeptanz und die Belastbarkeit, Zuverlässigkeit und Nächstenliebe dazu sowie die effective Freiheit und Zuneigung, wie auch die Sympathie, Freundschaft und Anerkennung, wie auch das Gemeinwohl, das Nichttöten usw.
L'éthique et la morale indiquent ‹ne pas tuer›; cela signifie également qu'il ne faut pas faire la guerre, ni infliger la peine de mort, mais aussi que l’être humain ne doit pas se quereller, ne doit pas hair ni être violent, etc. Mais l'éthique et la morale disent aussi que l’être humain doit être sûr de lui, de ses capacités, de son devoir, de son honnêteté, etc. Ethik und Moral bedeuten ‹nicht töten›; das besagt auch, dass nicht Kriege geführt und nicht Todesstrafen verhängt werden sollen, dass aber auch der Mensch nicht streiten, nicht hassen und nicht gewalttätig usw. sein soll. Ethik und Moral sagen aber auch aus, dass der Mensch selbstbewusst, selbstsicher, pflichtgetreu und ehrlich usw. sein soll.
La conscience est bien plus que ce qui est généralement affirmé par la science, à savoir qu'elle formerait, au sens le plus large, l'expérience de processus et d'états mentaux, qu'elle percevrait, jugerait et reconnaîtrait consciemment quelque chose comme un savoir et le représenterait. De même, la conscience permet de sentir, de voir, d'entendre, de goûter et bien d'autres choses encore, ce qui n'est pas vrai dans ce sens, car la conscience ne peut pas créer elle-même toutes ces valeurs, mais seulement les percevoir et donc les juger. Ceci parce que ce sont les organes sensoriels correspondants dans le cerveau qui sont responsables de la perception effective de tous ces facteurs, qui doivent d'abord faire la perception correspondante pour la transmettre ensuite à la conscience, ce qui fait naître chez celle-ci la connaissance de ce qui est perçu. Et cela n'est possible que parce que l'énergie de la Création anime réellement la conscience. C'est cette énergie et cette force qui permettent à la conscience seule de créer des pensées qui, selon le type de pensées, génèrent des ondes négatives ou positives qui, en conséquence, agissent sur l'environnement proche et lointain et sur les formes de vie elles-mêmes de manière perturbatrice ou vivifiante. Pour l'être humain, cela se manifeste - même sur l'étendue - de manière émotionnelle, par conséquent un facteur d'attraction ou de rejet apparaît, comme par exemple une sympathie et une amitié, ou une antipathie et même une hostilité, comme aussi la joie et la paix, etc., mais aussi la haine, la vengeance, la guerre, le meurtre et l'assassinat, etc. Selon les formes de pensée, celles-ci se répercutent sur l’être humain qui pense vraiment ou qui pense mal, et ce de telle sorte que l'un devient joyeux et heureux ou simplement ‹en place›, tandis qu'un autre se fâche, devient violent, méchant, furieux ou psychiquement malade. Malade psychiquement parce que la conscience de l’être humain est constamment influencée négativement par ses propres pensées négatives et confuses, et donc par le monde émotionnel qui en résulte. Du fait que l’être humain peut modeler la force et l'énergie de sa conscience en pensées et en état émotionnel, il lui est possible de les rendre négatives ou positives et d'en exalter la valeur ou de les détruire de manière pathologique. La nature du monde des pensées et des sentiments se présente, selon la compréhension humaine, sous la forme d'un état psychique, selon lequel un un air éveillé est mis en valeur ou un ‹abattement psychique›, voire un état permanent de ‹maladie psychique›, domine ‹l'ordre du jour›. Das Bewusstsein ist sehr viel mehr, als allgemein von der Wissenschaft behauptet wird, nämlich, dass dieses in weitestem Sinne das Erleben mentaler Prozesse und Zustände bilden, wahrnehmen, beurteilen und etwas bewusst als Wissen erkennen und vertreten würde. Wie auch, dass durch das Bewusstsein das Fühlen, Sehen, Hören, Schmecken und vieles mehr und anderes möglich sei, was aber in diesem Sinn nicht stimmt, denn das Bewusstsein kann all diese Werte nicht selbst erschaffen, sondern sie nur wahrnehmen und folglich auch nur beurteilen. Dies darum, weil nämlich separat die entsprechenden Sinnesorgane im Gehirn für das effective Wahrnehmen all dieser Faktoren zuständig sind, die erst die entsprechende Wahrnehmung machen müssen, um diese dann an das Bewusstsein weiterzuleiten, wodurch in diesem dann erst das Wissen bezüglich des Wahrgenommenen entsteht. Und das ist nur möglich, weil die Schöpfungsenergie das Bewusstsein wirklich belebt. Diese Energie und Kraft ist es auch, durch die es allein dem Bewusstsein möglich ist, Gedanken zu schaffen, die je nach Gedankenart negative oder positive Schwingungen erzeugen, die dementsprechend wieder auf die nähere und weitere Umgebung und die Lebensformen selbst störend oder belebend einwirken. Für den Menschen kommt dies – selbst auf die Weite – emotional zur Geltung, folglich also ein anziehender oder ablehnender Faktor entsteht, wie z.B. eine Sympathie und Freundschaft, oder eine Antipathie und gar eine Feindschaft, wie auch zur Freude und zum Frieden usw., wie aber auch zu Hass, Rache, Krieg, Mord und Totschlag usw. Je nach Gedankenformen schlagen sich diese auf den wirklich denkenden oder scheindenkenden Menschen nieder, und zwar derart, dass der eine froh und fröhlich oder einfach ‹aufgestellt› wird, während ein anderer ‹sauer›, gewalttätig, böse, wütend oder psychisch krank wird. Psychisch krank eben darum, weil das Bewusstsein vom Menschen selbst ständig durch die eigenen alles verneinenden und ihn verwirrenden Gedanken und damit durch die daraus entstehende Gefühlswelt negativ beeinflusst wird. Dadurch also, dass der Mensch Kraft und Energie seines Bewusstseins zu Gedanken und seinem Gefühlszustand formen kann, ist es ihm möglich, diesen negativ oder positiv zu gestalten und dessen Wert hochleben zu lassen oder krankhaft zu zerstören. Die Beschaffenheit der Gedanken-Gefühlswelt gestaltet sich nach menschlicher Verstehensweise als Psychezustand, demgemäss also ein ‹psychisches Aufgestelltsein› zur Geltung kommt, oder anderweitig eine ‹psychische Niedergeschlagenheit› oder gar ein Dauerzustand von ‹psychischer Krankheit› die ‹Tagesordnung› beherrscht.
La psyché n'est pas une composante ou un produit de la conscience ou du corps ou de son organisme, mais un état actuel que l’être humain lui-même provoque et crée entièrement par son monde de pensées et le monde de sentiments qui en résulte. La conscience elle-même ne contient donc pas de psychisme, mais celui-ci est créé par l’être humain lui-même à travers ses pensées et ses sentiments, et ce en tant qu'état actuel du résultat qui se forme dans des directions positives ou négatives. Si la science de la psychologie déclare que la psyché est la véritable totalité de l'état humain de ses sentiments, de ses sensations et de sa pensée (remarque : malheureusement, la majorité des terriens n'ont qu'une pensée illusoire qui les rend malades et stupides), il faut y adhérer et reconnaître que c'est juste. En revanche, il est totalement faux de dire que la psyché serait l'ensemble ‹spirituel› de toutes les caractéristiques de la personnalité de l'être humain concerné (les psychologues qui sont souvent croyants ne parlent bien sûr pas d'énergie de la Création, mais de ‹spirituel›, en raison de la religion). Mais il est à nouveau vrai que la psyché ou la santé psychique doit être qualifiée de santé mentale, tout comme le fait que les connaissances biopsychosociales actuelles font dépendre la santé mentale du fait qu'un système complexe de facteurs biologiques, psychologiques et sociaux est nécessaire pour que la santé mentale puisse réellement s'imposer. Cette santé psychosociale doit être définie comme un ‹état de bien-être› qui permet à une personne d'utiliser réellement ses capacités. Lorsque la santé psychosociale d'une personne est vraiment bonne, elle est en mesure de faire face aux pressions normales de la vie et de les gérer de manière productive, et elle est capable de se faire du bien à elle-même, à sa famille, à ses amis et à la communauté. Cela dépend bien sûr de nombreux facteurs divers, et en particulier du fait que tout soit sain et en ordre au niveau des pensées et des sentiments, et que tout soit capable de résister à toutes les exigences et de servir d’une façon utile. Die Psyche isein Bestandteil oder ein Produkt des Bewusstseins oder des Körpers resp. dessen Organismus, sondern ein aktueller Zustand, den der Mensch selbst völlig allein durch seine Gedankenwelt und seine daraus resultierende Gefühlswelt hervorruft und erschafft. Das Bewusstsein selbst birgt in sich also keine Psyche, sondern diese wird vom Menschen durch seine Gedanken und Gefühle selbst erschaffen, und zwar als aktueller Zustand des Resultats, das sich aus seinen positiven oder negativen Gedanken-Gefühlsrichtungen ergibt. Wenn also die psychologische Wissenschaft erklärt, dass die Psyche die eigentliche Gesamtheit des menschlichen Zustandes seines Fühlens und des Empfindens und seines Denkens sei (Anm.: Leider ist jedoch beim Gros der Erdlinge nur ein Scheindenken vorhanden, das krank und dumm macht), dann muss dem zugestimmt und das als richtig anerkannt werden. Gegenteilig aber ist es völlig falsch, dass die Psyche die ‹geistige› Gesamtheit aller Persönlichkeitsmerkmale des betreffenden Menschen sei (wobei von den Psychologiewissenschaftlern religionsbehangen natürlich nicht von Schöpfungsenergie gesprochen wird, sondern von ‹geistig›). Es ist aber wieder richtig, dass die Psyche bzw. die psychische Gesundheit als mentale Gesundheit zu bezeichnen ist, wie auch, dass das heutige biopsychosoziale Wissen die psychische Gesundheit davon abhängig macht, dass ein komplexes System biologischer, psychologischer und sozialer Faktoren erforderlich ist, dass die psychische Gesundheit wirklich durchgreifen kann. Diese psychosoziale Gesundheit ist als ‹Zustand des Wohlbefindens› zu definieren, durch die ein Mensch seine Fähigkeiten wirklich nutzen kann. Die in Erscheinung tretenden normalen Lebensbelastungen kann der Mensch normal bewältigen wie auch produktiv bearbeiten, und zudem ist er im Stande, sich selbst und der Familie, den Freunden und der Gemeinschaft etwas Gutes zu tun, wenn die psychosoziale Gesundheit des Menschen wirklich in Ordnung ist. Dies hängt natürlich von vielen verschiedenen Faktoren ab, und eben besonders davon, dass bezüglich der eigenen Person alles gedanken-gefühlsmässig gesund und in Ordnung ist und allen Anforderungen Bestand halten und gut nützen kann.
La Psyché n'est donc pas une composante de la conscience ou de l'être humain en général, mais un état actuel de son monde mental et de ses sentiments, qui s'exprime de manière négative ou positive. Mais c'est un sujet délicat et même tabou, surtout à notre époque, car l’être humain de la Terre s'amollit de plus en plus et de manière flagrante, car il s'est laissé et se laisse toujours plus guider par la technique et s'y perd, en faisant de moins en moins attention à lui et à son moi et en se déplaçant simplement dans la tendance du progrès, en n'étant plus dirigé que par les autorités supérieures et les banques, etc. et en se perdant en lui-même, sans qu'il s'en rende compte dans sa stupidité ou dans sa non-pensée. Il y a donc pour lui de plus en plus d’appréhensions, de troubles et de blessures psychiques ou mentales, pour lesquels il n'y a cependant aucune aide, raison pour laquelle de plus en plus de personnes finissent par se suicider, et ce depuis de nombreuses années déjà, et souvent sans raison apparente. En outre, il évolue tout au long de sa vie sous l'influence de l'environnement qui l'entoure et de tous les événements qui le touchent, ce qui fait qu'il peut changer au cours de sa vie et s’adapter une autre manière de penser. Die Psyche ist also nicht ein Bestandteil des Bewusstseins oder überhaupt des Menschen, sondern diese ist ein aktueller Zustand seiner Gedanken-Gefühlswelt, der in negativer oder positiver Weise zum Ausdruck gebracht wird. Das aber ist besonders in der heutigen Zeit ein heikles und gar ein Tabu-Thema, denn der Mensch der Erde verweichlicht immer mehr und krasser, denn er liess und lässt sich immer mehr von der Technik leiten und verliert sich darin, folgedem er laufend weniger acht auf sich und sein Selbst gibt und sich einfach im Trend des Fortschritts bewegt, folglich nur noch von höherer behördlicher Warte und den Banken usw. aus über ihn geherrscht wird und er in sich selbst verlorengeht, ohne dass er dies in seiner Dummheit resp. in seinem Nichtdenken realisiert. So gibt es für ihn immer mehr Hemmschwellen, immer mehr psychische resp. gedanklich-gefühlsmässige Beschwerden und Verletzungen, wofür es aber keine Hilfe gibt, weshalb immer mehr Menschen im Suizid enden, und zwar schon seit vielen Jahren, und vielfach ohne ersichtlichen Grund. Ausserdem entwickelt er sich über seine gesamte Lebensspanne durch den Einfluss der ihn umgebenden Umwelt und all die ihn treffenden Ereignisse, folglich er sich im Lauf des Lebens ändern und er einer anderen Gesinnung werden kann.
Normalement, cependant, on peut attribuer à chaque personnalité certaines caractéristiques, qui sont en grande partie stables, comme les comportements et le tempérament, mais les attitudes peuvent changer considérablement, notamment sous l'influence d'une croyance religieuse, mais aussi d'autres influences, qui ne sont absolument pas séculières. Normalerweise jedoch können jeder Persönlichkeit bestimmte Merkmale zugeordnet werden, wobei diese Eigenschaften weitgehend stabil sind, wie z.B. die Verhaltensweisen und das Temperament, jedoch können die Einstellungen stark ändern, insbesondere durch den Einfluss eines religiösen Glaubens, wie jedoch auch durch andere und absolut nur weltliche Beeinflussungen.
En ce qui concerne la santé psychique et le fait de rester en bonne santé, les pensées et les sentiments jouent un rôle absolument déterminant, important et préventif. En tant que personne individuelle, l’être humain ne peut toutefois influer que de manière limitée sur sa santé psychique, car pour pouvoir établir l'état de son psychisme et le mettre en forme correctement, il a besoin d'interagir avec ses semblables. Mais c'est toujours la faute de l’être humain s'il développe un problème psychique. Les influences des facteurs sociaux, culturels, économiques et environnementaux ainsi que les autres personnes qui y sont liées jouent toutefois un rôle important. En effet, il n'existe pas de prédisposition génétique, comme l'affirme la science de la psychologie, pas plus qu'il n'existe de psyché consciente ou innée chez l’être humain, car celle-ci n'est qu'un état créé par l’être humain lui-même, par ses pensées et ses sentiments, qui donnent naissance à cet état appelé simplement psyché. Bezüglich der psychischen Gesundheit und gesund zu bleiben, spielen Gedanken-Gefühlsregungen die absolut massgebendste und wichtigste sowie vorbeugende Rolle. Als einzelne Person kann der Mensch jedoch nur bedingt darauf Einfluss nehmen, ob er psychisch gesund bleibt oder nicht, denn um den Zustand der Psyche überhaupt erstellen und auch richtig in Form setzen zu können, bedarf es des Umgangs mit den Mitmenschen. Doch ist immer der Mensch selbst daran schuld, wenn er ein psychisches Problem entwickelt. Dabei spielen jedoch auch Einflüsse der sozialen, kulturellen, wirtschaftlichen sowie die umweltmässigen Faktoren und die damit verbundenen Mitmenschen eine wichtige Rolle. Doch immer werden allein und selbst die persönlichen Lebensumstände und der Zustand der Psyche bestimmt, denn es gibt keine genetische Veranlagung, wie die psychologische Wissenschaft behauptet, wie es auch keine bewusstseinsmässige oder sonstwie eine dem Menschen angeborene Psyche gibt, denn wahrlich ist diese nur ein Zustand, der durch den Menschen selbst erschaffen wird, und zwar durch seine Gedanken und seine Gefühle, durch die der Zustand zustande kommt, der einfach Psyche genannt wird.
La Conscience est le facteur animé par l'énergie de la Création et qui, par le biais de ce que l’être humain voit, vit, expérimente, entend et apprend, lui transmet pas directement mentalement et en l’acceptant la réalité et la vérité de ses perceptions. Cela se fait - et il faut à nouveau l'expliquer clairement - par le fait que les sens correspondants doivent d'abord faire leur perception et la transmettre ensuite à la conscience. Les organes des sens ne correspondent pas à la conscience, mais se rapportent à certaines zones diverses du cerveau qui perçoivent des impressions et des stimuli, etc., concernant le propre corps de l’être humain, mais aussi l'environnement direct, proche et lointain. Ces sens englobent bien plus que ce qu'affirme la science, qui ne cite que cinq sens chez l’être humain, mais beaucoup d'entre eux ne se limitent pas à l'ouïe, l'odorat, le toucher, la vue et le goût. Ainsi, on peut citer le sens de la parole, le sens de la logique, le sens de l’entendement, le sens de la raison, le sens de la perception, le sens de la personnalité et le sens du mouvement, mais aussi le très important sens de la réalité, le sens de la vérité et bien d'autres qui existent absolument et qui sont importants pour l'être humain. La science de la psychologie en particulier, jusqu’à la psychanalyse et au traitement psychique, est très en retard en raison de l’ignorance de ce fait, ce qui conduit très souvent et de plus en plus souvent au suicide ou à la mort des personnes atteintes de troubles psychiques. Das Bewusstsein ist der schöpfungsenergiebelebte Faktor, der dem Menschen das wirkliche Wissen durch das Gesehene, Erlebte, Erfahrene, Gehörte und Gelernte nicht direkt wissentlich feststellend aufnimmt und ihm die Wirklichkeit und deren Wahrheit der Wahrnehmungen vermittelt. Dies geschieht dadurch – und es sei abermals deutlich erklärt –, dass zuerst die entsprechenden Sinne ihre Wahrnehmung zu machen haben und diese dann an das Bewusstsein weitergeben. Die Sinnesorgane entsprechen nicht dem Bewusstsein, sondern sie beziehen sich auf bestimmte verschiedene Hirnareale, die Eindrücke und Reize usw. bezüglich des eigenen Körpers des Menschen, wie aber auch aus der direkten, nahen und ferneren Umwelt wahrnehmen. Diese Sinne umfassen weit mehr, als dies die Wissenschaft behauptet, die nur 5 Sinne des Menschen anführt, wobei aber viele mehr sind als eben nur Hören, Riechen, Tasten, Sehen und Schmecken. So sind auch der Sprachsinn, Logiksinn, Verstandessinn, Vernunftssinn, Wahrnehmungssinn, Persönlichkeitssinn und Bewegungssinn zu nennen, wie aber auch der sehr bedeutende Wirklichkeitssinn, der Wahrheitssinn und viele weitere andere, die absolut existieren und für den Menschen von Bedeutung sind. Besonders die Wissenschaft der Psychologie bis hin zur Psychoanalytik und Psychebehandlung kommt durch das Nichtwissen dieser Tatsache weit ins Hintertreffen, was sehr oft und immer mehr bei psychisch geschädigten Personen zum Suizid resp. Selbstmord führt.
SSSC, 6/04/2023, Billy SSSC, 6.4.2023, Billy


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