Rapport de contact 801
Ceci est une traduction non officielle mais autorisée d'une publication de la FIGU.
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Introduction
- Jour du contact: Dimanche 1er Mai 2022 à 13.37h
- Personne(s) du contact: ptaah
- Traduction Française & corrections: DeepL Translatorautotranslation/ Gérald
Attention : CONTACT NON COMPLET /!\ ACTUELLEMENT EN TRADUCTION
Synopsis
Rapport de contact 801 -Traduction
Traduction Française
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Original Swiss-Allemand
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Contact N°801 | Achthunderterster Kontakt |
Dimanche 1er Mai 2022 à 13.37h | Sonntag, 1. Mai 2022 13.37 Uhr |
Billy: |
Billy: |
Bonjour, Ptaah, sois le bienvenu. - Salutations, tu es un peu en avance par rapport à ce que tu avais annoncé. | Hallo, Ptaah, sei willkommen. – Grüss dich, du bist etwas früher als du angekündigt hast. |
Ptaah: |
Ptaah: |
Je te salue aussi - et te remercie de ta bienvenue. Oui, il se trouve que je suis arrivé un peu plus tôt que prévu. | Sei auch gegrüsst – und danke für dein Willkomm. Ja, es hat sich so ergeben, dass ich etwas früher hier bin. |
Billy: |
Billy: |
Ce n'est pas un problème, au contraire, cela me convient, car je veux te demander si vous avez trouvé quelque chose concernant la voiture d'Ukraine ? | Das ist ja kein Problem, im Gegenteil, es ist mir recht, denn ich will dich fragen, ob ihr etwas herausgefunden habt bezüglich des Autos aus der Ukraine? |
Ptaah: |
Ptaah: |
Nous avons pu le vérifier, car il y avait deux véhicules différents sur le parking, à sept minutes d'intervalle. Ce que tu as observé en premier était apparemment un véhicule privé, et les personnes qui en faisaient partie étaient manifestement aussi présentes sur le site du centre pour des raisons privées. Mais ce que tu n'as pas observé : Après le départ du véhicule, qui était occupé par 2 personnes comme nous l'avons constaté, un autre véhicule de même type est arrivé, duquel sont sortis 3 individus de sexe masculin qui filmaient visiblement tout le terrain du centre d'une certaine hauteur avec un petit appareil volant, ce que l'une des personnes contrôlait sur un appareil de visualisation. Tu étais manifestement occupé ailleurs à ce moment-là et tu n'as donc pas pu voir que ce véhicule entrait dans le parking et était garé derrière les remorques. Ce n'est que lorsqu'il a été déplacé, environ 10 minutes plus tard, que tu l'as observé et que tu as constaté qu'il portait une marque de CD, comme tu l'as fait remarquer. Mais nous ne devrions pas en parler ouvertement, car nous n'avons pas encore réussi à élucider la raison de tout cela. En tout cas, ce que tu as observé était vrai, mais cela n'avait vraiment rien à voir avec le véhicule, qui appartenait à une femme et à un homme qui visitaient manifestement le centre par pure curiosité. Mais ce que tu as observé par la suite, c'est qu'il s'agissait en fait d'un véhicule blindé très coûteux, dont les trois occupants masculins avaient filmé toute l'enceinte du centre depuis une certaine hauteur avec un appareil volant. C'est ce que nous avons pu déterminer, mais nous ne savons pas encore quelle était et quelle est la raison de tout cela, c'est pourquoi nous ne devons pas en parler ni faire de suppositions. | Das konnten wir ergründen, denn es waren deren 2 verschiedene, die in 7 Minuten Abstand auf dem Parkplatz waren. Was du zuerst beobachtet hast, das war offenbar ein Privatfahrzeug, und die Personen, die dazugehörten, waren offensichtlich auch infolge privater Interessen auf dem Centergelände. Was du aber nicht beobachtet hast: Nach dem Wegfahren des Fahrzeuges, das mit 2 Personen besetzt war, wie wir feststellten, fuhr ein weiteres Fahrzeug gleicher Bauart vor, dem 3 männliche Personen entstiegen, die offensichtlich das ganze Centergelände aus einiger Höhe mit einem kleinen Fluggerät filmten, was eine der Personen auf einem Sichtgerät kontrollierte. Du warst offenbar gerade zu dieser Zeit wahrscheinlich anderweitig beschäftigt, folglich du nicht sehen konntest, dass dieses Fahrzeug auf den Parkplatz fuhr und hinter den Anhängern geparkt wurde. Erst als es weggefahren wurde, was etwa 10 Minuten später war, hast du es beobachtet und festgestellt, dass es ein CD Zeichen trug, wie du richtig feststelltest. Doch darüber sollten wir nicht offen sprechen, denn wir vermochten bisher nicht abzuklären, was das Ganze sollte. Richtig war jedenfalls, was du beobachtet hast, doch hat es wirklich nichts mit dem Fahrzeug zu tun, das zu einer weiblichen und einer männlichen Person gehörte, die offensichtlich aus reiner Neugierde das Center besuchten. Was du aber später beobachtet hast, das war tatsächlich ein sehr teures und gepanzertes Fahrzeug, dessen 3 männliche Insassen aus einiger Höhe mit einem Fluggerät das gesamte Center-Gelände gefilmt hatten. Das ist das, was wir eruieren konnten, was der Grund des Ganzen jedoch war und ist, das wissen wir bisher nicht, weshalb wir nicht darüber reden und rätseln sollten. |
Billy: |
Billy: |
Je vois, alors je n'ai pas regardé de plus près la voiture de la femme et de l'homme, mais celle qui est arrivée quelques minutes plus tard, après que le véhicule que j'ai observé en premier soit déjà parti. Mais il est tout de même étrange que deux voitures de la même marque et du même pays apparaissent. Je me demande si au moins la voiture portant l'insigne n'est pas liée à la lettre qui provenait de Kiev ou d'ailleurs et qui était authentique, comme vous l'avez constaté. L'autre voiture a dû arriver quand j'ai dû me rendre à l'appartement pour quelques minutes. C'était probablement un quadricoptère, ce que tu appelles un drone, un engin volant. | Verstehe, dann habe ich nicht das Auto von der Frau und dem Mann in näheren Augenschein genommen, sondern dasjenige, das wenige Minuten später hergekommen war, nachdem das erst von mir beobachtete Fahrzeug bereits weggefahren war. Aber komisch ist es doch, dass 2 Autos der gleichen Marke und aus dem gleichen Land auftauchen. Da frage ich mich, ob zumindest das Auto mit dem CD-Zeichen im Zusammenhang mit dem Brief steht, der aus Kiew oder so stammte, der zudem echt war, wie ihr ja festgestellt habt. Das andere Auto musste wohl hergefahren sein, als ich für einige Minuten rüber in die Wohnung musste. Das war wohl ein Quadrocopter, eine sogenannte Drohne, was du als Fluggerät nennst. |
Ptaah: |
Ptaah: |
L'objet était cependant plus grand que les objets habituels, qui n'ont que quatre hélices ; l'appareil volant en avait six. | Das Objekt war aber grösser als die üblichen, die nur 4 Propellerwerke aufweisen; das Fluggerät hatte nämlich deren 6. |
Billy: |
Billy: |
Je n'en ai jamais vu de si grands, mais il semble qu'ils existent. Peut-être que des drones aussi grands sont équipés de caméras, car de telles caméras ne sont certainement pas légères ? | Zwar habe ich noch nie solch grosse gesehen, doch scheint es sie doch zu geben. Vielleicht werden so grosse Drohnen eben mit Filmkameras ausgerüstet, denn solche Kameras sind vom Gewicht her sicher nicht leicht? |
Ptaah: |
Ptaah: |
C'est peut-être vrai, mais nous ne devrions vraiment pas en parler avant de savoir ce qu'il en est de tout cela. | Das mag sein, doch sollten wir wirklich nicht darüber reden, ehe wir wissen, was es mit dem ganzen Geschehen auf sich hat. |
Billy: |
Billy: |
Alors, il n'est pas question d'en parler ouvertement pour l'instant. Nous en reparlerons donc plus tard, quand vous en saurez plus. Mais je veux te demander ce qu'il en est du fait que ces derniers temps, on m'a demandé à plusieurs reprises de publier dans le 'FIGU-Zeitzeichen', en plus de l'épidémie de Corona, des articles qui traitent de la politique. Par exemple, en ce qui concerne la guerre en Ukraine, pourquoi elle a vraiment éclaté et quel en est le but effectif. Nous recevons également des courriels à ce sujet, notamment des questions du monde entier, comme par exemple celle qui nous est parvenue d'Italie : | Dann ist eben das Offen-darüber-zu-Reden für diesmal tabu. Reden wir also später wieder darüber, wenn ihr mehr wisst. Dann will ich dich aber fragen, was sein soll damit, dass ich in letzter Zeit mehrmals angefragt wurde, dass wir doch ausser der Corona-Seuche im ‹FIGU-Zeitzeichen› auch Berichte veröffentlichen sollten, die von der Politik handeln. Dies eben z.B. in bezug auf den Krieg in der Ukraine, warum dieser wirklich losgebrochen sei und was damit effectiv bezweckt werde. Auch E-Mails erreichen uns deswegen, wie u.a. Fragen aus aller Welt, wie z.B. folgende, die uns aus Italien erreichten: |
Question: Nous avons quelques questions que D. et moi aimerions poser à Billy, car nous ne comprenons pas certaines choses sur la guerre en Ukraine. Nos questions concernent le cas où un seul côté veut vraiment négocier la paix et l'autre côté ne veut que la guerre sans négociations. Ci-dessous, un extrait du 798e contact : |
Frague: Wir haben einige Fragen, die D. und ich Billy gerne stellen würden, weil wir einige Dinge über den Krieg in der Ukraine nicht verstehen. Unsere Fragen beziehen sich auf den Fall, dass nur eine Seite wirklich über den Frieden verhandeln will und die andere Seite nur den Krieg ohne Verhandlungen will. Nachfolgend ein Auszug aus dem 798. Kontakt: |
[...] Le président russe Poutine l'a déclenchée parce qu'il n'a pas su faire preuve de la patience dont il était chargé, et ce en toute connaissance de cause par le dirigeant sénile américain Biden, qui espérait que Poutine commettrait le crime de guerre en perdant justement patience, ce qui permettrait finalement à l'Amérique de continuer à se déployer massivement dans les pays de l'OTAN proches de la Russie.[...] | [...] Diesen hat der russische Präsident Putin losbrechen lassen, weil er nicht derart in Geduld zu verharren vermochte, wie diese auf ihn geladen wurde, und zwar wohlbewusst durch den senilen Staatsführer Biden der USA, der hoffte, dass Putin das Verbrechen des Krieges ausführe, und zwar indem er eben die Geduld verlieren werde, wodurch Amerika dann letztendlich das tun könne, nämlich sich weiter in den NATO-Staaten nahe an Russland massiv stationieren zu können. [...] |
Nous aimerions comprendre quelle patience la Russie (Poutine) aurait dû avoir pour éviter une guerre, et qu'aurait pu ou dû faire Poutine s'il avait été au courant des menaces d'attaques contre la Russie en provenance d'Ukraine, dont la frontière n'est qu'à 450 km de Moscou ? Qu'aurait pu faire la Russie pour rendre publics les agissements bellicistes de l'OTAN, pour informer les Occidentaux de la responsabilité de l'OTAN dans d'éventuels préparatifs de guerre, pour endiguer ou stopper ces plans de guerre de l'OTAN en sensibilisant l'opinion publique occidentale aux risques ?
Ces questions se rapportent également à un scénario similaire qui pourrait se produire dans un avenir proche avec l'adhésion de la Finlande et de la Suède à l'OTAN : Premièrement, que pourrait faire la Russie pour empêcher que des armes nucléaires et bactériologiques soient placées à ses frontières et, deuxièmement, que pourrait ou devrait faire Poutine pour éviter une guerre préventive ou défensive contre la Finlande et donc contre l'OTAN, afin d'éviter une situation similaire à celle de l'Ukraine ? Dans l'extrait cité, il est à nouveau dit dans cette phrase que cette guerre a été lancée par Poutine, mais nous savons que l'armée ukrainienne bombarde le Donbass depuis 2014 dans le but d'exterminer la population russophone. En fait, cette guerre, qui avait déjà fait au moins 15 000 morts avant l'intervention de la Russie, a été lancée par l'armée ukrainienne et menée ensuite par les séparatistes du Donbass. Avons-nous tort ? |
Wir würden gerne verstehen, wieviel Geduld Russland (Putin) hätte haben müssen, um einen Krieg zu vermeiden, und was hätte Putin tun können oder müssen, wenn er von drohenden Angriffen auf Russland aus der Ukraine gewusst hätte, deren Grenze nur 450 km von Moskau entfernt ist? Was hätte Russland tun können, um die kriegstreiberischen Machenschaften der NATO öffentlich zu machen, um die Menschen im Westen über die Verantwortung der NATO für mögliche Kriegsvorbereitungen zu informieren, um diese NATO-Kriegspläne einzudämmen oder zu stoppen, indem die westliche Öffentlichkeit für die Risiken sensibilisiert wird?
Diese Fragen beziehen sich auch auf ein ähnliches Szenario, dass in naher Zukunft mit dem Beitritt Finnlands und Schwedens zur NATO eintreten könnte: Was könnte Russland erstens tun, um zu verhindern, dass nukleare und bakteriologische Waffen an seinen Grenzen plaziert werden, und zweitens, was könnte oder sollte Putin tun, um einen Präventiv- oder Verteidigungskrieg gegen Finnland und damit gegen die NATO zu vermeiden, um eine ähnliche Situation wie in der Ukraine zu verhindern? In dem zitierten Auszug heisst es wiederum in diesem Satz, dass dieser Krieg von Putin begonnen wurde, aber wir wissen, dass die ukrainische Armee den Donbass seit 2014 mit dem Ziel bombardiert, die russischsprachige Bevölkerung zu vernichten. Tatsächlich wurde dieser Krieg, der vor dem Eingreifen Russlands bereits mindestens 15’000 Menschenleben gefordert hatte, von der ukrainischen Armee begonnen und anschliessend von den Separatisten im Donbass geführt. Sind wir im Unrecht? |
[...] Ce qui ne demande pas de longues réflexions et qui est clair, c'est que l'on ne doit jamais faire la guerre ni tuer. [...] | [...] Was aber kein langes Nachdenken in Anspruch nimmt und klar ist, das bezieht sich darauf, dass niemals Krieg geführt und gemordet werden soll.[...] |
Lorsque tu dis qu'il ne faut jamais faire la guerre ni commettre un meurtre, nous rappelons que même les lois de la Création prévoient la légitime défense. Cette guerre pourrait-elle être considérée comme de la légitime défense ou la légitime défense ne peut-elle être exercée qu'après une attaque ? Une attaque préventive ne peut-elle jamais être considérée comme de la légitime défense ? Ce point est important car il concerne la manière dont de nombreux conflits ont éclaté, éclatent et vont malheureusement éclater dans le monde.
Si un ou plusieurs États se préparent à t'envahir pour te détruire, que faut-il faire pour éviter un conflit lorsque toutes les voies diplomatiques ont été épuisées ou que seule une partie veut vraiment la paix alors que l'autre ne veut que la guerre ? Ou réagir plus tôt, de sorte qu'il ne reste alors comme seule défense qu'une guerre nucléaire ? Nous avons de gros doutes et nous te serions reconnaissants si tu pouvais nous les expliquer, car c'est très important pour nous et, nous le pensons, pour beaucoup de gens dans le monde. Si tu le juges opportun, tu pourrais également rendre publiques tes réponses à ces questions en les publiant dans l'un des documents régulièrement édités par la FIGU. Nous aimerions profiter de cette occasion pour te remercier encore une fois pour tout ce que tu fais et pour t'embrasser chaleureusement. E.Z. |
Wenn du sagst, dass man niemals einen Krieg führen und niemals einen Mord begehen sollte, dann erinnern wir daran, dass sogar die Gesetze der Schöpfung die Selbstverteidigung vorsehen. Könnte dieser Krieg als Selbstverteidigung angesehen werden oder kann Selbstverteidigung nur nach einem Angriff ausgeübt werden? Kann ein Präventivschlag niemals als Selbstverteidigung angesehen werden? Dieser Punkt ist wichtig, weil er die Art und Weise betrifft, in der viele Konflikte in der Welt ausgebrochen sind, ausbrechen und leider auch ausbrechen werden.
Wenn sich ein oder mehrere Staaten darauf vorbereiten, bei dir einzumarschieren, um dich zu vernichten, was sollte dann getan werden, um einen Konflikt zu verhindern, wenn alle diplomatischen Wege ausgeschöpft sind oder nur eine Seite wirklich Frieden will, während die andere nur Krieg will? Oder früher reagieren, so dass dann als einzige Verteidigung ein Atomkrieg übrigbleibt? Wir haben grosse Zweifel und wären dir dankbar, wenn du sie uns erklären könntest, denn es ist sehr wichtig für uns und, wie wir meinen, für viele Menschen in der Welt. Wenn du es für angebracht hältst, könntest du deine Antworten auf diese Fragen auch veröffentlichen, indem du sie in einem der regelmässig von der FIGU herausgegebenen Dokumente veröffentlichst. Wir möchten diese Gelegenheit noch einmal nutzen, um dir für alles, was du tust, zu danken und dich herzlich zu umarmen. E.Z. |
Ptaah: |
Ptaah: |
Ce sont des questions très préoccupantes, et je peux comprendre que les Terriens soient de plus en plus inquiets et ne sachent pas ce qu'il faut logiquement faire, en particulier en ce qui concerne les manœuvres politiques. Mais nous ne voulons pas nous immiscer dans ces dernières, et tu ne dois pas non plus le faire, comme tu l'as déjà fait depuis l'époque de mon père Sfath, mais seulement après avoir subi des dommages et des malheurs, comme je l'ai lu dans les annales de mon père. Mais si l'on te demande de publier des aspects et des articles politiques dans le Zeitzeichen, il n'y a rien à redire, dans la mesure où tu restes neutre et que tu ne fais aucun commentaire d'opinion. Malheureusement, cela reviendrait à répéter chez la plupart des Terriens ce que tu as déjà vécu à l'école avec l'enseignant Frei, qui t'a gravement maltraité et battu parce que tu lui avais suggéré d'inclure dans ses cours le fait que l'avenir de la Terre et de son humanité risquait d'être anéanti dans un avenir proche parce que tout était fait chimiquement et de manière insensée pour détruire la couche d'ozone. Ceci, tout comme le fait que le climat commence déjà à se renverser en raison d'une surpopulation déjà trop importante et de ses agissements déraisonnables, voire criminels et hostiles à la nature.
Tout cela aura pour conséquence que les plantes de toutes sortes se modifieront et que les plantes toxiques et comestibles pousseront les unes à côté des autres de telle sorte qu'il sera difficile, voire impossible, de les différencier. Cela concerne principalement les champignons, dont il existe plus de 7,6 millions de genres et d'espèces sur terre, qui sont en outre reliés entre eux par des kilomètres carrés dans le sol des forêts, etc. Tu voulais que ce que mon père Sfath t'a enseigné et qu'il a fait voir dans la nature et dans l'avenir, que l'enseignant Frei l'intègre dans son programme d'enseignement et le diffuse dans le monde. Tu voulais faire prendre conscience aux Terriens, comme le notait mon père dans ses Annales, que les hommes devaient apprendre et faire le nécessaire pour l'avenir de la Terre et de sa nature, ainsi que de la faune, de la flore et du climat, afin que le mal ne vienne pas, même si tu savais que tes efforts seraient inutiles. Comme l'a écrit Père, tu étais encore très enthousiaste à l'époque et tu pensais qu'en t'efforçant sérieusement de sensibiliser les gens, tu pourrais arrêter et changer le processus déjà en cours de surpopulation inexorablement croissante et les machinations destructrices qui en découlent inévitablement pour la planète, la nature, la faune, la flore et le climat. Tout cela partait d'une bonne intention de ta part, mais dans ton enthousiasme, tu n'as pas pensé que les Terriens ne t'écouteraient pas, surtout pas l'enseignant Frei, qui a considéré tout cela comme un mensonge, en conséquence de quoi il t'a puni pour ces prétendus mensonges. Comme Père l'a écrit dans ses annales, vous saviez tous les deux ce qui allait se passer, et tu l'as dit à l'enseignant Frei. Mais celui-ci ne l'a pas admis et t'a accusé de mentir, raison pour laquelle il t'a frappé avec un bâton d'épine noire devant toute la classe. Tu as alors décidé, comme l'a écrit mon père Sfath, que tu ne dirais plus jamais rien à d'autres personnes et que tu ne le ferais plus. Tu as également gardé le silence sur le fait que la couche d'ozone était tellement endommagée par les hommes que la vie sur terre était en danger. C'est pourquoi il t'a battu, bien que tu aies eu raison avec ta prédiction, que tu avais même rédigée pour lui et que tu lui avais remise. La majorité des hommes de la terre n'a pas changé d'attitude depuis cette époque et ne veut toujours pas savoir ce que l'avenir lui réserve vraiment comme menace. La majorité de l'humanité terrestre ne veut pas non plus entreprendre quelque chose contre les menaces de l'avenir qu'elle ne peut pas encore comprendre, parce qu'elle est incapable de penser et donc tellement stupide et incapable de réfléchir pour être suffisamment prévoyante. Cela concerne en particulier les dirigeants de tous les États, qui devraient être tenus responsables de ce qui se produira à l'avenir en raison de leur incapacité à prévoir. Nous, les Plejaren, ne comprenons pas que la majorité des habitants de la Terre soient encore incapables d'élire les bonnes personnes à la tête de leur État. Cela n'est pas possible parce que l'électorat est incapable de juger et d'élire, dans tous les domaines possibles et imaginables, les personnes qui se proclament chefs d'État, mais qui sont en réalité inaptes et donc absolument incapables d'exercer une fonction de chef d'État. |
Das sind Fragen grosser Besorgnis, und ich kann verstehen, dass die Erdenmenschen je länger, je mehr verunsichert sind und nicht wissen, was logischerweise zu tun ist, insbesondere nicht hinsichtlich der politischen Machenschaften. Speziell in diese wollen wir uns aber nicht einmischen, auch sollst du das nicht tun, wie du dich schon seit meines Vaters Sfath Zeiten daran gehalten hast, jedoch erst, als du Schaden und Weh erlitten hast, wie ich in den Annalen meines Vaters nachgelesen habe. Dass du aber angefragt wirst, ob du im Zeitzeichen auch politische Aspekte und Artikel veröffentlich kannst, so ist eigentlich dagegen nichts einzuwenden, insofern du durchwegs neutral bleibst und deinerseits keinerlei Meinungskommentare abgibst. Leider würde sonst beim Gros der Erdenmenschen das wiederholt, was du schon in der Schule bei Lehrer Frei erlebt hast, von dem du schwer misshandelt und verprügelt wurdest, weil du ihm den Vorschlag gemacht hast, er soll in den Unterricht einbeziehen, dass die Zukunft der Erde und deren Menschheit schon in naher Zeit dadurch zu Grunde zu gehen drohe, weil unsinnig chemisch alles dazu getan werde, dass die Ozonschicht kaputtgehe. Dies, wie auch, dass durch eine schon zu hohe Überbevölkerung und durch ihre sehr unvernünftigen und gar an der Natur verbrecherischen und lebensfeindlichen Machenschaften bereits das Klima umzustürzen beginne.
Dies alles werde ergeben, dass sich die Pflanzen aller Art verändern und gar Giftige und Essbare derart nebeneinander-wachsen werden, dass sie kaum oder überhaupt nicht mehr voneinander unterschieden werden können. Hauptsächlich beziehe sich das auf Pilze, die auf der Erde mehr als 7,6 Millionen Gattungen und Arten aufweisen würden, die zudem in den Wäldern im Boden quadratkilometerweise vernetzt seien usw. Du wolltest das, was mein Vater Sfath dich lehrte und auch in der Natur und in der Zukunft sehen liess, dass Lehrer Frei das in seinem Lehrplan aufnehmen und auch in der Welt verbreiten sollte. Du wolltest den Erdenmenschen bewusstmachen, wie mein Vater in seinen Annalen festhielt, dass die Menschen für die Zukunft der Erde und deren Natur sowie Fauna, Flora und das Klima das Notwendige erfahren und tun sollten, so das Übel nicht kommen würde, obwohl du wusstest, dass deine Bemühungen nutzlos sein würden. Du warst damals, wie Vater schrieb, noch sehr enthusiastisch und der Ansicht, dass du durch dein ernsthaftes Bemühen der Aufklärung den bereits laufenden Prozess der unaufhaltsam wachsenden Überbevölkerung und deren zwangsläufig daraus hervorgehenden zerstörerischen Machenschaften am Planeten, der Natur, wie an der Fauna und Flora und am Klima aufhalten und ändern könntest. Es war alles gut gemeint von dir, doch du hast in deinem Enthusiasmus nicht bedacht, dass die Erdenmenschen nicht auf dich hören werden, vor allem nicht Lehrer Frei, der alles als Lüge erachtete, folglich er dich für die vermeintlichen Lügen bestrafte. So wie Vater in seinen Annalen festhielt, wusstet ihr beide, was sich zukünftig ergeben wird, und das sagtest du Lehrer Frei. Der jedoch wollte dies nicht wahrhaben und bezichtigte dich der Lüge, weshalb er dich vor der versammelten Klasse mit dem Schwarzdornprügel traktierte. Da beschlossest du, so schrieb mein Vater Sfath, dass du niemals mehr zu anderen Menschen etwas darüber sagen würdest und es auch nicht mehr tun würdest. Dass die Ozonschicht derart durch die Menschen geschädigt werde, dass das Leben auf der Erde in Gefahr geraten werde, darüber schwiegst du fortan auch beharrlich. Das wurde ausserdem von deinem Lehrer als irre Phantasie und verlogene Meinungsäusserung deinerseits und als Lüge gewertet, die nicht verbreitet werden sollte, weshalb er dich verprügelte, obwohl du recht hattest mit deiner Voraussage, die du für ihn gar schriftlich verfasst und ihm ausgehändigt hattest. Das Gros der Erdenmenschen hat sich seit damals nicht in seiner Gesinnung geändert, und noch immer will es nicht wissen, was ihm die Zukunft wirklich drohend bringen wird. Auch will das Gros der Erdenmenschheit nicht etwas gegen Drohendes des Zukünftigen unternehmen, was es noch nicht verstehen kann, weil es unfähig in seinem Denken und also derart dumm und denkuntauglich ist, um voraussehend genug zu sein. Das betrifft besonders die Staatsführenden aller Staaten, die dafür verantwortlich zeichnen müssten, was sich durch ihr Unvermögen der Voraussicht in Zukunft ereignet. Dass das Gros der Erdenmenschen noch immer unfähig ist, die richtigen Personen an ihre Staatsführungen zu wählen, das ist uns Plejaren nicht verständlich. Dies zwar darum nicht, weil eine Wählerschaft zugelassen ist, die durchwegs unfähig zur Beurteilung sowie zur Wahl in jeder erdenklich notwendigen Beziehung jener Personen ist, die sich als Staatsführungskräfte proklamieren, die aber wahrheitlich eines Amtes der Staatsführung untauglich und also absolut unfähig sind. |
Billy: |
Billy: |
Pourquoi tu dis ça à cause de ma jeunesse, c'est déjà du passé. Ce que j'ai vécu, expérimenté et appris dans ma jeunesse n'est important que pour moi, c'est pourquoi je m'y tiens. Mais il n'est pas nécessaire de le mentionner explicitement, car cela fait déjà longtemps. Dans le cas de Frei, il s'agissait d'un homme autoritaire qui n'acceptait pas qu'on lui dise quoi que ce soit et qui ne se laissait pas enseigner. Sfath a également dit qu'il ne voulait rien avoir à faire avec ce type, c'est pourquoi il ne l'a pas mis en confiance, tout comme les professeurs Graf et Leemann. Celui qui disait quelque chose de contraire à l'opinion de Frei devait alors subir ses violentes crises de colère. Je le savais, c'était donc ma faute s'il me battait. C'était certes naïf de ma part, mais je voulais quand même essayer - c'est ce que je pensais encore à l'époque - car j'espérais que Frei, en tant que professeur, pourrait faire quelque chose s'il diffusait ce que je lui racontais. Mais il ne se laissait surtout pas instruire par un garçon comme moi, qu'il avait de toute façon sur le dos et qu'il aimerait bien battre à mort, car la saleté n'a pas sa place dans ce monde, comme il l'a dit un jour. Mais laissons cela, car le passé est le passé, et je me garderai bien de commettre à nouveau la même erreur que j'ai commise dans ma jeunesse, c'est-à-dire que je n'essaierai plus jamais de faire comprendre mon opinion à quelqu'un. Ce que je fais depuis lors, c'est ni plus ni moins que de dire ce qui est un fait de ce qui se passe, ce qui correspond donc à la réalité et à sa vérité, ou comment se comporte le fait correspondant. Ce que l'homme en fait ensuite, comment il perçoit tout et comment il agit ensuite, c'est sa seule décision et c'est son affaire. Et si je réponds aux questions de E. et D., je ne peux rien faire d'autre que de dire ce qui est justement un fait, et ce qu'ils veulent ensuite réfléchir et décider à partir de là, c'est uniquement leur choix. Il doit cependant être clair que tout ce que je dis ne reflète pas mon opinion, car celle-ci reste toujours neutre, c'est-à-dire que je ne représente pas une opinion, mais que je reflète simplement ce qui est un fait et qui correspond à la réalité et donc à sa vérité, sans que je me fasse une opinion à ce sujet et que je l'exprime. Donc, dans tous les cas, on ne parlera que de ce qui est effectivement un fait, sans y ajouter ne serait-ce qu'un iota d'opinion personnelle.
Donc: les faits sont les suivants - et tout ce que je vais dire n'a absolument rien à voir avec une opinion personnelle, mais ce sont uniquement des faits que je cite -Il est évident que Poutine a laissé la guerre éclater parce qu'il n'a pas su rester patient. Cela signifie simplement qu'il n'a pas pu faire preuve de patience, qu'il n'a pas pu supporter les agissements bellicistes du président américain sénile, Biden. Cela signifie que le président américain sénile - qui est secrètement dirigé par le gouvernement obscur américain - aurait finalement dû devenir raisonnable et mettre fin à ses diatribes puériles. Mais cela ne s'est pas produit, et Poutine a perdu patience et a commencé la guerre. C'est un fait, comme cela s'est effectivement passé ; mais toute guerre est toujours mauvaise et constitue en outre un crime irréparable, car la guerre signifie la mort, le meurtre, la destruction des acquis humains, ainsi que des destructions dans la nature et des dommages à la faune et à la flore, et donc à toute vie. Il était clair dès le début que tout était unilatéral en ce qui concerne le maintien de la paix, et que seul le côté russe, et donc Poutine, voulait maintenir la paix. Le président américain Biden, sénile et belliciste, s'est opposé à ces efforts et à son attente infructueuse - avec en arrière-plan le gouvernement obscur américain qui, depuis 1787, met en œuvre ses plans de domination mondiale -, ainsi que Selensky, le président de l'Ukraine. L'OTAN était et est toujours impliquée dans cette affaire, car Selensky veut que l'Ukraine devienne membre de cette organisation internationale meurtrière, fondée dans les années 1940 par Harry S. Truman en tant que membre secret du 'gouvernement des ténèbres d'Amérique' dans le but d'obtenir la domination mondiale de l'Amérique. Une chose dont l'ensemble du peuple américain n'est pas au courant et qui le mène depuis lors par le bout du nez. - Selensky, que j'ai reçu par lettre de la part des propres rangs du gouvernement et qui a été accusé d'être un NAZI, un traître à la nation et au peuple, qui fait tout pour que la guerre continue en mendiant des armes dans le monde entier, est froid et calculateur et sait exactement comment s'y prendre pour que les idiots du monde entier le croient. Tous les idiots des gouvernements du monde entier tendraient la main à ce NAZI-Selensky, comme il était surnommé dans la lettre, avec leurs livraisons d'armes irresponsables et feraient exactement ce qu'il veut. - Derrière tout cela se cache en outre le 'gouvernement des ténèbres de l'Amérique', qui existe depuis 1787 et dont l'ambition est la domination absolue du monde, ce qui permet déjà aux Etats-Unis de réaliser leur présence militaire dans de nombreux Etats du monde à cette fin. Ce qui se passe dans la guerre en Ukraine est dirigé par l'Amérique, qui joue secrètement en arrière-plan, par exemple de la manière suivante - sans tenir compte des financements officiels, etc. - : l'Amérique fait de l'espionnage du côté russe et cherche à savoir où se trouvent les états-majors russes, qui sont ensuite révélés aux Ukrainiens. J'ai moi-même pu observer avec Quetzal que les Américains fournissaient les données de coordination exactes des lieux aux stratèges ukrainiens, qui lançaient ensuite leurs attaques de missiles contre ces postes de commandement. L'Amérique participe donc à la guerre en Ukraine de cette manière et par d'autres moyens secrets, comme le font tous les pays, ou du moins leurs irresponsables, qui appliquent des sanctions partiales contre la Russie ou qui fournissent des armes à l'Ukraine. Tous ces pays participent de manière irresponsable à la guerre, de sorte qu'il ne s'agit plus d'une guerre entre la Russie et l'Ukraine, mais d'une guerre multinationale contre la Russie, qui est déjà proche d'une guerre mondiale, et ce sous le contrôle de l'Amérique, dans le but de mettre la Russie à terre et de l'intégrer dans la volonté de domination mondiale des Etats-Unis. La Russie n'a donc rien pu faire pour empêcher ce qui s'est passé et continue de se passer, car la propagande négative de l'Amérique contre la Russie est tellement ancrée dans l'esprit de la majorité de l'humanité terrestre depuis environ 235 ans que ces personnes ne sont orientées que vers cette fausse propagande de l'Amérique, par conséquent la réalité et sa vérité ne peuvent pas pénétrer. C'est ainsi que la haine et les sentiments de vengeance à l'égard de la Russie - attisés depuis 235 ans par l'Amérique parce qu'elle ne peut pas la réduire politiquement ni l'inclure dans ses ambitions de domination mondiale - pèsent si lourdement sur la majorité des peuples du monde que la réalité et sa vérité passent inaperçues. Ceci est particulièrement alimenté secrètement par le gouvernement des ténèbres, dont le peuple américain ne sait rien et qui dirige le gouvernement, qui fait exactement ce qui correspond au principe de son ambition, à savoir la domination mondiale. Depuis toujours, l'Amérique maintient ses mensonges et ses calomnies contre la Russie sous tension, tendus et implacablement ouverts vers le haut, afin de faire paraître cet immense pays aussi mauvais que possible, car il est inaccessible aux ambitions de domination mondiale de l'Amérique. La Russie ne peut rien faire contre cela, car la majeure partie de l'humanité terrestre est tellement anesthésiée et embrumée par les mensonges et les calomnies de l'Amérique contre la Russie que c'est à peine si un iota de vérité peut encore percer et transmettre la logique, l'intelligence et la raison à la majeure partie des terriens - tous précédés par ces gouvernants qui, dans leur incapacité et leur stupidité, s'alignent sur ce qu'on leur fait miroiter. Les mensonges et les calomnies de l'Amérique trouvent depuis toujours un écho auprès de la majorité stupide et donc non pensante de la population mondiale, qui se laisse mentir et aveugler par l'Amérique, et ce au grand dam de la Russie. On ne s'est jamais interrogé sur tout ce que l'Amérique a fait jusqu'à présent et continue de faire, elle qui, au nom de sa volonté de domination mondiale, fait marcher les peuples de la terre sur la corde raide, les agissements bellicistes des Etats-Unis étant garantis par l'OTAN. l'OTAN, dont l'Amérique est le chef de file. En plus de tous les gouvernements stupides qui ne voient pas clair dans le jeu de Selensky et lui fournissent des armes à tout va, les gouvernants fautifs de la planète ou des différents pays ne connaissent pas de limites. Le fait que la promesse orale de ne jamais élargir l'OTAN à l'Est au-delà de l'Allemagne contre la Russie n'ait pas été tenue - comme ce fut le cas de la promesse orale de l'Amérique et de l'Allemagne dans les années 1990 - a provoqué très tôt des divergences désagréables. Mais la Russie ne pouvait rien faire pour le bien de la paix, car les Etats-Unis continuaient à brandir le dangereux sceptre de la puissance nucléaire et menaçaient la Russie de raser tout le pays. La plupart des politiciens actuels des deux sexes, qui n'ont pas connu tous les maux de la dernière guerre mondiale et qui n'ont aucune idée de ce que sont les armes, les meurtres de masse et la torture, le viol et la destruction ainsi que d'autres maux de la guerre et de ce qu'est la guerre en général, et qui sont inexpérimentés comme des bébés, n'en ont pas moins une grande gueule et ne savent absolument pas de quoi il s'agit réellement. Il est vrai que le monde occidental ne peut pas être sensibilisé à la guerre, parce que ce monde occidental est dépendant de l'Amérique et qu'il est en outre extrêmement croyant en l'Amérique. La plupart des peuples américanophiles - qui sont depuis toujours accaparés par l'Amérique à travers la haine et les discours de vengeance contre la Russie - sont pratiquement sous le marteau de l'Amérique, le peuple américain étant trompé jusqu'au bout et ne sachant pas que le gouvernement américain s'efforce par tous les moyens vulgaires de réduire la Russie en bouillie - selon la volonté du gouvernement secret des ténèbres - afin de l'affaiblir politiquement de telle sorte qu'elle puisse être incorporée à la volonté de domination mondiale des États-Unis. Mais je ne suis pas le seul à le savoir, car il y a d'autres personnes qui ont besoin de leur cerveau pour penser et qui ne sont donc pas stupides, comme le prouvent les articles de journaux suivants, que je me permets de citer et que je veux te lire et que j'ai l'intention d'ajouter plus tard à cette conversation. C'est ainsi que Barbara, puis Achim, m'ont envoyé ce qui suit avec un lien : Ex-conseiller de l'OTAN : L'ancien officier de renseignement suisse et conseiller de l'OTAN Jacques Baud évoque les racines de la guerre entre l'Ukraine et la Russie et ses dangers croissants. Alors que la guerre entre la Russie et l'Ukraine entre dans une nouvelle phase, l'ancien officier de renseignement suisse, haut responsable des Nations unies et conseiller de l'OTAN Jacques Baud analyse le conflit et estime que les Etats-Unis et leurs alliés se servent de l'Ukraine dans une campagne de longue haleine pour saigner à blanc leur voisin russe. Traduction : AARON MATÉ : Bienvenue sur Pushback. Je suis Aaron Maté. Je suis accompagné de Jacques Baud. Il a occupé un certain nombre de postes de sécurité et de conseil de haut niveau à l'OTAN, à l'ONU et dans l'armée suisse. Il est également un ancien officier de renseignement stratégique du Service de renseignement stratégique suisse. Jacques, merci de vous joindre à moi. JACQUES BAUD : Je vous remercie de votre invitation. AARON MATÉ : Tout d'abord, j'aimerais que vous nous en disiez plus sur votre parcours et sur la manière dont il a influencé votre vision de la crise en Ukraine. JACQUES BAUD : Eh bien, comme vous venez de le dire, je suis un officier de renseignement stratégique. Avant, j'étais responsable des forces stratégiques du Pacte de Varsovie... c'était pendant la Guerre froide, mais j'ai quand même une bonne vue d'ensemble de ce qui se passe en Europe de l'Est. Avant, je savais aussi parler et lire le russe, ce qui me permettait d'avoir accès à certains documents. Et récemment, j'ai été détaché auprès de l'OTAN en tant que chef de la lutte contre la prolifération des armes légères. Et à ce titre, j'ai participé à plusieurs projets de l'OTAN en Ukraine à partir de 2014. Je connais donc assez bien le contexte. J'ai également surveillé l'afflux potentiel d'armes légères dans le Donbas en 2014. Donc quand les forces armées ukrainiennes ont commencé à avoir des problèmes de personnel, de suicide et toutes ces choses qui sont apparues en 2014, ainsi que des problèmes de recrutement de soldats, on m'a demandé de participer à plusieurs projets du côté de l'OTAN pour restaurer les forces armées ukrainiennes. Voilà donc, en résumé, mon parcours dans ce domaine. AARON MATÉ : Vous avez rédigé un long article, que je mettrai en lien dans les notes de ce billet, dans lequel vous exposez les causes du conflit ukrainien sur trois grands plans. Il y a le niveau stratégique, l'élargissement de l'OTAN ; le niveau politique, que vous appelez le refus de l'Occident de mettre en œuvre les accords de Minsk ; et le niveau opérationnel, les attaques continues et répétées contre la population civile du Donbass ces dernières années et l'augmentation dramatique fin février 2022. Je voudrais vous demander de commencer par là. Parlez de ce que vous appelez l'augmentation dramatique des attaques contre la population civile du Donbass en février, c'est-à-dire à l'époque qui a conduit à l'invasion russe, et de la manière dont cette escalade des attaques a contribué, comme vous le dites, à cette guerre, à cette invasion russe. JACQUES BAUD : Eh bien, je pense que nous devons comprendre, comme vous le savez, que la guerre n'a pas commencé le 24 février de cette année. Elle a commencé dès 2014, mais je pense que les Russes ont toujours espéré que ce conflit pourrait être résolu au niveau politique ; je veux parler des accords de Minsk et de tout cela. Ce n'est donc pas ce qui s'est passé depuis 2014 qui a motivé la décision de lancer une offensive dans le Donbass. Il y a eu un déclencheur, et le déclencheur, ce sont deux choses ; je veux dire que c'est venu en deux temps, si vous voulez. La première est la décision et la loi adoptée par [Volodymyr] Zelensky en mars 2021 - c'est-à-dire l'année dernière - de reprendre la Crimée par la force, et c'est ainsi qu'a commencé le déploiement des forces blindées russes - pas des forces blindées russes, mais des forces blindées ukrainiennes - dans les parties méridionales du pays. Je pense que les Russes étaient parfaitement conscients de ce déploiement. Ils savaient qu'une opération allait être lancée contre les républiques du Donbass, mais ils ne savaient pas quand, et bien sûr, ils ne faisaient qu'observer, et c'est alors que le véritable déclencheur est arrivé. Vous vous souvenez peut-être que - je crois que c'était le 16 février - Joe Biden a déclaré lors d'une conférence de presse qu'il savait que les Russes allaient attaquer. Et comment l'aurait-il su ? Parce que j'ai encore quelques contacts, et personne ne pensait vraiment que les Russes - avant fin janvier, début février - je pense que personne ne pensait que les Russes allaient attaquer l'Ukraine. Il a donc dû y avoir quelque chose qui a attiré l'attention de Biden sur le fait que les Russes allaient attaquer. Et ce quelque chose est en fait l'intensification des tirs d'artillerie sur le Donbass à partir du 16 février, et cette augmentation des tirs a effectivement été observée par la mission d'observation [des frontières] de l'OSCE [Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe], et elle a enregistré cette augmentation de la violation, et c'est une violation massive. Je veux dire, nous parlons de quelque chose qui est environ 30 fois plus élevé qu'avant, parce que ces huit dernières années, il y a eu beaucoup de violations de part et d'autre, d'ailleurs. Mais le 16 février, il y a eu tout à coup une augmentation massive des violations du côté ukrainien. Pour les Russes, et en particulier pour Vladimir Poutine, c'était le signe que l'opération - l'opération ukrainienne - allait bientôt commencer. Et puis tout a commencé ; je veux dire que tous les événements sont arrivés très vite. C'est-à-dire que si nous regardons les chiffres, vous pouvez voir qu'il y a eu, comme je l'ai dit, une augmentation massive du 16 au 17 février, puis cela a atteint une sorte de maximum le 18 février, et cela a continué. Et le parlement russe, la Douma, était également conscient de cette possible offensive et a adopté une résolution demandant à Vladimir Poutine de reconnaître l'indépendance des deux républiques autoproclamées du Donbass. Et c'est exactement ce que Poutine a décidé de faire le 21 février. Et juste après l'adoption des décrets, de la loi reconnaissant l'indépendance des deux républiques, Vladimir Poutine a signé un accord d'amitié et d'assistance avec ces deux républiques. Pourquoi a-t-il fait cela ? Pour que les républiques puissent demander une aide militaire en cas d'attaque. Et c'est pourquoi, le 24 février, lorsqu'il a décidé de lancer l'offensive, Vladimir Poutine a pu invoquer l'article 51 de la Charte des Nations unies, qui prévoit un soutien en cas d'attaque. AARON MATÉ : Comme vous l'avez remarqué, l'OSCE a documenté une forte augmentation des violations du cessez-le-feu et des tirs d'artillerie du côté tenu par les rebelles. Mais pensez-vous, sur la base de ce que vous avez observé lors du positionnement des troupes ukrainiennes, que le risque d'une invasion imminente ou d'une attaque par les forces armées ukrainiennes était réel ? Pouvez-vous en juger sur la base du positionnement des troupes de l'autre côté de la ligne de front ? JACQUES BAUD : Oui. Tout à fait. Je veux dire, nous avions des rapports, et ces rapports étaient disponibles depuis quelques mois. Depuis l'année dernière, nous savions que les Ukrainiens renforçaient leurs forces dans le sud du pays, non pas sur la frontière orientale avec la Russie, mais sur la ligne de contact avec le Donbas. Et en effet, comme nous l'avons vu depuis le 24 février, les Russes n'avaient presque pas de résistance au début de l'offensive, surtout au nord. Et donc ils ont pu, ce qu'ils ont fait depuis, encercler les forces ukrainiennes au sud, dans la partie sud-est du pays - c'est-à-dire entre les deux républiques du Donbass et la partie continentale de l'Ukraine, si vous voulez. Et c'est précisément là que se trouve aujourd'hui la majeure partie des forces armées ukrainiennes. Et selon la... c'est exactement la doctrine russe pour combattre, je veux dire la doctrine opérationnelle. Leur offensive principale a clairement eu lieu dans le sud, car l'objectif déclaré par Vladimir Poutine - nous pourrons probablement revenir sur ces détails plus tard - était la démilitarisation et la dénazification. Ces deux objectifs devaient être réalisés ou atteints dans le sud du pays, et c'est là que les principaux efforts de l'offensive ont été déployés. L'offensive contre Kiev est ce que l'on appelle un effort secondaire, qui avait essentiellement deux fonctions. Premièrement, il s'agissait de faire pression sur les dirigeants politiques de Kiev, car l'objectif est d'amener les Ukrainiens à négocier. C'était le premier objectif de cet effort secondaire. Le deuxième objectif de ce deuxième effort était de lier ou de clouer au sol le reste des forces blindées ukrainiennes afin qu'elles ne puissent pas renforcer les forces principales dans le Donbass. Et cela a plutôt bien fonctionné. Cela signifie que les Russes ont pu, comme je l'ai dit, encercler les forces principales, la plus grande partie des forces - les forces ukrainiennes. Une fois qu'ils y sont parvenus, ils pourraient retirer certaines troupes de Kiev, et c'est exactement ce qu'ils ont fait depuis la fin mars. Ils ont retiré plusieurs unités pour renforcer ce qu'ils veulent ; je veux dire leurs propres forces, pour continuer le combat principal dans le Donbass. Ils ont donc retiré ces troupes de la région de Kiev, et ces troupes vont maintenant aider à flanquer l'avant-garde, l'offensive contre les forces principales dans le Donbass. Et c'est ce que certains appellent la "mère de toutes les batailles" qui se déroule actuellement dans le Donbass, où - personne ne connaît le nombre exact de troupes ukrainiennes ; les estimations varient entre soixante mille et quatre-vingt mille qui sont encerclées - et les forces sont divisées en plus petits chaudrons et ensuite détruites ou neutralisées. AARON MATÉ : Pour moi, il est assez clair que le gouvernement Zelensky n'était pas intéressé par une diplomatie sérieuse sur toutes les questions critiques qui auraient pu empêcher une guerre, et je pense que le facteur principal est ce que je suppose être une pression des États-Unis en coulisses, ce que nous ne pouvons pas prouver complètement maintenant. Mais je peux imaginer que des preuves pourraient apparaître plus tard. Et bien sûr, l'hostilité ouverte de l'extrême droite ukrainienne, qui a menacé Zelensky de mort s'il faisait la paix avec la Russie. Ces menaces l'ont poursuivi tout au long de sa présidence et ont persisté jusqu'à la veille de l'invasion, ce qui a conduit des gens comme son plus haut responsable de la sécurité à dire fin janvier que la mise en œuvre des accords de Minsk conduirait à la destruction de l'Ukraine - après que Zelensky a été élu sur la base de la mise en œuvre des accords de Minsk - et cela a continué jusqu'aux discussions finales sur la mise en œuvre des accords de Minsk, qui ont été facilitées par l'Allemagne et la France. Lors de ces discussions en février, le gouvernement Zelensky a soudainement refusé de parler, ne serait-ce qu'avec les représentants des rebelles, ce qui aurait rendu un accord possible. Et entre-temps, il y a eu des développements comme celui-ci, dont nous venons d'apprendre l'existence par le Wall Street Journal, à savoir que le 19 février, le chancelier allemand [Olaf] Scholz a déclaré à Zelensky que, je cite, "l'Ukraine devrait renoncer à ses ambitions pour l'OTAN et déclarer sa neutralité dans le cadre d'un pacte de sécurité européen plus large entre l'Occident et la Russie". Et ce pacte proposé par Scholz devait être signé par Biden et Poutine, mais Zelensky s'y est opposé - il l'a rejeté en bloc. Mais ma question est la suivante : parce que je pense qu'il est assez concluant que le côté Zelensky-Ukraine a saboté la diplomatie, mais qu'en est-il de la Russie ? Pensez-vous que la Russie a épuisé toutes ses possibilités diplomatiques pour éviter une guerre ? Pourquoi ne s'est-elle pas adressée à l'ONU, par exemple, pour demander une force de paix dans le Donbass ? Et deuxièmement, si l'objectif est de protéger les habitants du Donbass, pourquoi envahir bien au-delà du Donbass et ne pas simplement y aller ? JACQUES BAUD : Eh bien, je pense que les Russes ont complètement perdu confiance en l'Occident. Je pense que c'est la raison principale. Ils n'ont plus confiance en l'Occident, et c'est pourquoi je pense qu'ils ont maintenant besoin d'une victoire totale sur le plan militaire pour gagner quelque chose dans les négociations. Je pense que Zelensky... Je ne suis pas sûr qu'il soit si réticent à faire la paix. Je ne pense pas qu'il puisse le faire. Je pense qu'il a été pris dès le départ entre son... rappelez-vous qu'il a été élu avec l'idée d'obtenir la paix dans le Donbas. C'était son objectif, c'était son programme en tant que président. Mais je pense que l'Occident - et je dirais les Américains et les Britanniques - ne voulaient pas de cette paix. Et bien sûr, les Allemands et les Français, qui étaient les garants des accords de Minsk pour la partie ukrainienne, n'ont jamais vraiment rempli leur mission. Je veux dire qu'ils n'ont jamais rempli leur mission, c'est clair. Et surtout la France, qui est en même temps membre du Conseil de sécurité. Car je vous rappelle que les accords de Minsk faisaient aussi partie d'une résolution du Conseil de sécurité. Cela veut dire qu'ils ont été signés non seulement par les différentes parties à Minsk, mais aussi par les membres du Conseil de sécurité qui étaient responsables de la mise en œuvre de l'accord, et personne ne voulait que cet accord soit conclu. Cela signifie donc que beaucoup de pressions ont été exercées sur Zelensky, au point qu'il ne voulait même pas parler aux représentants des deux républiques sécessionnistes. Et après, d'ailleurs, nous avons vu qu'il y avait plusieurs signes qui montraient que Zelensky n'avait pas ou n'avait pas complètement le contrôle de ce qui se passait en Ukraine. Je pense que l'extrême, disons l'extrême droite nationaliste - je ne sais pas exactement quel est le terme exact parce que c'est un mélange de tout - mais ces forces l'ont définitivement empêché, ou l'ont empêché jusqu'à présent, de faire quelque chose. Et nous pouvons également voir qu'il oscille entre les deux en ce qui concerne la paix. Vous vous souvenez peut-être que fin février, lorsque Zelensky a laissé entendre qu'il pourrait être prêt à négocier, ces négociations devaient avoir lieu en Biélorussie. Dans les heures qui ont suivi la décision de Zelensky, l'Union européenne est arrivée avec une décision prévoyant un demi-milliard d'armes pour l'Ukraine, ce qui signifie que les Américains, certainement, mais je pense que l'Occident dans son ensemble, ont fait tous les efforts possibles pour empêcher une solution politique au conflit, et je pense que les Russes en sont conscients. Nous devons également comprendre que les Russes ont une compréhension différente de la manière de mener une guerre contre les puissances occidentales, en particulier les États-Unis. Cela signifie qu'en Occident, nous avons tendance à dire que lorsque nous négocions, nous négocions jusqu'à un certain point, puis les négociations s'arrêtent et nous commençons une guerre. Et c'est la guerre, point. Avec les Russes, c'est différent. On commence une guerre, mais on ne quitte jamais la voie diplomatique, on continue dans les deux sens. On exerce une pression mentale et on essaie d'atteindre un objectif, y compris par des moyens diplomatiques. C'est tout à fait dans l'esprit de Clausewitz - le [général prussien et théoricien militaire Carl von] Clausewitz définissait, comme chacun sait, la guerre comme la poursuite de la politique par d'autres moyens. C'est exactement ce que pensent les Russes. C'est pourquoi ils ont commencé à négocier tout au long de l'offensive, et même dès le début de l'offensive, ou ont signalé qu'ils étaient prêts à le faire. Les Russes veulent donc bien négocier, mais ils ne font pas confiance aux pays occidentaux - je veux dire à l'Occident dans son ensemble - pour faciliter ces négociations. Et c'est la raison pour laquelle ils ne sont pas entrés au Conseil de sécurité. D'ailleurs, ils le savent probablement, parce que comme vous le savez, cette guerre physique que nous vivons actuellement fait partie d'une guerre plus large qui a commencé il y a des années contre la Russie, et je pense que l'Ukraine n'est en fait que... Je veux dire que personne ne s'intéresse à l'Ukraine, je pense. Le but est d'affaiblir la Russie, et une fois que cela sera fait avec la Russie, ils feront la même chose avec la Chine, et vous pouvez déjà le voir. Je veux dire, nous avons vu que la crise ukrainienne a éclipsé tout le reste, mais un scénario similaire pourrait aussi se produire avec Taïwan par exemple. Les Chinois en sont donc conscients. C'est la raison pour laquelle ils ne veulent pas abandonner, disons, leurs relations avec la Russie. Le mot d'ordre est d'affaiblir la Russie, et vous savez qu'il y a plusieurs études de la Rand Corporation sur l'expansion de la Russie, la surexpansion de la Russie, et ainsi de suite, et tout le scénario est... AARON MATÉ : Juste pour expliquer cela à ceux qui ne sont pas familiers avec cela : Rand est un think tank dans le genre du Pentagone, et ils ont mené une étude en 2019 dans laquelle ils ont examiné toutes les différentes façons dont les États-Unis pourraient être dépassés et déstabiliser la Russie, et l'option phare était d'envoyer des armes en Ukraine pour alimenter un conflit qui pourrait impliquer la Russie, ce qui est exactement ce qui s'est passé. [Note : Contra24 en a parlé] JACQUES BAUD : Tout à fait. Et je pense que c'est un plan complet pour affaiblir la Russie, et c'est exactement ce que nous pouvons observer en ce moment. Nous aurions pu le prévoir, et je pense que Poutine l'a prévu. Et je pense qu'il a compris que fin février, je veux dire le 24 février, ou disons juste avant parce qu'il devait prendre la décision avant, mais dans les jours qui ont précédé la décision de l'offensive, il a compris qu'il ne pouvait pas ne rien faire. Il devait faire quelque chose. L'opinion publique russe n'aurait jamais compris pourquoi la Russie devait se contenter de regarder les républiques du Donbass être envahies ou détruites par l'Ukraine. Personne n'aurait donc compris cela. Il a donc été obligé de démarrer. Et puis, je pense... et c'est ce qu'il a dit le 24 février, il a dit que quoi qu'il fasse, le niveau des sanctions qu'il recevrait serait le même. Donc au fond, il savait que la moindre intervention dans le Donbass déclencherait une introduction massive de sanctions, donc il le savait. Il a donc décidé : "D'accord, alors je dois choisir l'option maximale", car une option aurait été de simplement renforcer, de ne pas s'attaquer aux républiques et de ne défendre que les républiques situées sur la ligne de contact. Mais il a choisi l'option majeure, à savoir détruire les forces qui menacent le Donbass. Et ce sont les deux objectifs que nous voyons là-bas. La démilitarisation, qui n'est pas la démilitarisation complète de toute l'Ukraine, mais la suppression de la menace militaire dans le Donbass ; c'est l'objectif principal. Il y a beaucoup de malentendus sur ce qu'il a dit, et bien sûr il n'a pas été très clair, mais cela fait partie de la façon russe de communiquer et de faire les choses. Ils veulent garder toutes les options ouvertes, et c'est la raison pour laquelle ils ne disent que le strict nécessaire. Et c'est exactement ce que Poutine a voulu dire le 21 lorsqu'il a parlé de la suppression de la menace militaire sur le Donbass. La dénazification n'avait rien à voir avec l'assassinat de Zelensky ou la destruction des dirigeants de Kiev. Ce n'était certainement pas l'idée, et en fait, comme je l'ai dit, la principale façon dont ils conçoivent la guerre est une combinaison d'action physique et d'action diplomatique. Cela signifie donc que dans une telle approche, il faut garder le commandement pour pouvoir négocier, et c'est pourquoi il n'y avait aucun moyen de tuer ou d'anéantir les dirigeants de Kiev. La dénazification ne concernait donc pas fondamentalement les 2,5 pour cent de l'extrême droite à Kiev. Il s'agissait des 100 pour cent des gens d'Azov à Marioupol et à Kharkov, et ainsi de suite. Nous avons donc tendance à faire des malentendus, parce que certaines personnes ont dit : "Bon, mais pourquoi dénazifier ? Parce qu'il n'y a que 2,5 % de partis de droite, seulement 2,5 % ou quelque chose comme ça, donc ça ne veut rien dire. Alors, pourquoi dénazifier ? Ça n'a aucun sens'. Mais ce n'était pas de cela qu'il s'agissait. Il s'agissait définitivement des groupes qui ont été recrutés par les Ukrainiens depuis 2014 pour, disons, je dirais, pacifier ou contrôler. Je ne sais pas exactement quel est le mot exact, mais pour se battre dans le Donbass. Ces gens étaient des extrémistes, des fanatiques, et ces gens étaient dangereux. AARON MATÉ : Et l'un des points que vous soulevez dans votre article et que je ne connaissais pas, c'est qu'une partie de la raison pour laquelle l'Ukraine avait ce besoin de milices, de milices d'extrême droite et de mercenaires étrangers, c'est le taux élevé de défection dans ses propres rangs militaires, le fait que les gens ne voulaient pas servir et sont même passés de l'autre côté de la rébellion dans le Donbass. JACQUES BAUD : Exactement. Comme je vous l'ai dit, j'ai observé au sein de l'OTAN l'afflux d'armes dans le Donbass, et nous n'avons pas pu constater d'importations ou d'exportations d'armes du côté russe vers le Donbass. Ce que nous avons pu constater, en revanche, c'est que de nombreuses unités ukrainiennes ont fait défection et ont repris des bataillons entiers. Et en 2014, la majeure partie de l'artillerie lourde reçue par le Donbass provenait de défections. Des unités entières ont fait défection, avec leurs munitions, leurs hommes, etc. La raison en est que l'armée ukrainienne était dotée et organisée d'une manière territoriale... d'une manière territoriale. Cela signifie qu'il y avait beaucoup de russophones dans les forces armées. Lorsqu'ils ont été envoyés dans le Donbass, ils ne voulaient même pas se battre contre leurs propres collègues et les russophones, alors ils ont préféré faire défection. A cela s'ajoute le fait que la gestion de l'armée ukrainienne en 2014, je veux dire de 2014 à 2017, était extrêmement mauvaise. Il y avait beaucoup de corruption. Je ne suis pas sûr que l'armée était réellement préparée à une telle guerre, car la guerre menée à l'époque par les rebelles ressemblait beaucoup à ce que l'on peut observer aujourd'hui au Proche-Orient ou ces dernières années. Cela a eu pour conséquence que des unités très mobiles pouvaient se déplacer très rapidement, bien plus rapidement que les unités lourdes de l'armée ukrainienne. Si nous regardons le schéma des différentes batailles qui se sont déroulées en 2014 et 2015, nous pouvons constater que les Ukrainiens n'ont jamais pu prendre l'initiative. Ils n'ont jamais eu l'initiative. L'initiative est toujours revenue aux rebelles. Et ce n'était pas une guérilla. C'est important de le dire. Il s'agissait d'une guerre extrêmement mobile. A cela s'ajoutait le fait que l'armée en général n'était pas vraiment préparée au combat. Il y avait donc beaucoup de suicides, beaucoup de problèmes d'alcool, beaucoup d'accidents, beaucoup d'assassinats au sein de l'armée ukrainienne. Et cela a fait que beaucoup de jeunes Ukrainiens ont quitté le pays parce qu'ils ne voulaient pas s'engager dans l'armée. Et ce que je veux dire, c'est que cela a été enregistré et rapporté dans des rapports officiels au Royaume-Uni et aux États-Unis, je crois. Il y a eu des rapports très intéressants sur le faible taux de recrutement des individus, parce que les gens ne voulaient tout simplement pas s'engager dans l'armée. C'est la raison pour laquelle l'OTAN s'est engagée, et j'ai participé à un programme de ce type, dans lequel on essayait de transformer l'image de l'armée et de trouver des solutions pour améliorer les conditions de recrutement dans l'armée et des choses comme ça. Mais les solutions proposées par l'OTAN étaient en fait des solutions institutionnelles qui prenaient du temps, et pour compenser le manque de personnel et avoir probablement un personnel militaire plus agressif, ils ont commencé à utiliser des internationalistes et des mercenaires, pour être précis. Personne ne sait exactement combien il y a de ces paramilitaires ou de ces milices d'extrême droite. Reuters avance le chiffre de cent mille. Je ne peux pas le vérifier, mais ce chiffre a été donné par Reuters. Et cela semble correspondre à ce que nous pouvons maintenant observer dans les différentes régions du pays. Ces paramilitaires ont donc joué un rôle important, non pas dans la guerre mobile, et je dirais même pas dans la guerre de terrain normale, mais ils ont été utilisés pour maintenir l'ordre dans les villes. Et c'est exactement ce que nous avons aujourd'hui, par exemple à Marioupol, où nous avions ces gens, parce qu'ils ne sont pas équipés pour des opérations de terrain. Ils sont équipés pour la guerre dans les villes. Ils ont un équipement léger, ils ont quelques véhicules blindés, mais ils n'ont pas vraiment de chars ou quoi que ce soit de ce genre. Il s'agit donc définitivement d'unités conçues pour la guerre dans les villes. C'est ce qu'ils font dans les grandes villes. Et ces gens sont extrêmement fanatiques, on peut le dire, et ils sont extrêmement dangereux. Et ça explique la façon dont Marioupol, les batailles et les combats extrêmement violents que vous avez à Marioupol comme exemple, et nous verrons probablement la même chose à Kharkov, par exemple. AARON MATÉ : Pour terminer, je voudrais vous interroger sur certaines des atrocités récentes dont nous avons parlé. Il y a eu des rapports sur des tueries massives de civils par la Russie dans la ville de Boukha, et aussi des tueries par les forces ukrainiennes, et puis il y a eu l'attaque de la gare de Kramatorsk. Je me demande si vous avez évalué ces deux incidents et ce que vous en pensez. JACQUES BAUD : Eh bien, il y a deux choses. Premièrement, les indices que nous avons sur ces deux incidents me laissent penser que les Russes n'en sont pas responsables. Mais en réalité, nous ne le savons pas. Je pense que c'est ce que nous devons dire. Je veux dire que si nous sommes honnêtes, nous ne savons pas ce qui s'est passé. Les indices que nous avons, tout, tous les éléments que nous avons, vont plutôt dans le sens d'une responsabilité ukrainienne, mais nous ne le savons pas. Ce qui m'inquiète dans toute cette affaire, ce n'est pas tant que nous ne sachions pas, parce que dans une guerre, il y a toujours des situations comme ça où on ne sait pas vraiment qui est vraiment responsable. Ce qui m'inquiète, c'est que les politiciens occidentaux ont commencé à prendre des décisions sans savoir ce qui se passe et ce qui s'est passé. Et c'est quelque chose qui m'inquiète profondément, c'est qu'avant même d'avoir le moindre résultat d'une enquête, d'une investigation, et je parle d'une enquête internationale et impartiale, nous imposons déjà des sanctions et nous prenons des décisions, et je pense que cela montre à quel point l'ensemble du processus décisionnel en Occident a été perverti. Depuis février, ou même avant, parce qu'après le détournement - ou d'ailleurs pas le détournement, ce n'était pas un détournement - mais l'incident en Biélorussie avec ce vol Ryanair, nous avons eu une situation similaire. Vous vous souvenez peut-être qu'en mai dernier, les gens ont commencé à réagir quelques minutes seulement après que la presse ait rapporté l'incident, alors qu'ils ne savaient pas ce qui se passait ! C'est donc ainsi que procèdent les dirigeants politiques en Europe, je veux dire dans l'Union européenne, mais aussi dans les pays européens. Cela m'inquiète en tant qu'agent de renseignement. Comment peut-on prendre une décision ayant un tel impact sur la population ou sur des pays entiers, et qui perturbe même notre propre économie ? Cela a donc tendance à se retourner contre nous. Mais nous prenons des décisions sans même savoir ce qui se passe, et cela dénote à mon avis un leadership extrêmement immature que nous avons en Occident en général. C'est certainement le cas aux États-Unis, mais je pense que l'exemple de la crise ukrainienne montre que le leadership européen n'est pas meilleur que celui des États-Unis. Je pense même qu'elle est parfois pire. Donc c'est ça qui devrait nous inquiéter, c'est qu'il y a des gens qui décident sur la base de rien, et c'est extrêmement dangereux. AARON MATÉ : Jacques Baud est un ancien officier de renseignement stratégique du Service de renseignement stratégique suisse, qui a également occupé un certain nombre de postes de sécurité et de conseil de haut niveau au sein de l'OTAN, de l'ONU et de l'armée suisse. Jacques, merci beaucoup pour votre temps et votre perspicacité. JACQUES BAUD : Je vous remercie pour tout. Je vous remercie. SOURCE : US, EU SACRIFIANT L'UKRAINE POUR 'AFFAIBLIR LA RUSSIE' : FMR. ADVISEUR DE L'OTAN TRADUCTION : CONTRA24 Source : https://uncutnews.ch/ex-nato-berater-usa-und-eu-opfern-die-ukraine-um-russland-zu-schwaechen/ |
Warum sagst du das wegen meiner Jugend, das ist doch schon alles längst vorbei. Was ich in meiner Jugend schon erlebt, erfahren und daraus gelernt habe, das ist wohl nur für mich wichtig, so besonders darum, dass ich mich dranhalte. Das muss aber nicht explizit noch erwähnt werden, denn es ist schon lange her seit damals. Bei Frei ging es ja darum – der ein rabiater Besserwisser war, der sich überhaupt nichts sagen liess und unbelehrbar war –, dass er selbstherrlich und ein Mensch war, der sich nichts sagen liess. Auch Sfath sagte ja, dass er mit diesem Typen nichts zu tun haben will, darum zog er ihn ja auch nicht ins Vertrauen, wie eben gegenteilig die Lehrer Graf und Leemann. Wer eben etwas gegen die Meinung von Frei sagte, der musste dann seine gewalttätigen Wutausbrüche über sich ergehen lassen. Das wusste ich ja, also war ich auch selbst schuld, dass er mich verprügelte. Es war zwar naiv von mir, doch wollte ich es eben trotzdem versuchen – so dachte ich damals noch –, denn ich hoffte, dass Frei als Lehrer etwas bewirken könnte, wenn er das verbreiten würde, was ich ihm erzählte. Er liess sich aber schon gar nicht belehren von einem Jungen wie mir, den er sowieso auf dem Kieker hatte und am liebsten totschlagen würde, denn Dreck gehöre nicht auf die Welt, wie er einmal sagte. Aber lassen wird das, denn vorbei ist vorbei, und ich werde mich hüten, nochmals den gleichen Fehler zu begehen, den ich damals in meiner Jugend gemacht habe, folglich ich niemals mehr versuchen werde, einem Menschen meine Meinung klarzumachen. Was ich seither tue, ist nicht mehr und nicht weniger als nur das, dass ich das sage, was Fakt von dem ist, was gerade anfällt, was also der Wirklichkeit und deren Wahrheit entspricht resp. wie sich der diesbezügliche Fakt verhält. Was dann der Mensch daraus macht, wie er alles auffasst und wie er dann handelt, das ist seine Entscheidung allein und eben sein Bier. Und wenn ich nun die Fragen von E. und D. beantworte, dann kann ich nichts anderes tun, als das zu sagen, was eben Fakt ist, und was sie davon dann durchdenken und daraus entscheiden wollen, das ist allein ihre Sache. Klar muss jedoch sein dabei, dass mit all dem was ich sage, nicht meine Meinung wiedergegeben wird, denn diese bleibt allzeitlich neutral, folglich ich also keine Meinung vertrete, sondern einfach das wiedergebe, was Fakt ist und der Wirklichkeit und also deren Wahrheit entspricht, ohne dass ich mir eine Meinung darüber bilden und eine äussern würde. Also wird in jedem Fall immer nur das zur Sprache gebracht werden, was effectiver Fakt ist, ohne auch nur ein Jota einer eigenen Meinung dazuzutun.
Also: Die Fakten sind diese – und alles was ich nun sage, hat von A bis Z rein nichts mit einer eigenen Meinung zu tun, sondern es sind einzig Fakten, die ich nenne –, dass Putin den Krieg hat losbrechen lassen, weil er nicht in Geduld zu verharren vermochte. Das bedeutet einfach, dass er nicht die Geduld aufbringen konnte, dass er das kriegshetzerische Getue des senilen Präsidenten der USA, Biden, durchzustehen vermochte. Das bedeutet, dass der senile US-Präsident – der geheimerweise von der US-Dunkelregierung gelenkt wird – endlich doch noch vernünftig geworden wäre und seine kindischen Hetzreden hätte beenden müssen. Dies geschah jedoch nicht, folglich Putin die Geduld verlor und den Krieg begann. Das ist Fakt, wie es sich tatsächlich zugetragen hat; doch jeder Krieg ist immer falsch und zudem ein nie wiedergutzumachendes Verbrechen, denn Krieg bedeutet Tod, Mord, Verderben und Zerstörung menschlicher Errungenschaften, zudem Vernichtungen in der Natur sowie der Schädigung der Fauna und Flora und somit allen Lebens überhaupt. Dass alles einseitig war in bezug auf Friedenseinhaltung, das war von allem Anfang an klar, und zwar wollte nur russlandseits und somit Putin den Frieden erhalten. Gegen diese Bemühungen und sein ergebnisloses Abwarten stand der senile kriegshetzerische USA-Präsident Biden – in seinem geheimen Hintergrund jedoch die US-Dunkelregierung, die schon seit dem Jahr 1787 ihre weltherrschaftssüchtigen Pläne durchzieht –, zusammen mit Selensky, dem Präsidenten der Ukraine. Beim Ganzen war und ist die NATO noch im Spiel, denn Selensky will, dass die Ukraine Mitglied dieser internationalen Mörderorganisation werden soll, die Harry S Truman in den 1940er Jahren als geheimes Mitglied der ‹Dunkelregierung Amerikas› zum Zweck der Erlangung der Weltherrschaft Amerikas gegründet hat. Etwas, wovon das gesamte amerikanische Volk nichts weiss und seither an der Nase herumgeführt wird. – Selensky, der aus den eigenen Reihen der Regierung bei mir per Brief als NAZI, Landes- und Volksverräter bezichtigt wurde, der alles dazu tue, um den Krieg fortzuführen, indem er weltweit um Waffen bettle, sei eiskalt und berechnend und wisse genau, wie er es anstellen müsse, dass die Dummen der Welt ihm Glauben schenken würden. Alle Dummen der Regierungen rund um die Welt würden diesem NAZI-Selensky, wie er im Brief betitelt wurde, mit ihren verantwortungslosen Waffenlieferungen die Hand reichen und genau das tun, was er will. – Hinter allem steht zudem die ‹Dunkelregierung Amerikas›, die seit 1787 besteht und deren Bestreben die absolute Weltherrschaft ist, so können die USA bereits in vielen Staaten der Erde zu diesem Zweck ihre Militärpräsenz verwirklichen. Was sich nun im Krieg in der Ukraine abspielt, ist gesteuert von Amerika, das geheimerweise im Hintergrund mitspielt, wie z.B. in der Weise – wobei also die offiziellen Geldgebungen usw. nicht beachtetet werden –, dass Amerika auf der russischen Seite Spionage betreibt und eben auskundschaftet, wo die russischen Generalstabsorte sich befinden, die dann an die Ukrainer verraten werden. Selbst habe ich mit Quetzal beobachten können, dass die Amerikaner die genauen Koordinationsdaten der Orte den ukrainischen Strategen lieferten, die dann ihre Raketenangriffe gegen diese Kommandostationen starteten. Also betreibt Amerika auf diese und andere geheime Weise den Krieg in der Ukraine mit, wie das alle jene Länder resp. zumindest deren Verantwortungslose auch tun, die parteiisch Sanktionen gegen Russland ausüben oder die Waffen an die Ukraine liefern. Alle diese mischeln verantwortungslos im Krieg mit, folglich es nicht mehr ein Krieg zwischen Russland und der Ukraine ist, sondern ein Vielländerkrieg gegen Russland, wobei alles schon jetzt nahe an einen Weltkrieg kommt, und zwar gesteuert von Amerika aus, zum Zwecke dessen, Russland zu Boden zu zwingen und in die Weltherrschaftssucht der USA einverleiben zu können. Russland konnte nichts tun, um also das zu verhindern, was geschehen ist und weiterhin geschieht, denn die Amerika-Negativ-Propaganda gegen Russland ist seit rund 235 Jahren derart verwirrend in den Köpfen des Gros der irdischen Menschheit verankert, dass diese Menschen nur auf diese Falschpropaganda Amerikas ausgerichtet sind, folglich die Wirklichkeit und deren Wahrheit nicht durchzudringen vermag. So wiegen der Hass und die Rachegefühle gegen Russland – seit rund 235 Jahren geschürt durch Amerika, weil es Russland nicht politisch kleinkriegen und nicht in seine Weltherrschaftsallüren miteinbeziehen kann – weltweit im Gros der Völker derart krass, dass die Wirklichkeit und deren Wahrheit untergehen. Dies besonders geheimerweise geschürt durch die Dunkel-Regierung, von der das amerikanische Volk nichts weiss und die ausserdem die Regierung steuert, die genau das tut, was dem Grundsatz ihres Bestrebens entspricht, nämlich die Weltherrschaft zu erlangen. Amerika hält seine Lügen und Verleumdungen gegen Russland seit alters her unverändert gespannt, straffgezogen und unnachgiebig offen nach oben, um dieses riesige Land so schlecht wie nur möglich erscheinen zu lassen, weil es für Amerikas Weltherrschaftsbestrebungen unzugänglich ist. Dagegen kann Russland nichts tun, denn das Gros der Erdenmenschheit ist von den Lügen und Verleumdungen Amerikas gegen Russland derart betäubt und umnebelt, dass kaum noch ein Jota der Wahrheit durchdringen und dem Gros der Erdlinge Logik, Verstand und Vernunft vermitteln kann –, wobei allen voraus jene Regierenden stehen, die sich in ihrer Unfähigkeit und Dummheit nach dem ausrichten, was ihnen vorgegaukelt wird. Die Lügen und Verleumdungen Amerikas finden seit alters her Anklang bei dem dummen und also nichtdenkenden Gros der Weltbevölkerung, das sich durch Amerika belügen und blenden lässt, und zwar zum Leidwesen Russlands. Dabei wurde und wird nie hinterfragt, was Amerika bisher alles getan hat und weiterhin tut, das um der Weltherrschaftssucht willen die Völker der Erde am Narrenseil gängelt, wobei die kriegstreiberischen Machenschaften der USA abgesichert werden durch die NATO, in der allen voran ja Amerika steht. Nebst allen Dummen jener Regierungen, die Selensky nicht durchschauen und ihm noch und nöcher Waffen liefern, kennen die fehlbaren Regierenden der Erde resp. der einzelnen Länder keine Grenzen. Dass schon das mündliche Versprechen gebrochen wurde, dass niemals eine Osterweiterung über Deutschland hinaus durch die NATO gegen Russland erfolge – wie eben der Bruch des mündlichen Versprechens Amerikas und Deutschlands in den 1990er Jahren –, löste schon früh unerfreuliche Differenzen aus. Doch Russland konnte, um des Friedens willen, nichts dagegen tun, weil die USA wie eh und je das gefährliche Atommacht-Zepter schwangen und Russland drohten, das ganze Land dem Erdboden gleichzumachen. Das Gros der heutigen Politiker beiderlei Geschlechts, das all das Übel des letzten Weltkrieges nicht erlebt und keine Ahnung von Tuten und Blasen von Waffen, Massenmord und Folter, wie auch nicht von Vergewaltigung und Zerstörung sowie von anderen Kriegsübeln und davon hat, was Krieg überhaupt ist und unerfahren wie ein Baby ist, führt nichtsdestotrotz ein grosses Mundwerk und weiss überhaupt nicht, worum es eigentlich geht. Wahrlich, die westliche Welt kann nicht gegen den Krieg sensibilisiert werden, weil diese Westwelt von Amerika abhängig und zudem in höchstem Grad amerikagläubig ist. Das Gros der amerikafreundlichen Völker – die seit alters her von Amerika durch Hass und Rachetiraden gegen Russland vereinnahmt werden –, steht praktisch unter dem Hammer Amerikas, wobei das amerikanische Volk nach Strich und Faden betrogen wird und nichts davon weiss, dass die USA-Regierung mit allen gemeinen Mitteln bestrebt ist, einzig Russland zur Sau zu machen – nach dem Willen der geheimen Dunkel-Regierung –, um es politisch derart zu schwächen, dass es der USA-Weltherrschaftssucht einverleibt werden kann. Das aber weiss nicht nur ich allein, denn es gibt noch andere Menschen, die ihr Gehirn zum Denken brauchen und also nicht dumm und dämlich sind, wie nachfolgende Zeitungsartikel beweisen, die ich mir erlaube, noch zu nennen und die ich dir vorlesen will und sie später auch diesem Gespräch noch anzufügen gedenke. So hat mir Barbara und dann auch Achim folgendes mit einem Link zugeschickt: Ex-NATO-Berater: Der ehemalige Schweizer Geheimdienstoffizier und NATO-Berater Jacques Baud über die Wurzeln des Krieges zwischen der Ukraine und Russland und seine wachsenden Gefahren. Während der Krieg zwischen Russland und der Ukraine in eine neue Phase eintritt, analysiert der ehemalige Schweizer Geheimdienstoffizier, hochrangige Vertreter der Vereinten Nationen und NATO-Berater Jacques Baud den Konflikt und vertritt die Auffassung, dass die USA und ihre Verbündeten die Ukraine in einer langjährigen Kampagne ausnutzen, um ihren russischen Nachbarn ausbluten zu lassen. Übersetzung: AARON MATÉ: Willkommen bei Pushback. Ich bin Aaron Maté. Bei mir ist Jacques Baud. Er war in einer Reihe von hochrangigen Sicherheits- und Beratungspositionen bei der NATO, der UNO und beim Schweizer Militär tätig. Er ist außerdem ehemaliger strategischer Nachrichtenoffizier des Schweizerischen Strategischen Nachrichtendienstes. Jacques, vielen Dank, dass Sie sich mir anschließen. JACQUES BAUD: Ich danke Ihnen für die Einladung. AARON MATÉ: Zunächst möchte ich Sie bitten, mehr über Ihren Hintergrund zu erzählen und darüber, wie dieser Ihren Einblick in die Krise in der Ukraine beeinflusst hat. JACQUES BAUD: Nun, wie Sie gerade sagten, bin ich ein strategischer Nachrichtenoffizier. Ich war früher für die strategischen Streitkräfte des Warschauer Paktes zuständig… das war während des Kalten Krieges, aber trotzdem habe ich einen guten Überblick über die Geschehnisse in Osteuropa. Ich konnte früher auch Russisch sprechen und lesen, so dass ich Zugang zu einigen Dokumenten hatte. Und vor kurzem war ich zur NATO als Leiter des Kampfes gegen die Verbreitung von Kleinwaffen abgeordnet worden. Und in dieser Funktion war ich ab 2014 an mehreren Projekten der NATO in der Ukraine beteiligt. Ich kenne also den Kontext recht gut. Ich habe auch den möglichen Zustrom von Kleinwaffen in den Donbas im Jahr 2014 überwacht. Als die ukrainischen Streitkräfte also Probleme mit Personalfragen, Selbstmord und all diesen Dingen bekamen, die 2014 auftraten, sowie Probleme bei der Rekrutierung von Soldaten, wurde ich gebeten, auf Seiten der NATO an mehreren Projekten zur Wiederherstellung der ukrainischen Streitkräfte teilzunehmen. Das ist also, kurz gefasst, mein Hintergrund in diesem Bereich. AARON MATÉ: Sie haben einen längeren Artikel verfasst, den ich in den Notizen zu diesem Beitrag verlinken werde, in dem Sie die Ursachen des Ukraine-Konflikts in drei großen Bereichen darlegen. Es gibt die strategische Ebene, die Erweiterung der NATO; die politische Ebene, die Sie als die Weigerung des Westens bezeichnen, die Minsker Vereinbarungen umzusetzen; und die operative Ebene, die kontinuierlichen und wiederholten Angriffe auf die Zivilbevölkerung des Donbass in den letzten Jahren und die dramatische Zunahme Ende Februar 2022. Ich möchte Sie bitten, hier anzusetzen. Sprechen Sie über die, wie Sie es nennen, dramatische Zunahme der Angriffe auf die Zivilbevölkerung im Donbass im Februar, also in der Zeit, die zur russischen Invasion führte, und darüber, wie diese Eskalation der Angriffe, wie Sie sagen, zu diesem Krieg, dieser russischen Invasion, beigetragen hat. JACQUES BAUD: Nun, ich denke, wir müssen verstehen, wie Sie wissen, dass der Krieg nicht am 24. Februar dieses Jahres begonnen hat. Er begann bereits im Jahr 2014. Aber ich denke, dass die Russen immer gehofft haben, dass dieser Konflikt auf politischer Ebene gelöst werden könnte; ich meine die Minsker Vereinbarungen und all das. Der Grund für die Entscheidung, eine Offensive im Donbass zu starten, war also nicht das, was seit 2014 passiert ist. Es gab einen Auslöser dafür, und der Auslöser sind zwei Dinge; ich meine, es kam in zwei Phasen, wenn Sie so wollen. Die erste ist die Entscheidung und das von [Wolodymyr] Zelensky im März 2021 – also im letzten Jahr – verabschiedete Gesetz zur gewaltsamen Rückeroberung der Krim, und damit begann der Aufmarsch der russischen Panzertruppen – nicht der russischen, sondern der ukrainischen Panzertruppen – in den südlichen Teilen des Landes. Ich glaube, die Russen waren sich dieses Aufmarsches durchaus bewusst. Sie wussten, dass eine Operation gegen die Donbass-Republiken eingeleitet werden sollte, aber sie wussten nicht, wann, und natürlich haben sie das nur beobachtet, und dann kam der eigentliche Auslöser. Sie erinnern sich vielleicht, dass – ich glaube, es war am 16. Februar – Joe Biden auf einer Pressekonferenz sagte, er wisse, dass die Russen angreifen würden. Und woher sollte er das wissen? Weil ich noch einige Kontakte habe, und niemand dachte wirklich, dass die Russen – vor Ende Januar, Anfang Februar – ich glaube, niemand dachte, dass die Russen die Ukraine angreifen würden. Es muss also etwas gegeben haben, das Biden darauf aufmerksam machte, dass die Russen angreifen würden. Und dieses Etwas ist in der Tat die Intensivierung des Artilleriebeschusses des Donbass ab dem 16. Februar, und diese Zunahme des Beschusses wurde tatsächlich von der [Grenz-]Beobachtermission der OSZE [Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa] beobachtet, und sie verzeichnete diese Zunahme der Verletzung, und es ist eine massive Verletzung. Ich meine, wir sprechen hier von etwas, das etwa 30-mal so hoch ist wie früher, denn in den letzten acht Jahren gab es eine Menge Verstöße von beiden Seiten, nebenbei bemerkt. Aber am 16. Februar gab es plötzlich einen massiven Anstieg der Verletzungen auf ukrainischer Seite. Für die Russen, insbesondere für Wladimir Putin, war das das Zeichen, dass die Operation – die ukrainische Operation – bald beginnen würde. Und dann ging alles los; ich meine, alle Ereignisse kamen sehr schnell. Das heißt, wenn wir uns die Zahlen ansehen, können Sie sehen, dass es, wie ich schon sagte, einen massiven Anstieg vom 16. bis 17. Februar gab, und dann erreichte es eine Art Maximum am 18. Februar, und das ging weiter. Und auch das russische Parlament, die Duma, war sich dieser möglichen Offensive bewusst und verabschiedete eine Resolution, in der Wladimir Putin aufgefordert wurde, die Unabhängigkeit der beiden selbsternannten Republiken im Donbass anzuerkennen. Und genau das hat Putin am 21. Februar beschlossen zu tun. Und gleich nach der Verabschiedung der Dekrete, des Gesetzes zur Anerkennung der Unabhängigkeit der beiden Republiken, unterzeichnete Wladimir Putin ein Freundschafts- und Beistandsabkommen mit diesen beiden Republiken. Warum hat er das getan? Damit die Republiken im Falle eines Angriffs um militärische Hilfe bitten können. Und deshalb konnte sich Wladimir Putin am 24. Februar, als er beschloss, die Offensive zu starten, auf Artikel 51 der UN-Charta berufen, der Unterstützung im Falle eines Angriffs vorsieht. AARON MATÉ: Wie Sie bemerkten, dokumentierte die OSZE eine starke Zunahme von Waffenstillstandsverletzungen und Artilleriebeschuss auf der von den Rebellen gehaltenen Seite. Aber glauben Sie, basierend auf dem, was Sie bei der Positionierung der ukrainischen Truppen beobachtet haben, dass die Gefahr einer bevorstehenden Invasion oder eines Angriffs durch die ukrainischen Streitkräfte real war? Können Sie das anhand der Positionierung der Truppen auf der anderen Seite der Frontlinie beurteilen? JACQUES BAUD: Ja. Ganz genau. Ich meine, wir hatten Berichte, und diese Berichte waren in den letzten paar Monaten verfügbar. Seit letztem Jahr wussten wir, dass die Ukrainer ihre Kräfte im Süden des Landes verstärken, nicht an der Ostgrenze zu Russland, sondern an der Kontaktlinie zum Donbas. Und tatsächlich, wie wir seit dem 24. Februar gesehen haben, hatten die Russen zu Beginn der Offensive fast keinen Widerstand, vor allem im Norden. Und so konnten sie, was sie seitdem getan haben, die ukrainischen Streitkräfte im Süden, im südöstlichen Teil des Landes einkesseln – das heißt zwischen den beiden Donbass-Republiken und dem ukrainischen Festland, wenn Sie so wollen. Und genau dort befindet sich heute der Großteil der ukrainischen Streitkräfte. Und laut der… das ist genau die russische Doktrin, um zu kämpfen, ich meine die operative Doktrin. Ihre Hauptoffensive fand eindeutig im Süden statt, denn das von Wladimir Putin erklärte Ziel – auf diese Einzelheiten können wir wahrscheinlich später zurückkommen – war die Entmilitarisierung und Entnazifizierung. Beide Ziele sollten im Süden des Landes verwirklicht oder erreicht werden, und dort wurden die Hauptanstrengungen der Offensive unternommen. Die Offensive gegen Kiew ist eine so genannte sekundäre Anstrengung, die im Wesentlichen zwei Funktionen hatte. Erstens sollte Druck auf die politische Führung in Kiew ausgeübt werden, denn das Ziel ist es, die Ukrainer zu Verhandlungen zu bewegen. Das war das erste Ziel dieser zweiten Anstrengung. Das zweite Ziel dieses zweiten Einsatzes bestand darin, die restlichen ukrainischen Panzertruppen zu binden oder festzunageln, damit sie die Hauptstreitkräfte im Donbass nicht verstärken konnten. Und das hat ganz gut funktioniert. Das bedeutet, dass die Russen, wie gesagt, die Hauptstreitkräfte, den größten Teil der Streitkräfte – die ukrainischen Streitkräfte – umzingeln konnten. Sobald sie das erreicht haben, könnten sie einige Truppen aus Kiew abziehen, und genau das haben sie seit Ende März getan. Sie haben mehrere Einheiten abgezogen, um das zu verstärken, was sie wollen; ich meine ihre eigenen Kräfte, um den Hauptkampf im Donbass fortzusetzen. Sie haben also diese Truppen aus dem Raum Kiew abgezogen, und diese Truppen werden nun helfen, die Vorhut, die Offensive gegen die Hauptkräfte im Donbass zu flankieren. Und das ist es, was einige als die „Mutter aller Schlachten“ bezeichnen, die derzeit im Donbass stattfindet, wo man – niemand kennt die genaue Zahl der ukrainischen Truppen; die Schätzungen schwanken zwischen sechzigtausend und achtzigtausend, die umzingelt sind – und die Kräfte in kleinere Kessel zerteilt und dann zerstört oder neutralisiert werden. AARON MATÉ: Für mich ist ziemlich klar, dass die Regierung Zelensky kein Interesse an ernsthafter Diplomatie in all den kritischen Fragen hatte, die einen Krieg hätten verhindern können, und ich denke, der Hauptfaktor ist, was ich als Druck der USA hinter den Kulissen annehme, was wir jetzt nicht vollständig beweisen können. Aber ich kann mir vorstellen, dass Beweise dafür später auftauchen könnten. Und natürlich die offene Feindseligkeit der ukrainischen extremen Rechten, die Zelensky mit dem Tode bedrohten, falls er Frieden mit Russland schließen würde. Diese Drohungen verfolgten ihn während seiner gesamten Präsidentschaft und hielten bis zum Vorabend der Invasion an, was dazu führte, dass Leute wie sein oberster Sicherheitsbeamter Ende Januar sagten, dass die Umsetzung der Minsker Vereinbarungen zur Zerstörung der Ukraine führen würde – nachdem Zelensky auf der Grundlage der Umsetzung der Minsker Vereinbarungen gewählt worden war -, und das setzte sich bis zu den abschließenden Gesprächen über die Umsetzung der Minsker Vereinbarungen fort, die von Deutschland und Frankreich vermittelt worden waren. Bei diesen Gesprächen im Februar weigerte sich die Regierung Zelensky plötzlich, auch nur mit den Vertretern der Rebellen zu sprechen, was eine Einigung möglich machen würde. Und in der Zwischenzeit gab es Entwicklungen wie diese, von der wir gerade aus dem Wall Street Journal erfahren haben, nämlich dass der deutsche Bundeskanzler [Olaf] Scholz am 19. Februar gegenüber Zelensky erklärte, dass, Zitat, „die Ukraine auf ihre NATO-Ambitionen verzichten und ihre Neutralität als Teil eines umfassenderen europäischen Sicherheitspakts zwischen dem Westen und Russland erklären sollte.“ Und dieser Pakt, den Scholz vorschlug, sollte von Biden und Putin unterzeichnet werden, aber Zelensky lehnte dies ab – er lehnte es rundheraus ab. Aber meine Frage ist, weil ich es für ziemlich schlüssig halte, dass die Zelensky-Ukraine-Seite die Diplomatie sabotiert hat, aber was ist mit Russland? Glauben Sie, dass Russland alle seine diplomatischen Möglichkeiten ausgeschöpft hat, um einen Krieg zu vermeiden? Warum hat es sich zum Beispiel nicht an die UNO gewandt und um eine Friedenstruppe im Donbass gebeten? Und zweitens: Wenn das Ziel darin besteht, die Menschen im Donbass zu schützen, warum sollte man dann weit über den Donbass hinaus einmarschieren und nicht einfach dorthin gehen? JACQUES BAUD: Nun, ich denke, die Russen haben das Vertrauen in den Westen völlig verloren. Ich denke, das ist der Hauptgrund. Sie vertrauen dem Westen nicht mehr, und deshalb glaube ich, dass sie jetzt auf einen totalen Sieg auf der militärischen Seite angewiesen sind, um bei den Verhandlungen etwas zu gewinnen. Ich denke, dass Zelensky… Ich bin mir nicht sicher, ob er so abgeneigt ist, Frieden zu schließen. Ich glaube, er kann es nicht tun. Ich glaube, er war von Anfang an gefangen zwischen seinem… man bedenke, dass er mit der Idee gewählt wurde, Frieden im Donbas zu erreichen. Das war sein Ziel, das war sein Programm als Präsident. Aber ich glaube, der Westen – und ich würde sagen, die Amerikaner und die Briten – wollten diesen Frieden nicht. Und natürlich haben die Deutschen und die Franzosen, die für die ukrainische Seite die Garanten des Minsker Abkommens waren, ihre Aufgabe nie wirklich erfüllt. Ich meine, sie haben ihre Aufgabe nie erfüllt, ganz klar. Und vor allem Frankreich, das gleichzeitig Mitglied des Sicherheitsrates ist. Denn ich möchte Sie daran erinnern, dass die Minsker Vereinbarungen auch Teil einer Resolution des Sicherheitsrates waren. Das bedeutet, dass sie nicht nur von den verschiedenen Parteien in Minsk unterzeichnet wurden, sondern auch von den Mitgliedern des Sicherheitsrates, die für die Umsetzung des Abkommens verantwortlich waren, und niemand wollte, dass dieses Abkommen geschlossen wird. Das bedeutet also, dass auf Zelensky viel Druck ausgeübt wurde, so dass er nicht einmal mit den Vertretern der beiden abtrünnigen Republiken sprechen wollte. Und danach haben wir übrigens gesehen, dass es mehrere Anzeichen dafür gibt, dass Zelensky die Geschehnisse in der Ukraine nicht vollständig unter Kontrolle hatte oder hat. Ich denke, die extreme, sagen wir mal, nationalistische extreme Rechte – ich weiß nicht genau, was der richtige Begriff ist, weil es eine Mischung aus allem ist -, aber diese Kräfte haben ihn definitiv daran gehindert, oder haben ihn bisher daran gehindert, etwas zu tun. Und wir können auch sehen, dass er in Bezug auf den Frieden hin und her schwankt. Sie erinnern sich vielleicht daran, dass Ende Februar, als Zelensky angedeutet hat, dass er zu Verhandlungen bereit sein könnte, diese Verhandlungen in Belarus stattfinden sollten. Innerhalb weniger Stunden, nachdem Zelensky diese Entscheidung getroffen hatte, kam die Europäische Union mit einem Beschluss, der eine halbe Milliarde Waffen für die Ukraine vorsah, was bedeutet, dass die Amerikaner, sicherlich, aber ich denke, der Westen als Ganzes, alle möglichen Anstrengungen unternommen haben, um eine politische Lösung des Konflikts zu verhindern, und ich denke, die Russen sind sich dessen bewusst. Wir müssen auch verstehen, dass die Russen ein anderes Verständnis davon haben, wie man einen Krieg gegen die westlichen Mächte, insbesondere die USA, führt. Das bedeutet, dass wir im Westen dazu neigen, wenn wir verhandeln, dann verhandeln wir bis zu einem bestimmten Punkt und dann hören die Verhandlungen auf und wir beginnen einen Krieg. Und das ist Krieg, Punkt. Bei den Russen ist das anders. Man fängt einen Krieg an, aber man verlässt nie den diplomatischen Weg, sondern geht in beide Richtungen weiter. Man übt mentalen Druck aus und versucht, ein Ziel zu erreichen, auch mit diplomatischen Mitteln. Das ist ganz im Sinne von Clausewitz – der [preußische General und Militärtheoretiker Carl von] Clausewitz definierte bekanntlich den Krieg als die Fortsetzung der Politik mit anderen Mitteln. Genau so sehen das auch die Russen. Deshalb haben sie während der gesamten Offensive, ja sogar schon zu Beginn der Offensive, begonnen zu verhandeln, oder sie haben ihre Bereitschaft dazu signalisiert. Die Russen wollen also durchaus verhandeln, aber sie trauen den westlichen Ländern – ich meine dem Westen insgesamt – nicht zu, diese Verhandlungen zu erleichtern. Und das ist der Grund, warum sie nicht in den Sicherheitsrat gekommen sind. Übrigens wissen sie das wahrscheinlich, denn wie Sie wissen, ist dieser physische Krieg, den wir jetzt erleben, Teil eines umfassenderen Krieges, der vor Jahren gegen Russland begonnen wurde, und ich denke, die Ukraine ist eigentlich nur… Ich meine, niemand ist an der Ukraine interessiert, denke ich. Das Ziel ist es, Russland zu schwächen, und sobald das mit Russland geschehen ist, werden sie das Gleiche mit China tun, und Sie können das bereits sehen. Ich meine, wir haben gesehen, dass die Ukraine-Krise alles andere in den Schatten gestellt hat, aber ein ähnliches Szenario könnte sich zum Beispiel auch mit Taiwan abspielen. Die Chinesen sind sich dessen also bewusst. Das ist der Grund, warum sie ihre, sagen wir mal, Beziehungen zu Russland nicht aufgeben wollen. Die Devise lautet, Russland zu schwächen, und Sie wissen, dass es mehrere Studien der Rand Corporation über die Ausweitung Russlands, die Überdehnung Russlands und so weiter gibt, und das ganze Szenario ist… AARON MATÉ: Nur um das für diejenigen zu erklären, die damit nicht vertraut sind: Rand ist eine Denkfabrik in der Art des Pentagons, und sie haben 2019 eine Studie durchgeführt, in der sie alle verschiedenen Möglichkeiten untersuchten, wie die USA sich überfordern und Russland aus dem Gleichgewicht bringen könnten, und die Top-Option war, Waffen in die Ukraine zu schicken, um dort einen Konflikt anzuheizen, der Russland hineinziehen könnte, was genau das ist, was passiert ist. [Anm.: Contra24 berichtete darüber] JACQUES BAUD: Auf jeden Fall. Und ich denke, dass dies ein kompletter Plan ist, um Russland zu schwächen, und genau das ist es, was wir im Moment beobachten können. Wir hätten das voraussehen können, und ich glaube, Putin hat das vorausgesehen. Und ich glaube, er hat verstanden, dass er Ende Februar, ich meine, am 24. Februar, oder sagen wir kurz vorher, weil er die Entscheidung vorher treffen musste, aber in den Tagen vor der Entscheidung über die Offensive, verstanden hat, dass er nicht nichts tun kann. Er musste etwas tun. Die russische Öffentlichkeit hätte nie verstanden, warum Russland einfach zusehen sollte, wie die Donbass-Republiken von der Ukraine überfallen oder zerstört werden. Das hätte also niemand verstanden. Also war er gezwungen zu starten. Und dann, denke ich… und das ist es, was er am 24. Februar sagte, er sagte, egal was er tun würde, die Höhe der Sanktionen, die er erhalten würde, wäre die gleiche. Im Grunde wusste er also, dass die geringste Intervention im Donbass eine massive Einleitung von Sanktionen auslösen würde, das wusste er also. Also entschied er: „Okay, dann muss ich die maximale Option wählen“, denn eine Option wäre gewesen, einfach zu verstärken, sich nicht mit den Republiken anzulegen und nur die Republiken an der Kontaktlinie zu verteidigen. Aber er hat sich für die größere Option entschieden, nämlich die Kräfte zu vernichten, die den Donbass bedrohen. Und das sind die beiden Ziele, die wir dort sehen. Die Entmilitarisierung, die nicht die vollständige Entmilitarisierung der gesamten Ukraine ist, sondern die Unterdrückung der militärischen Bedrohung im Donbass; das ist das Hauptziel. Es gibt viele Missverständnisse über das, was er gesagt hat, und natürlich war er nicht sehr klar, aber das ist Teil der russischen Art, zu kommunizieren und Dinge zu tun. Sie wollen sich alle Optionen offen halten, und das ist der Grund, warum sie nur das Nötigste sagen. Und genau das hat Putin am 21. gemeint, als er von der Unterdrückung der militärischen Bedrohung des Donbass sprach. Die Entnazifizierung hatte nichts mit der Tötung von Zelensky oder der Zerstörung der Führung in Kiew zu tun. Das war definitiv nicht die Idee, und in der Tat, wie ich schon sagte, ist die wichtigste Art und Weise, wie sie den Krieg konzipieren, eine Kombination aus physischer Aktion und diplomatischer Aktion. Das bedeutet also, dass man bei einer solchen Vorgehensweise die Führung behalten muss, um verhandeln zu können, und deshalb gab es keine Möglichkeit, die Führung in Kiew zu töten oder zu vernichten. Bei der Entnazifizierung ging es also im Grunde nicht um die 2,5 Prozent der extremen Rechten in Kiew. Es ging um die 100 Prozent der Asow-Leute in Mariupol und Charkow und dergleichen mehr. Wir neigen also zu Missverständnissen, weil einige Leute sagten: „Nun, aber warum entnazifizieren? Weil es nur 2,5 Prozent rechtsgerichtete Parteien gibt, nur 2,5 Prozent oder so ähnlich, also ist es bedeutungslos. Also, warum entnazifizieren? Das macht keinen Sinn.‘ Aber darum ging es nicht. Es ging definitiv um die Gruppen, die seit 2014 von den Ukrainern rekrutiert wurden, um, sagen wir mal, ich würde sagen, zu befrieden oder zu kontrollieren. Ich weiß nicht genau, was das richtige Wort dafür ist, aber um im Donbass zu kämpfen. Diese Leute waren Extremisten, Fanatiker, und diese Leute waren gefährlich. AARON MATÉ: Und einer der Punkte, die Sie in Ihrem Artikel ansprechen und die ich nicht kannte, ist, dass ein Teil des Grundes, warum die Ukraine diesen Bedarf an Milizen, rechtsextremen Milizen und ausländischen Söldnern hatte, in der hohen Überlaufquote in den eigenen militärischen Reihen liegt, in der Tatsache, dass die Leute nicht dienen wollten und sogar zur anderen Seite der Rebellion im Donbass übergelaufen sind. JACQUES BAUD: Genau. Wie ich Ihnen bereits sagte, habe ich in der NATO den Zustrom von Waffen in den Donbass beobachtet, und wir konnten weder Waffenimporte noch Waffenexporte von russischer Seite in den Donbass feststellen. Was wir jedoch feststellen konnten, war, dass viele ukrainische Einheiten übergelaufen sind und ganze Bataillone übernommen haben. Und 2014 stammte der Großteil der schweren Artillerie, die der Donbass erhielt, von Überläufern. Ganze Einheiten sind übergelaufen, mitsamt Munition und Leuten und so weiter. Der Grund dafür ist, dass die ukrainische Armee auf einer territorialen… auf einer territorialen Weise bemannt und organisiert war. Das bedeutet, dass es in den Streitkräften eine Menge russischsprachiger Leute gab. Als sie dann in den Donbass geschickt wurden, wollten sie nicht einmal gegen ihre eigenen Kollegen und russischsprachigen Leute kämpfen, also zogen sie es vor, überzulaufen. Hinzu kommt, dass die Führung der ukrainischen Armee im Jahr 2014, ich meine von 2014 bis 2017, extrem schlecht war. Es herrschte viel Korruption. Ich bin mir nicht sicher, ob das Militär tatsächlich auf einen solchen Krieg vorbereitet war, denn der Krieg, der damals von den Rebellen geführt wurde, ähnelte sehr dem, was man heute im Nahen Osten oder in den letzten Jahren beobachten kann. Das führte dazu, dass sich sehr mobile Einheiten sehr schnell bewegen konnten, viel schneller als die schweren Einheiten der ukrainischen Armee. Wenn wir uns das Muster der verschiedenen Schlachten ansehen, die 2014 und 2015 ausgetragen wurden, können wir feststellen, dass die Ukrainer nie die Führung übernehmen konnten. Sie hatten nie die Initiative. Die Initiative lag immer bei den Rebellen. Und es war keine Guerilla. Das ist wichtig zu sagen. Es handelte sich um eine extrem mobile Kriegsführung. Hinzu kam, dass die Armee im Allgemeinen nicht wirklich auf den Kampf vorbereitet war. Es gab also eine Menge Selbstmorde, eine Menge Alkoholprobleme, eine Menge Unfälle, eine Menge Morde innerhalb der ukrainischen Armee. Und das führte dazu, dass viele junge Ukrainer das Land verließen, weil sie nicht in die Armee eintreten wollten. Und was ich damit sagen will, ist, dass dies in offiziellen Berichten im Vereinigten Königreich und in den USA aufgezeichnet und berichtet wurde, glaube ich. Es gab einige sehr interessante Berichte über die niedrige Rekrutierungsrate von Einzelpersonen, weil die Leute einfach nicht zur Armee gehen wollten. Aus diesem Grund engagierte sich die NATO, und ich war an einem solchen Programm beteiligt, bei dem versucht wurde, das Image der Armee umzugestalten und Lösungen zu finden, um die Rekrutierungsbedingungen in der Armee zu verbessern und Ähnliches. Aber die von der NATO angebotenen Lösungen waren eigentlich institutionelle Lösungen, die Zeit brauchten, und um den Personalmangel zu kompensieren und wahrscheinlich aggressiveres Militärpersonal zu haben, begannen sie, Internationalisten und Söldner einzusetzen, um genau zu sein. Niemand weiß genau, wie viele dieser Paramilitärs oder rechtsextremen Milizen es gibt. Reuters gibt die Zahl mit hunderttausend an. Ich kann das nicht nachprüfen, aber diese Zahl wurde von Reuters genannt. Und das scheint zu dem zu passen, was wir jetzt in den verschiedenen Regionen des Landes beobachten können. Diese Paramilitärs spielten also eine wichtige Rolle, nicht in der mobilen Kriegsführung, und ich würde sagen, auch nicht in der normalen Feldkriegsführung, aber sie wurden zur Aufrechterhaltung der Ordnung in den Städten eingesetzt. Und das ist genau das, was wir heute zum Beispiel in Mariupol haben, wo wir diese Leute hatten, denn sie sind nicht für Feldoperationen ausgerüstet. Sie sind für den Krieg in den Städten ausgerüstet. Sie haben leichte Ausrüstung, sie haben ein paar gepanzerte Fahrzeuge, aber sie haben nicht wirklich Panzer oder etwas Ähnliches. Es handelt sich also definitiv um Einheiten, die für den Krieg in den Städten gedacht sind. Das ist es, was sie in Großstädten tun. Und diese Leute sind extrem fanatisch, können wir sagen, und sie sind extrem gefährlich. Und das erklärt die Art und Weise, wie Mariupol, die Schlachten und die extrem brutalen Kämpfe, die man in Mariupol als Beispiel hat, und wir werden wahrscheinlich das Gleiche in Charkow sehen, zum Beispiel. AARON MATÉ: Zum Abschluss möchte ich Sie zu einigen der jüngsten Gräueltaten befragen, über die wir berichtet haben. Es gab Berichte über Massentötungen von Zivilisten durch Russland in der Stadt Bucha und auch über Tötungen von ukrainischen Streitkräften, und dann gab es den Angriff auf den Bahnhof in Kramatorsk. Ich frage mich, ob Sie diese beiden Vorfälle bewertet haben und was Sie davon halten. JACQUES BAUD: Nun, da gibt es zwei Dinge. Erstens deuten die Hinweise, die wir zu beiden Vorfällen haben, für mich darauf hin, dass die Russen nicht dafür verantwortlich waren. Aber in Wirklichkeit wissen wir es nicht. Ich denke, das ist es, was wir sagen müssen. Ich meine, wenn wir ehrlich sind, wissen wir nicht, was passiert ist. Die Hinweise, die wir haben, alles, alle Elemente, die wir haben, deuten eher auf eine ukrainische Verantwortung hin, aber wir wissen es nicht. Was mich an der ganzen Sache beunruhigt, ist nicht so sehr, dass wir es nicht wissen, denn im Krieg gibt es immer solche Situationen, in denen man nicht genau weiß, wer wirklich verantwortlich ist. Was mich beunruhigt, ist, dass westliche Politiker begonnen haben, Entscheidungen zu treffen, ohne zu wissen, was vor sich geht und was passiert ist. Und das ist etwas, was mich zutiefst beunruhigt, dass wir, bevor wir irgendein Ergebnis einer Untersuchung, einer Ermittlung, und ich meine eine internationale, unparteiische Ermittlung, haben, bereits Sanktionen verhängen und Entscheidungen treffen, und ich denke, das zeigt, wie der gesamte Entscheidungsprozess im Westen pervertiert wurde. Seit Februar oder sogar schon vorher, denn nach der Entführung – oder übrigens nicht Entführung, es war keine Entführung – sondern dem Vorfall in Weißrussland mit diesem Ryanair-Flug hatten wir eine ähnliche Situation. Sie erinnern sich vielleicht daran, dass die Menschen im Mai letzten Jahres nur wenige Minuten, nachdem die Presse über den Vorfall berichtet hatte, zu reagieren begannen, obwohl sie nicht wussten, was vor sich ging! Das ist also die Art und Weise, wie die politische Führung in Europa, ich meine in der Europäischen Union, aber auch in den europäischen Ländern, vorgeht. Das beunruhigt mich als Geheimdienstmitarbeiter. Wie kann man eine Entscheidung mit solchen Auswirkungen auf die Bevölkerung oder auf ganze Länder treffen, die sogar unsere eigene Wirtschaft stört? Das geht also tendenziell nach hinten los. Aber wir treffen Entscheidungen, ohne überhaupt zu wissen, was vor sich geht, und das deutet meiner Meinung nach auf eine extrem unreife Führung hin, die wir im Westen im Allgemeinen haben. Das ist sicherlich in den USA der Fall, aber ich denke, das Beispiel der Ukraine-Krise zeigt, dass die europäische Führung nicht besser ist als die der USA. Ich glaube, manchmal ist sie sogar noch schlimmer. Das ist es also, was uns beunruhigen sollte, dass es Menschen gibt, die auf der Grundlage von nichts entscheiden, und das ist extrem gefährlich. AARON MATÉ: Jacques Baud ist ein ehemaliger strategischer Geheimdienstoffizier des Schweizerischen Strategischen Nachrichtendienstes, der auch in einer Reihe von hochrangigen Sicherheits- und Beratungspositionen bei der NATO, der UNO und dem Schweizer Militär tätig war. Jacques, vielen Dank für Ihre Zeit und Ihren Einblick. JACQUES BAUD: Ich danke Ihnen für alles. Ich danke Ihnen. QUELLE: US, EU SACRIFICING UKRAINE TO ‘WEAKEN RUSSIA’: FMR. NATO ADVISER ÜBERSETZUNG: CONTRA24 Quelle: https://uncutnews.ch/ex-nato-berater-usa-und-eu-opfern-die-ukraine-um-russland-zu-schwaechen/
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